Texte intégral
COMMUNIQUE OFFICIEL:LE CONSEIL EUROPEEN DE LUXEMBOURG.
- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A INFORME LE CONSEIL DES MINISTRES DES RESULTATS DU CONSEIL EUROPEEN, DES 27 ET 28 AVRIL 1980 A LUXEMBOURG.
- LES DISCUSSIONS SUR LA REDUCTION DE LA CONTRIBUTION BUDGETAIRE NETTE DE LA GRANDE-BRETAGNE ONT FAIT APPARAITRE QUE LA DEMANDE BRITANNIQUE, EN-RAISON DE SON AMPLEUR ET DE SA DUREE, NE POUVAIT PAS RECEVOIR UNE SOLUTION COMPATIBLE AVEC LES REGLES COMMUNAUTAIRES ACTUELLES. LES DISCUSSIONS SUR CE POINT SERONT POURSUIVIES PAR LE CONSEIL DES MINISTRES DE LA CEE.
- LES PROPOSITIONS SOUMISES AU CONSEIL DES MINISTRES DE L'AGRICULTURE CONCERNANT LA FIXATION DES PRIX AGRICOLES POUR LA PROCHAINE CAMPAGNE ET L'ORGANISATION DU MARCHE DE LA VIANDE DE MOUTON ONT RECU L'ACCORD DE HUIT DELEGATIONS. LE CONSEIL DES MINISTRES A CONFIRME L'ACCORD DONNE PAR LE MINISTRE DE L'AGRICULTURE. LE GOUVERNEMENT VA DEMANDER QUE CES AUGMENTATIONS DE PRIX SOIENT MISES EN OEUVRE DANS LES MEILLEURS DELAIS.
- LE PRESIDENT DE LA RE PUBLIQUE A RAPPELE QUE LE CONSEIL EUROPEEN ETAIT UNE INSTANCE D'IMPULSION ET D'ORIENTATION DE LA POLITIQUE EUROPEENNE, ET QU'IL CONVIENT DE LUI RENDRE CE ROLE QUE LES DISCUSSIONS RECENTES LUI ONT FAIT PERDRE.
- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A INFORME LE CONSEIL DES MINISTRES DES RESULTATS DU CONSEIL EUROPEEN, DES 27 ET 28 AVRIL 1980 A LUXEMBOURG.
- LES DISCUSSIONS SUR LA REDUCTION DE LA CONTRIBUTION BUDGETAIRE NETTE DE LA GRANDE-BRETAGNE ONT FAIT APPARAITRE QUE LA DEMANDE BRITANNIQUE, EN-RAISON DE SON AMPLEUR ET DE SA DUREE, NE POUVAIT PAS RECEVOIR UNE SOLUTION COMPATIBLE AVEC LES REGLES COMMUNAUTAIRES ACTUELLES. LES DISCUSSIONS SUR CE POINT SERONT POURSUIVIES PAR LE CONSEIL DES MINISTRES DE LA CEE.
- LES PROPOSITIONS SOUMISES AU CONSEIL DES MINISTRES DE L'AGRICULTURE CONCERNANT LA FIXATION DES PRIX AGRICOLES POUR LA PROCHAINE CAMPAGNE ET L'ORGANISATION DU MARCHE DE LA VIANDE DE MOUTON ONT RECU L'ACCORD DE HUIT DELEGATIONS. LE CONSEIL DES MINISTRES A CONFIRME L'ACCORD DONNE PAR LE MINISTRE DE L'AGRICULTURE. LE GOUVERNEMENT VA DEMANDER QUE CES AUGMENTATIONS DE PRIX SOIENT MISES EN OEUVRE DANS LES MEILLEURS DELAIS.
- LE PRESIDENT DE LA RE PUBLIQUE A RAPPELE QUE LE CONSEIL EUROPEEN ETAIT UNE INSTANCE D'IMPULSION ET D'ORIENTATION DE LA POLITIQUE EUROPEENNE, ET QU'IL CONVIENT DE LUI RENDRE CE ROLE QUE LES DISCUSSIONS RECENTES LUI ONT FAIT PERDRE.