Texte intégral
Le comité interministériel de fonds de secours s'est réuni, le 14 février, pour examiner les dossiers relatifs aux dommages causés aux biens non assurables des collectivités territoriales et aux biens non assurés des particuliers en situation de précarité. Il a décidé d'attribuer 15, 2 millions d'euros aux collectivités territoriales et 4 millions d'euros au bénéfice des particuliers.
Ces mesures viennent en complément de celles décidées le 7 février dernier pour l'indemnisation des dégâts causés à l'agriculture par le même comité, qui avait décidé d'attribuer une aide exceptionnelle de 13, 4 millions d'euros pour les pertes de fonds et de récolte hors canne. L'indemnisation de la canne à sucre sera précisée, comme convenu, en fin d'année.
Ainsi au total, d'ores et déjà, et moins d'un mois après cette catastrophe naturelle, ce sont 32,5 millions d'euros (soit 213 millions de francs) qui sont débloqués par l'Etat pour indemniser les dommages provoqués par le cyclone Dina.
Les engagements pris par Christian Paul, secrétaire d'Etat, lors de son déplacement à la Réunion sont tenus.
Ces aides financières de l'Etat viennent s'ajouter aux dispositions prises dès le 23 janvier par l'Etat qui a su mobiliser ses services au côté de la population et des collectivités de la Réunion.
Ainsi, dès le 23 janvier, le Premier ministre a décidé de l'envoi, par avion spécial, d'une unité de renforts de la sécurité civile de 120 hommes accompagnés du matériel nécessaire ainsi que de 50 personnels de la force d'intervention rapide d'EDF.
Dès le 26 janvier, Christian Paul,, Secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, s'est rendu sur place pour témoigner à la population de la solidarité nationale et pour constater l'ampleur des dégâts. Sur demande de Christian Paul, le Préfet a immédiatement déclaré la totalité du département en zone sinistrée. Des fonds de secours d'extrême urgence ont été délégués au Préfet de la Réunion pour répondre aux situations de détresse des Réunionnais touchés par les effets du météore.
Dès le 4 février, un premier arrêté reconnaissant l'état de catastrophe naturelle a été pris pour quinze communes sur les vingt quatre que compte la Réunion. La situation des neuf autres communes sera examinée dès la réception des expertises nécessaires. Ce dispositif permet aux sinistrés assurés de saisir leur compagnie d'assurances qui ont l'obligation de traiter leurs dossiers dans un délai de trois mois.
L'indemnisation par l'Etat (comité interministériel de fonds de secours) des dégâts causés aux biens des agriculteurs, des particuliers non-assurés et des collectivités territoriales n'est pas liée à la reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle.
(Source : http://www.outre-mer.gouv.fr)
Ces mesures viennent en complément de celles décidées le 7 février dernier pour l'indemnisation des dégâts causés à l'agriculture par le même comité, qui avait décidé d'attribuer une aide exceptionnelle de 13, 4 millions d'euros pour les pertes de fonds et de récolte hors canne. L'indemnisation de la canne à sucre sera précisée, comme convenu, en fin d'année.
Ainsi au total, d'ores et déjà, et moins d'un mois après cette catastrophe naturelle, ce sont 32,5 millions d'euros (soit 213 millions de francs) qui sont débloqués par l'Etat pour indemniser les dommages provoqués par le cyclone Dina.
Les engagements pris par Christian Paul, secrétaire d'Etat, lors de son déplacement à la Réunion sont tenus.
Ces aides financières de l'Etat viennent s'ajouter aux dispositions prises dès le 23 janvier par l'Etat qui a su mobiliser ses services au côté de la population et des collectivités de la Réunion.
Ainsi, dès le 23 janvier, le Premier ministre a décidé de l'envoi, par avion spécial, d'une unité de renforts de la sécurité civile de 120 hommes accompagnés du matériel nécessaire ainsi que de 50 personnels de la force d'intervention rapide d'EDF.
Dès le 26 janvier, Christian Paul,, Secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, s'est rendu sur place pour témoigner à la population de la solidarité nationale et pour constater l'ampleur des dégâts. Sur demande de Christian Paul, le Préfet a immédiatement déclaré la totalité du département en zone sinistrée. Des fonds de secours d'extrême urgence ont été délégués au Préfet de la Réunion pour répondre aux situations de détresse des Réunionnais touchés par les effets du météore.
Dès le 4 février, un premier arrêté reconnaissant l'état de catastrophe naturelle a été pris pour quinze communes sur les vingt quatre que compte la Réunion. La situation des neuf autres communes sera examinée dès la réception des expertises nécessaires. Ce dispositif permet aux sinistrés assurés de saisir leur compagnie d'assurances qui ont l'obligation de traiter leurs dossiers dans un délai de trois mois.
L'indemnisation par l'Etat (comité interministériel de fonds de secours) des dégâts causés aux biens des agriculteurs, des particuliers non-assurés et des collectivités territoriales n'est pas liée à la reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle.
(Source : http://www.outre-mer.gouv.fr)