Texte intégral
1) Les Douze ont noté une vive inquiétude la complicité de fonctionnaires syriens avec MM. Ahmad Hasi et Faruk Salameh qui ont été reconnus coupables, le 26 novembre 1986, à Berlin (Ouest) d'avoir provoqué une explosion dans les locaux, à Berlin, de la société germano-arabe le 29 mars 1986. Ils ont noté que la Cour de Justice de Berlin avait reconnu comme vraies les déclarations des accusés affirmant que les explosifs utilisés leur avaient été fournis par un bureau syrien à Damas et leur avaient été remis par un fonctionnaire de l'ambassade syrienne de Berlin (Est).
- 2) Ils sont tous convenus qu'il était essentiel d'entreprendre une action commune supplémentaire pour protéger leurs citoyens de toute répétition éventuelle d'actes terroristes. Les Douze réaffirment leur sévère condamnation du terrorisme international et ils sont résolus à maîtriser le terrorisme sous toutes ses formes. Les attentats terroristes ne sauraient jamais se justifier et ne peuvent apporter de contribution à aucune cause politique.
- 3) Les Douze maintiennent fermement les engagements pris dans leurs déclarations précédentes, ainsi que leur appel au procès dans le dialogue euro-arabe, et ils considèrent que les mesures prises par le gouvernement de la République fédérale d'Allemagne correspondent à ces engagements. 4) Les Douze demeurent en contact étroit pour ce qui est des conséquences de ce cas sur la sécurité, notamment en ce qui concerne l'abus de l'immunité diplomatique.
- 2) Ils sont tous convenus qu'il était essentiel d'entreprendre une action commune supplémentaire pour protéger leurs citoyens de toute répétition éventuelle d'actes terroristes. Les Douze réaffirment leur sévère condamnation du terrorisme international et ils sont résolus à maîtriser le terrorisme sous toutes ses formes. Les attentats terroristes ne sauraient jamais se justifier et ne peuvent apporter de contribution à aucune cause politique.
- 3) Les Douze maintiennent fermement les engagements pris dans leurs déclarations précédentes, ainsi que leur appel au procès dans le dialogue euro-arabe, et ils considèrent que les mesures prises par le gouvernement de la République fédérale d'Allemagne correspondent à ces engagements. 4) Les Douze demeurent en contact étroit pour ce qui est des conséquences de ce cas sur la sécurité, notamment en ce qui concerne l'abus de l'immunité diplomatique.