Texte intégral
Monsieur le secrétaire général,
Aujourd'hui plus que jamais, nous avons besoin de rénover notre modèle de fonction publique pour en assurer la pérennité et apporter un meilleur service aux Français. Cet objectif est particulièrement exigeant et je l'ai rappelé à Metz lors de mes voeux aux fonctionnaires.
Nous devons renforcer la confiance de nos concitoyens vis-à-vis des services publics, assurer une plus grande transparence sur notre gestion et veiller à la parfaite exemplarité des employeurs publics.
Pour y parvenir, il n'y a qu'une seule méthode, le dialogue social. J'ai bien noté que les organisations syndicales représentatives des fonctionnaires étaient prêtes à mener une discussion sur l'avenir de notre fonction publique dans le contexte de rétablissement de nos comptes publics.
J'ai demandé à Marylise Lebranchu d'ouvrir avec vous cette négociation qui doit reposer sur des engagements réciproques car, dans la situation budgétaire que nous connaissons, la fonction publique doit participer à l'effort de redressement du pays. Nous pouvons y parvenir par des économies et des réorganisations. Je vous confirme ce que j'ai déjà déclaré publiquement, à savoir qu'il n'y aura pas de baisse du pouvoir d'achat des fonctionnaires et qu'aucune mesure ne sera prise qui aurait pour objet de geler l'avancement des agents publics.
Je sais pouvoir compter sur le sens de la responsabilité des organisations représentatives des fonctionnaires pour s'engager durablement dans cette démarche de modernisation de notre fonction publique.
Je vous prie de croire, Monsieur le secrétaire général, à l'assurance de toute ma considération.
Source http://www.unsa-fp.org, le 17 février 2014
Aujourd'hui plus que jamais, nous avons besoin de rénover notre modèle de fonction publique pour en assurer la pérennité et apporter un meilleur service aux Français. Cet objectif est particulièrement exigeant et je l'ai rappelé à Metz lors de mes voeux aux fonctionnaires.
Nous devons renforcer la confiance de nos concitoyens vis-à-vis des services publics, assurer une plus grande transparence sur notre gestion et veiller à la parfaite exemplarité des employeurs publics.
Pour y parvenir, il n'y a qu'une seule méthode, le dialogue social. J'ai bien noté que les organisations syndicales représentatives des fonctionnaires étaient prêtes à mener une discussion sur l'avenir de notre fonction publique dans le contexte de rétablissement de nos comptes publics.
J'ai demandé à Marylise Lebranchu d'ouvrir avec vous cette négociation qui doit reposer sur des engagements réciproques car, dans la situation budgétaire que nous connaissons, la fonction publique doit participer à l'effort de redressement du pays. Nous pouvons y parvenir par des économies et des réorganisations. Je vous confirme ce que j'ai déjà déclaré publiquement, à savoir qu'il n'y aura pas de baisse du pouvoir d'achat des fonctionnaires et qu'aucune mesure ne sera prise qui aurait pour objet de geler l'avancement des agents publics.
Je sais pouvoir compter sur le sens de la responsabilité des organisations représentatives des fonctionnaires pour s'engager durablement dans cette démarche de modernisation de notre fonction publique.
Je vous prie de croire, Monsieur le secrétaire général, à l'assurance de toute ma considération.
Source http://www.unsa-fp.org, le 17 février 2014