Résumé
Extension des luttes sociales face à la politique de déclin industriel. Refus de la notion de sureffectifs (cf. Citroën) sans négociation sur la modernisation, les marchés, la formation à de nouvelles qualifications. Rejet des propositions du CNPF sur la flexibilité de l'emploi, mais objectif de réduction du temps de travail à 35 heures sans réduction de salaire, dans le -cadre d'une politique de développement industriel. La situation de la sidérurgie et des chantiers navals dans le marché international.- 3 VUES