Suivi de l’expérimentation d’un enseignement d’éloquence en classe de troisième

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Ce rapport propose un bilan de l’expérimentation menée à partir de la rentrée 2019 d’un enseignement d’éloquence en classe de troisième. Il explicite le contexte qui a donné lieu à cette expérimentation, rend compte de ce qui a été mis en place dans les établissements visités et synthétise les nombreux échanges menés avec les expérimentateurs.

Synthèse 

Liste des préconisations

Présentation de la mission 

Introduction 

1. Un contexte favorable à l’expérimentation

1.1. Un intérêt général pour l’éloquence
1.1.1. Les concours d’éloquence : un levier et un piège

1.2. L’oral dans les programmes de collège : la case aveugle de l’éloquence 
1.2.1. L’oral, une compétence fondamentale
1.2.2. Un oral surtout « communicationnel » 

1.3. L’oral au lycée : une demande scolaire qui évolue
1.3.1. La demande scolaire d’oral 
1.3.2. Entrer dans l’ère de la discussion : la parole contre la violence 

1.4. La spécificité d’un enseignement de l’éloquence : enjeux et choix initiaux 
1.4.1. La classe de troisième, fin de la scolarité obligatoire et du collège unique
1.4.2. Compétences d’expression et compréhension des mécanismes de la parole 
1.4.3. Compétences d’argumentation et affirmation sensible d’une subjectivité 
1.4.4. Un enseignement ouvert sur une multitude de projets 

2. La mise en oeuvre de l’expérimentation 

2.1. Le lancement de l’expérimentation 
2.1.1. Un engagement académique inégal 
2.1.2. Le volontarisme des collèges et le rôle décisif du chef d’établissement
2.1.3. Le rôle des référents académiques 

2.2. Un enseignement en dialogue avec d’autres enseignements 
2.2.1. Un travail qui a vocation à rayonner dans toutes les disciplines
2.2.2. Un lien essentiel avec le cours de français

2.3. Le bénéfice d’un enseignement structurant au-delà des compétences disciplinaires 
2.3.1. Dans la vie de l’établissement 
2.3.2. Pour créer des liens entre différents établissements et renforcer un réseau

2.4. Prolongements éventuels vers le diplôme national du brevet 

3. Les limites d’une appréhension purement technique de l’éloquence 

3.1. Bénéfices d’une pédagogie de projet

3.2. Les dérives d’un entraînement réduit à une technique 

4. Une richesse de mises en oeuvre à garantir

4.1. Un objet mobilisateur et fédérateur

4.2. Une appropriation nécessaire par les élèves, les équipes enseignantes et les chefs d’établissement
4.2.1. S’inscrire dans le temps, la connaissance et le partage 
4.2.2. Rassembler les enseignants 
4.2.3. Gagner la confiance des parents 
4.2.4. Susciter l’adhésion et l’engagement des élèves 

4.3. Une voie commune et des itinéraires divers à construire pour inclure tous les élèves 

4.4. Un levier puissant au service de l’égalité des chances, à actionner sur tous les territoires et à inscrire dans la durée 

5. La nécessité de concevoir un véritable enseignement

5.1. Une culture et une histoire : éloquence et théâtre

5.2. Une expérience sensible à construire dans deux directions 

5.2.1. La langue comme outil de réflexion (l’argumentation, le débat, la discussion, l’échange, la nuance)
5.2.2. Une expérience sensible du plaisir de la parole et de la beauté de la langue

5.3. Utilité d’une formation et de ressources pour les enseignants

5.4. La nécessité d’un programme pour assurer la progression dans les apprentissages et les
compétences
 

Annexes 

  • Type de document : Rapport d'inspection
  • Pagination : 50 pages
  • Édité par : Inspection générale de l'Éducation, du Sport et de la Recherche