Résumé
Refus du retour à une politique d'austérité et de rigueur salariale, présentées comme "conséquences de la crise du Golfe"-condamnation de la politique économique dans son ensemble ("fondée sur les inégalités", le recul industriel et des services publics) et en particulier de la spéculation sur le prix de l'essence-exemple de l'opposition du gouvernement à la reprise des chantiers navals de La Ciotat par le groupe Lexmar.<br>- Rejet du projet de contribution sociale généralisée, proposition pour une cotisation patronale modulée en fonction des secteurs à forte ou faible utilisation de main-d'oeuvre, et pour la contribution des revenus du capital. Désaccord sur l'expérience du chèque syndical, portant "atteinte à la démocratie et au droit syndical", notamment sur "l'obligation de conclure". Annonce d'une campagne de rencontres et débats en entreprise sur l'action syndicale revendicative et la syndicalisation.- 19 VUES