Texte intégral
Les tableaux Excel téléchargeables ci-joints présentent, agglomération par agglomération et polluant par polluant, une synthèse des résultats de la surveillance de la qualité de l'air sur la période 1991-1998.
Il s'agit dans chaque cas d'une évaluation de la qualité de l'air sur l'agglomération ; les capteurs pris en compte sur les années 1991 à 1998 ne constituent qu'une partie des réseaux de surveillance des agglomérations, ces réseaux s'étant beaucoup développés au cours des derniers mois (nombre de polluants et de sites de mesures plus important). Une exploitation statistique plus fine sera publiée ultérieurement.
Pour des résultats plus détaillés, spécifiques à certaines périodes ou à certains quartiers, il convient de s'adresser aux associations de surveillance de la qualité de l'air (appuyer ici pour avoir leurs adresses).
Conclusion sur les résultats observés et interprétation :
Les concentrations de dioxyde de soufre confirment, dans la quasi totalité des cas, la baisse des dernières années. La situation reste préoccupante dans les zones très industrielles (Le Havre, Fos-Berre,...).
Les concentrations de plomb diminuent fortement, en lien avec la réduction des teneurs en plomb des carburants.
Les concentrations en dioxyde d'azote diminuent faiblement ou stagnent en 1998 dans la grande majorité des agglomérations. L'effet de l'introduction du pot catalytique, depuis 1993 pour les véhicules à essence, ne produit pas encore d'améliorations incontestables.
Les particules sont mesurées de deux manière: d'une part par la méthode dite "des fumées noires" et d'autre part par la méthode dite " PM10 ". En 1998, la tendance est à la décroissance ou à la stabilité dans la plupart des agglomérations, quelle que soit la méthode de mesure utilisée.
En ce qui concerne l'ozone, aucune tendance n'est mise en évidence, les concentrations d'ozone dépendant fortement des conditions météorologiques (soleil et chaleur favorisent la formation d'ozone). En 1998, les pointes de pollution ont été assez nombreuses et généralisées sur l'ensemble du territoire, notamment lors de deux semaines d'août particulièrement chaudes.
(Source http://www.environnement.gouv.fr, le 6 février 2001)
Il s'agit dans chaque cas d'une évaluation de la qualité de l'air sur l'agglomération ; les capteurs pris en compte sur les années 1991 à 1998 ne constituent qu'une partie des réseaux de surveillance des agglomérations, ces réseaux s'étant beaucoup développés au cours des derniers mois (nombre de polluants et de sites de mesures plus important). Une exploitation statistique plus fine sera publiée ultérieurement.
Pour des résultats plus détaillés, spécifiques à certaines périodes ou à certains quartiers, il convient de s'adresser aux associations de surveillance de la qualité de l'air (appuyer ici pour avoir leurs adresses).
Conclusion sur les résultats observés et interprétation :
Les concentrations de dioxyde de soufre confirment, dans la quasi totalité des cas, la baisse des dernières années. La situation reste préoccupante dans les zones très industrielles (Le Havre, Fos-Berre,...).
Les concentrations de plomb diminuent fortement, en lien avec la réduction des teneurs en plomb des carburants.
Les concentrations en dioxyde d'azote diminuent faiblement ou stagnent en 1998 dans la grande majorité des agglomérations. L'effet de l'introduction du pot catalytique, depuis 1993 pour les véhicules à essence, ne produit pas encore d'améliorations incontestables.
Les particules sont mesurées de deux manière: d'une part par la méthode dite "des fumées noires" et d'autre part par la méthode dite " PM10 ". En 1998, la tendance est à la décroissance ou à la stabilité dans la plupart des agglomérations, quelle que soit la méthode de mesure utilisée.
En ce qui concerne l'ozone, aucune tendance n'est mise en évidence, les concentrations d'ozone dépendant fortement des conditions météorologiques (soleil et chaleur favorisent la formation d'ozone). En 1998, les pointes de pollution ont été assez nombreuses et généralisées sur l'ensemble du territoire, notamment lors de deux semaines d'août particulièrement chaudes.
(Source http://www.environnement.gouv.fr, le 6 février 2001)