Texte intégral
C'est là un moment très important, comme l'a dit le ministre. Mon ami Miguel et moi sommes venus, précisément comme vous l'avez dit, pour discuter et essayer de saisir ce moment. C'est un moment historique. Vous le savez, nous sommes tous, si je peux m'exprimer ainsi, en faveur d'un Etat palestinien vivant à proximité de l'Etat d'Israël, comme des frères. Il y a donc quelques difficultés et le monde entier attend ce moment particulier. J'espère que nous apporterons notre aide en ayant ces discussions très amicales avec mon bon ami Ehud Barak.
C'est un moment que je peux qualifier, comme souvent dans la région, d'historique. Et là je crois que c'est une histoire qui peut être positive. Je crois que, les pourparlers directs ayant commencé, la position de la Ligue arabe, que vous connaissez, étant une position d'ouverture - relative, mais d'ouverture -, je crois que si notre visite, la visite d'un Espagnol et d'un Français, c'est-à-dire deux amis d'Israël, si nous pouvons profiter de cette visite pour que les choses avancent dans le sens d'une poursuite des pourparlers, d'une poursuite des rencontres directes.
Et puis il y a des problèmes très réels, ce ne sont pas des détails. Aucun problème ici n'est un détail. Mais nous espérons beaucoup de cette visite. C'est un moment que nous n'avons pas voulu manquer. Nous attendions ces décisions, eh bien je crois qu'avec Ehud Barak, mais aussi avec le Premier ministre, bien sûr, et avec le président Shimon Pérès, et avec le ministre des Affaires étrangères, nous allons profiter de notre présence pour dire notre sentiment, celui de toute Europe. Les vingt-sept pays, je pense, ont cette position. C'est maintenant. Il faut qu'il y ait un Etat palestinien qui vive en paix avec l'Etat israélien. C'est absolument indispensable pour la région, pour tout le Proche-Orient, et je crois que c'est indispensable pour le monde. Les choses iront mieux après.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 15 octobre 2010
C'est un moment que je peux qualifier, comme souvent dans la région, d'historique. Et là je crois que c'est une histoire qui peut être positive. Je crois que, les pourparlers directs ayant commencé, la position de la Ligue arabe, que vous connaissez, étant une position d'ouverture - relative, mais d'ouverture -, je crois que si notre visite, la visite d'un Espagnol et d'un Français, c'est-à-dire deux amis d'Israël, si nous pouvons profiter de cette visite pour que les choses avancent dans le sens d'une poursuite des pourparlers, d'une poursuite des rencontres directes.
Et puis il y a des problèmes très réels, ce ne sont pas des détails. Aucun problème ici n'est un détail. Mais nous espérons beaucoup de cette visite. C'est un moment que nous n'avons pas voulu manquer. Nous attendions ces décisions, eh bien je crois qu'avec Ehud Barak, mais aussi avec le Premier ministre, bien sûr, et avec le président Shimon Pérès, et avec le ministre des Affaires étrangères, nous allons profiter de notre présence pour dire notre sentiment, celui de toute Europe. Les vingt-sept pays, je pense, ont cette position. C'est maintenant. Il faut qu'il y ait un Etat palestinien qui vive en paix avec l'Etat israélien. C'est absolument indispensable pour la région, pour tout le Proche-Orient, et je crois que c'est indispensable pour le monde. Les choses iront mieux après.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 15 octobre 2010