L'agroécologie est une rupture par rapport à l'agriculture productiviste. Elle est bénéfique tant pour l'environnement que pour la santé des hommes. Elle repose cependant sur des modes de production dont nous devons assumer les coûts si nous voulons qu'elle s'impose.
La France s'engage activement vers la neutralité carbone d'ici à 2050, avec un objectif intermédiaire de réduction de 50% des émissions d'ici à 2030 par rapport à 1990. Comment l’État accompagne les acteurs engagés dans la transition écologique ? Quel est le rôle de l'Ademe dans cet accompagnement et comment s'y prend-elle ?
Face à la crise climatique et à la raréfaction des ressources, la sobriété s'impose peu à peu comme un impératif collectif. Mais comment concilier cet objectif avec un modèle économique des services urbains, comme l'eau ou les déchets, historiquement fondé sur la croissance des volumes facturés ?
Le bilan du Conseil de sécurité est très nuancé. En Irak, en Syrie ou en Libye, il a connu plusieurs échecs cuisants. Son fonctionnement est de plus en plus affecté par les rivalités américano-russes et sino-américaines.
Plus de 250 000 grandes éoliennes fonctionnent à travers le monde mais leur développement en France fait débat. Doit-on poursuivre ou interrompre le développement de cette source d’énergie ? Questions croisées à Paul Neau et Grégoire Souchay.
La transition écologique est un projet immense qui divise encore partiellement les États européens, notamment sur la place du nucléaire. Tous les pays doivent faire face à des investissements colossaux et affronter une nouvelle dépendance : celle aux minerais et métaux indispensables à la neutralité carbone.
Le droit international humanitaire (DIH) est constitué d’un ensemble de règles qui, pour des raisons humanitaires, cherchent à limiter les effets des conflits armés. Plusieurs dangers menacent aujourd’hui sa mise en œuvre.
La découverte récente de gigantesques réserves de gaz naturel en Méditerranée orientale aiguise l'appétit des pays riverains (Chypre, Turquie, Syrie, Liban, Israël, Égypte, Libye). Elle ravive aussi les tensions géopolitiques autour de la délimitation des frontières maritimes.
De nombreux traités et institutions internationales tentent d’améliorer les relations multilatérales sur la biodiversité. Après vingt ans de prises d’engagements ambitieux et un bilan plutôt décevant, ce cadre international est aujourd’hui en cours de renouvellement dans le cadre de la quinzième Conférence des parties sur la diversité biologique.
Depuis deux décennies, des États ou groupes d’États remettent en cause les droits de l’homme. Instrumentalisant ou contournant le multilatéralisme, ils tentent d’imposer des valeurs alternatives à l'universalisme.