Texte intégral
La Ministre de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement, Dominique VOYNET, s'est rendue à Cherbourg le mardi 31 octobre après-midi afin d'évaluer les risques sanitaires et environnementaux que font courir les produits transportés par le chimiquier italien Ievoli Sun qui a coulé au large de l'île anglo-normande d'Aurigny, à proximité du Cap de La Hague, si ces derniers se propagent dans l'eau et arrivent jusqu'aux côtes françaises.
La Ministre, qui suit attentivement le déroulement des opérations depuis le naufrage du navire intervenu au nord de l'île de Batz, tient à saluer le travail effectué par les équipes de sauveteurs qui ont évacué dès hier l'équipage ainsi que les équipes de remorquage de l'Abeille Flandre.
Le Ministère de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement a saisi dès l'annonce de l'accident l' IFREMER, le CEDRE et l'INERIS afin d'évaluer l'impact environnemental de ces trois produits. Les résultats permettront d'établir les premières mesures de précautions tant pour les intervenants spécialisés qui opéreront sur les plages que pour les populations alentours telles que l'installation d'un périmètre de sécurité autour du lieu d'échouage de la flaque, l'intervention de spécialistes avec équipement et matériel ad hoc. Aucun appel au bénévolat ne sera fait compte tenu de la toxicité du produit.
(Source http://www.environnement.gouv.fr, le 6 février 2001)
La Ministre, qui suit attentivement le déroulement des opérations depuis le naufrage du navire intervenu au nord de l'île de Batz, tient à saluer le travail effectué par les équipes de sauveteurs qui ont évacué dès hier l'équipage ainsi que les équipes de remorquage de l'Abeille Flandre.
Le Ministère de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement a saisi dès l'annonce de l'accident l' IFREMER, le CEDRE et l'INERIS afin d'évaluer l'impact environnemental de ces trois produits. Les résultats permettront d'établir les premières mesures de précautions tant pour les intervenants spécialisés qui opéreront sur les plages que pour les populations alentours telles que l'installation d'un périmètre de sécurité autour du lieu d'échouage de la flaque, l'intervention de spécialistes avec équipement et matériel ad hoc. Aucun appel au bénévolat ne sera fait compte tenu de la toxicité du produit.
(Source http://www.environnement.gouv.fr, le 6 février 2001)