Texte intégral
Cellulose de Strasbourg.
- Après avoir réaffirmé à plusieurs reprises la position de l'Etat sur les conditions dans lesquelles pouvait être assurée la poursuite de l'exploitation de la Cellulose de Strasbourg, les pouvoirs publics ont mandaté M. Philippe Leroy, délégué dans le massif de l'Est pour établir avec les partenaires concernés les contacts nécessaires.
- Lors d'une réunion tenue à l'initiative de M. Leroy le 24 janvier dernier, les représentants des scieurs fournisseurs de la Cellulose ont fait part des propositions constructives dans le sens d'un aménagement des coûts d'approvisionnement du bois favorable à l'entreprise et se sont déclarés prêts à créer une nouvelle société pour reprendre la Cellulose.
- Par ailleurs les représentants de certaines collectivités locales ont également avancé des propositions visant à réduire les coûts d'exploitation de la Cellulose de Strasbourg.
- Ces premiers éléments qui s'inscrivent dans le sens des propositions faites par les pouvoirs publics ne permettent cependant pas de conclure, à ce stade, que les conditions d'une reprise de l'activité à la Cellulose de Strasbourg sont réunies. En-particulier aucune réponse claire de principe n'a été enregistrée concernant la participation des collectivités locales au financement, à hauteur de 25 millions de francs, des dépenses d'investissement et de gros entretien nécessaires à la poursuite de l'activité de la Cellulose.
- Compte-tenu de l'urgence de certaines décisions, notamment techniques, qui doivent être prises en ce qui concerne la conservation en-état de redémarrage de l'outil de production, il n'apparaît plus possible de repousser à des échéances incertaines le constat d'un accord, ou d'un désaccord, des partenaires concernés, concernant l'avenir de la Cellulose sur la base des propositions avancées depuis bientôt trois mois par l'Etat.
- En conséquence les pouvoirs publics proposent qu'une dernière réunion se tienne avant le 7 février au-niveau local à l'initiative de M. Leroy, avec les représentants des scieurs, des papetiers, des transporteurs, des banques, des établissements financiers, des salariés et des collectivités locales pour examiner si, compte-tenu des propositions déjà faites par l'Etat, les conditions d'un accord général permettant le redémarrage de l'exploitation, sont réunies.
- Après avoir réaffirmé à plusieurs reprises la position de l'Etat sur les conditions dans lesquelles pouvait être assurée la poursuite de l'exploitation de la Cellulose de Strasbourg, les pouvoirs publics ont mandaté M. Philippe Leroy, délégué dans le massif de l'Est pour établir avec les partenaires concernés les contacts nécessaires.
- Lors d'une réunion tenue à l'initiative de M. Leroy le 24 janvier dernier, les représentants des scieurs fournisseurs de la Cellulose ont fait part des propositions constructives dans le sens d'un aménagement des coûts d'approvisionnement du bois favorable à l'entreprise et se sont déclarés prêts à créer une nouvelle société pour reprendre la Cellulose.
- Par ailleurs les représentants de certaines collectivités locales ont également avancé des propositions visant à réduire les coûts d'exploitation de la Cellulose de Strasbourg.
- Ces premiers éléments qui s'inscrivent dans le sens des propositions faites par les pouvoirs publics ne permettent cependant pas de conclure, à ce stade, que les conditions d'une reprise de l'activité à la Cellulose de Strasbourg sont réunies. En-particulier aucune réponse claire de principe n'a été enregistrée concernant la participation des collectivités locales au financement, à hauteur de 25 millions de francs, des dépenses d'investissement et de gros entretien nécessaires à la poursuite de l'activité de la Cellulose.
- Compte-tenu de l'urgence de certaines décisions, notamment techniques, qui doivent être prises en ce qui concerne la conservation en-état de redémarrage de l'outil de production, il n'apparaît plus possible de repousser à des échéances incertaines le constat d'un accord, ou d'un désaccord, des partenaires concernés, concernant l'avenir de la Cellulose sur la base des propositions avancées depuis bientôt trois mois par l'Etat.
- En conséquence les pouvoirs publics proposent qu'une dernière réunion se tienne avant le 7 février au-niveau local à l'initiative de M. Leroy, avec les représentants des scieurs, des papetiers, des transporteurs, des banques, des établissements financiers, des salariés et des collectivités locales pour examiner si, compte-tenu des propositions déjà faites par l'Etat, les conditions d'un accord général permettant le redémarrage de l'exploitation, sont réunies.