Texte intégral
Nous avons décidé, avec nos amis irakiens et les représentants des associations des chrétiens d'Orient, d'accueillir en France des blessés de l'attentat du 31 octobre dernier à Bagdad.
Q - Ils vont aller dans des hôpitaux à Paris...
R - Oui, ils seront accueillis dans les hôpitaux de Paris et de la région parisienne. Nous avons réglé tout cela. Nous leur offrons l'asile, cela va de soi.
Q - Vous parlez de problèmes à long terme. Comment abordez-vous le dossier ?
R - Nous avons réussi à obtenir, dès demain, un débat au Conseil de sécurité des Nations unies. Ce débat portera sur les conditions de vie de façon générale en Irak parce que nous ne pouvons pas mettre, à l'ONU, le doigt sur une plaie sans penser aux autres. Et puis, de toute façon, il faut faire pression sur tous les gouvernements de la région. C'est à eux de protéger la liberté de culte, la liberté de religion et la protection des individus.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 10 novembre 2010
Q - Ils vont aller dans des hôpitaux à Paris...
R - Oui, ils seront accueillis dans les hôpitaux de Paris et de la région parisienne. Nous avons réglé tout cela. Nous leur offrons l'asile, cela va de soi.
Q - Vous parlez de problèmes à long terme. Comment abordez-vous le dossier ?
R - Nous avons réussi à obtenir, dès demain, un débat au Conseil de sécurité des Nations unies. Ce débat portera sur les conditions de vie de façon générale en Irak parce que nous ne pouvons pas mettre, à l'ONU, le doigt sur une plaie sans penser aux autres. Et puis, de toute façon, il faut faire pression sur tous les gouvernements de la région. C'est à eux de protéger la liberté de culte, la liberté de religion et la protection des individus.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 10 novembre 2010