Texte intégral
La rentrée scolaire.
- Le ministre de l'éducation nationale a présenté une communication sur la rentrée scolaire et sur les perspectives pour l'année suivante. La rentrée scolaire s'est passée, dans des conditions plus satisfaisantes que celles des dernières années.
- Sur-le-plan des moyens, les premières mesures adoptées à l'occasion du "collectif budgétaire" ont permis d'enrayer en partie la dégradation constatée lors des budgets précédents. 11 625 emplois nouveaux de titulaires ont été créés et, ont pu presque tous être pourvus et implantés pour la rentrée. De ce fait, les fermetures de classes et les suppressions de postes décidées dans le budget de 1981 ont été compensées, et au-delà. De même, les crédits de fonctionnement et d'investissements ; cela a rendu possible une plus grande autonomie dans le choix de dépenses, et le développement de projets d'actions éducatives, hors du temps scolaire trop souvent laissés à l'abandon. Enfin la répartition des nouveaux moyens a été o pérée avec le souci de privilégier les zones prioritaires, comme les banlieues des grandes villes, les secteurs à fort chômage ou les zones rurales deshéritées.
- Au prix de tous ces efforts, et malgré le faible laps de temps qui s'est écoulé depuis l'adoption de ces premières mesures, la rentrée s'est globalement bien passée, quoique certains aspects laissent encore à désirer comme, par exemple, le manque de postes dans certaines disciplines, et le retard important en-matière de personnels non-enseignants.
- Le climat de la rentrée a malgré tout été bon, notamment grâce-à une amélioration considérable du dialogue à tous les niveaux, entre l'administration, les syndicats d'enseignants et les parents d'élèves.
- Cette rentrée scolaire doit manifester à tous la volonté du gouvernement de conduire une nouvelle politique de l'Education nationale. Ses objectifs principaux sont de lutter plus efficacement contre le chômage, à moyen terme, mais même dans l'immédiat, de réduire les inégalit és culturelles et les injustices sociales, d'épanouir la personnalité des jeunes, d'ouvrir l'école sur le marché, de rendre aux enseignants les conditions morales et matérielles qu'ils n'auraient jamais dû perdre.
- Le ministre de l'éducation nationale a présenté une communication sur la rentrée scolaire et sur les perspectives pour l'année suivante. La rentrée scolaire s'est passée, dans des conditions plus satisfaisantes que celles des dernières années.
- Sur-le-plan des moyens, les premières mesures adoptées à l'occasion du "collectif budgétaire" ont permis d'enrayer en partie la dégradation constatée lors des budgets précédents. 11 625 emplois nouveaux de titulaires ont été créés et, ont pu presque tous être pourvus et implantés pour la rentrée. De ce fait, les fermetures de classes et les suppressions de postes décidées dans le budget de 1981 ont été compensées, et au-delà. De même, les crédits de fonctionnement et d'investissements ; cela a rendu possible une plus grande autonomie dans le choix de dépenses, et le développement de projets d'actions éducatives, hors du temps scolaire trop souvent laissés à l'abandon. Enfin la répartition des nouveaux moyens a été o pérée avec le souci de privilégier les zones prioritaires, comme les banlieues des grandes villes, les secteurs à fort chômage ou les zones rurales deshéritées.
- Au prix de tous ces efforts, et malgré le faible laps de temps qui s'est écoulé depuis l'adoption de ces premières mesures, la rentrée s'est globalement bien passée, quoique certains aspects laissent encore à désirer comme, par exemple, le manque de postes dans certaines disciplines, et le retard important en-matière de personnels non-enseignants.
- Le climat de la rentrée a malgré tout été bon, notamment grâce-à une amélioration considérable du dialogue à tous les niveaux, entre l'administration, les syndicats d'enseignants et les parents d'élèves.
- Cette rentrée scolaire doit manifester à tous la volonté du gouvernement de conduire une nouvelle politique de l'Education nationale. Ses objectifs principaux sont de lutter plus efficacement contre le chômage, à moyen terme, mais même dans l'immédiat, de réduire les inégalit és culturelles et les injustices sociales, d'épanouir la personnalité des jeunes, d'ouvrir l'école sur le marché, de rendre aux enseignants les conditions morales et matérielles qu'ils n'auraient jamais dû perdre.