Texte intégral
La secrétaire d'État chargée des sports a présenté une communication relative à la lutte contre le dopage.
Sans ignorer les dérives passées, il convient, à quelques jours du départ du Tour de France 2009, de ne pas stigmatiser la plus grande épreuve cycliste du monde et le sport cycliste en général et de reconnaître les efforts importants consentis par les coureurs en matière de contrôles.
Si l'édition 2008 a été organisée sous l'égide de la Fédération française de cyclisme et de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), le Tour de France 2009 sera placé sous la responsabilité de l'Union cycliste internationale. L'AFLD sera associée à la maîtrise d'ouvrage des contrôles.
Le Gouvernement mène une politique résolue pour lutter contre le dopage.
La loi du 3 juillet 2008 relative à la lutte contre le trafic de produits dopants a fortement renforcé l'arsenal répressif en incriminant l'usage et la détention de produits dopants, en créant de nouvelles incriminations en matière de trafic de produits dopants et en offrant aux agents chargés des enquêtes des possibilités nouvelles de contrôle et d'intervention.
Les services de l'Etat (police, gendarmerie, douanes, parquets...) seront tous mobilisés cette année et le nombre d'opérations pilotées par l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique sera le plus important jamais réalisé sur un Tour de France.
A côté de ce dispositif répressif, les efforts seront poursuivis dans le domaine de la prévention en direction des jeunes publics, notamment en collaboration avec la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie.
Par ailleurs, le ministère de la santé et des sports a pris l'initiative d'un protocole d'accord entre les instances chargées de la lutte anti-dopage et les industries du médicament qui a suscité un intérêt marqué de la part de nos voisins européens lors de la présidence française de l'Union européenne.
La France a également proposé de renforcer le rôle d'Interpol dans le domaine du dopage.
Sans ignorer les dérives passées, il convient, à quelques jours du départ du Tour de France 2009, de ne pas stigmatiser la plus grande épreuve cycliste du monde et le sport cycliste en général et de reconnaître les efforts importants consentis par les coureurs en matière de contrôles.
Si l'édition 2008 a été organisée sous l'égide de la Fédération française de cyclisme et de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), le Tour de France 2009 sera placé sous la responsabilité de l'Union cycliste internationale. L'AFLD sera associée à la maîtrise d'ouvrage des contrôles.
Le Gouvernement mène une politique résolue pour lutter contre le dopage.
La loi du 3 juillet 2008 relative à la lutte contre le trafic de produits dopants a fortement renforcé l'arsenal répressif en incriminant l'usage et la détention de produits dopants, en créant de nouvelles incriminations en matière de trafic de produits dopants et en offrant aux agents chargés des enquêtes des possibilités nouvelles de contrôle et d'intervention.
Les services de l'Etat (police, gendarmerie, douanes, parquets...) seront tous mobilisés cette année et le nombre d'opérations pilotées par l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique sera le plus important jamais réalisé sur un Tour de France.
A côté de ce dispositif répressif, les efforts seront poursuivis dans le domaine de la prévention en direction des jeunes publics, notamment en collaboration avec la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie.
Par ailleurs, le ministère de la santé et des sports a pris l'initiative d'un protocole d'accord entre les instances chargées de la lutte anti-dopage et les industries du médicament qui a suscité un intérêt marqué de la part de nos voisins européens lors de la présidence française de l'Union européenne.
La France a également proposé de renforcer le rôle d'Interpol dans le domaine du dopage.