Texte intégral
A l'occasion du centenaire de la loi de 1901 sur la liberté d'association, le ministère des Affaires étrangères rend hommage aux actions des nombreuses organisations de solidarité internationale (OSI) en faveur du développement, dans le domaine humanitaire, et celui des Droits de l'Homme, et à leur engagement dans des situations de crise parfois périlleuses.
Leur connaissance du terrain, leurs réseaux de partenaires en font des interlocuteurs précieux dans la définition et la conduite de notre action extérieure.
Leur contribution au débat d'idées sur les différentes voies à explorer pour mieux maîtriser la mondialisation, promouvoir les processus démocratiques, prévenir les conflits, est également indispensable.
C'est pourquoi le ministère des Affaires étrangères attache une importance particulière aux échanges avec ces associations. Ces rencontres de travail font désormais partie de l'action quotidienne du ministère. Celui-ci participe également avec profit aux instances de réflexions telles que la Commission nationale consultative des Droits de l'Homme, le Haut Conseil pour la coopération internationale et la Commission Coopération développement.
La mise en uvre de programmes concertés par pays ou par secteur d'activité, les conventions d'objectifs, les dotations au partenariat pour renforcer les ONG des pays tiers sont les nouveaux instruments nés de la volonté partagée par le ministère des Affaires étrangères et les OSI pour être plus efficace.
La reconnaissance du rôle des organisations de solidarité internationales créées et animées par des migrants résidant en France (OSIM) est une manifestation supplémentaire de la volonté du ministère des Affaires étrangères de reconnaître tous les acteurs de la solidarité internationale.
La liberté d'association se situe au cur de tout processus démocratique et du dynamisme de nos sociétés.
Le ministère des Affaires étrangères rend hommage à tous ceux qui, à travers le monde, mènent un combat difficile pour cette liberté fondamentale qui, dans de nombreux pays, n'est toujours pas établie.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 2 juillet 2001)
Leur connaissance du terrain, leurs réseaux de partenaires en font des interlocuteurs précieux dans la définition et la conduite de notre action extérieure.
Leur contribution au débat d'idées sur les différentes voies à explorer pour mieux maîtriser la mondialisation, promouvoir les processus démocratiques, prévenir les conflits, est également indispensable.
C'est pourquoi le ministère des Affaires étrangères attache une importance particulière aux échanges avec ces associations. Ces rencontres de travail font désormais partie de l'action quotidienne du ministère. Celui-ci participe également avec profit aux instances de réflexions telles que la Commission nationale consultative des Droits de l'Homme, le Haut Conseil pour la coopération internationale et la Commission Coopération développement.
La mise en uvre de programmes concertés par pays ou par secteur d'activité, les conventions d'objectifs, les dotations au partenariat pour renforcer les ONG des pays tiers sont les nouveaux instruments nés de la volonté partagée par le ministère des Affaires étrangères et les OSI pour être plus efficace.
La reconnaissance du rôle des organisations de solidarité internationales créées et animées par des migrants résidant en France (OSIM) est une manifestation supplémentaire de la volonté du ministère des Affaires étrangères de reconnaître tous les acteurs de la solidarité internationale.
La liberté d'association se situe au cur de tout processus démocratique et du dynamisme de nos sociétés.
Le ministère des Affaires étrangères rend hommage à tous ceux qui, à travers le monde, mènent un combat difficile pour cette liberté fondamentale qui, dans de nombreux pays, n'est toujours pas établie.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 2 juillet 2001)