Texte intégral
L'augmentation du SMIC.
- Le ministre du Travail et de la Participation a présenté une communication sur le taux du salaire minimum interprofessionnel de croissance.
- A l'issue de cette communication et conformément à l'orientation qui avait été arrêtée lors du conseil des ministres du 3 septembre 1980, il a été décidé que le pouvoir d'achat du salaire minimum interprofessionnel de croissance serait augmenté à-compter du 1er décembre.
- Ce salaire est porté à 14,79 francs l'heure, soit 2 563,55 francs par mois pour 40 heures, ce qui représente une augmentation nouvelle de 3,5 % depuis le 1er septembre 1980, dont un gain de pouvoir d'achat de 0,5 % au-delà du simple ajustement sur l'évolution des prix.
- Le gouvernement confirme ainsi sa volonté de poursuivre la mise en oeuvre d'une politique de revalorisation prioritaire des bas salaires.
- Il rappelle cependant, au moment où l'on constate, dans certaines entreprises, le retour à certaines évolutions excessives des rémunérations, que l'a ugmentation du salaire minimum, expression d'une politique sélective en faveur des basses rémunératioons, ne doit pas se répercuter sur l'ensemble de la hiérarchie salariale.
- Le ministre du Travail et de la Participation a présenté une communication sur le taux du salaire minimum interprofessionnel de croissance.
- A l'issue de cette communication et conformément à l'orientation qui avait été arrêtée lors du conseil des ministres du 3 septembre 1980, il a été décidé que le pouvoir d'achat du salaire minimum interprofessionnel de croissance serait augmenté à-compter du 1er décembre.
- Ce salaire est porté à 14,79 francs l'heure, soit 2 563,55 francs par mois pour 40 heures, ce qui représente une augmentation nouvelle de 3,5 % depuis le 1er septembre 1980, dont un gain de pouvoir d'achat de 0,5 % au-delà du simple ajustement sur l'évolution des prix.
- Le gouvernement confirme ainsi sa volonté de poursuivre la mise en oeuvre d'une politique de revalorisation prioritaire des bas salaires.
- Il rappelle cependant, au moment où l'on constate, dans certaines entreprises, le retour à certaines évolutions excessives des rémunérations, que l'a ugmentation du salaire minimum, expression d'une politique sélective en faveur des basses rémunératioons, ne doit pas se répercuter sur l'ensemble de la hiérarchie salariale.