Texte intégral
J.-M. Aphatie.- Bonjour, Hervé Novelli.
Bonjour.
Invitée, hier, du "Grand Jury" sur RTL, S. Royal s'est interrogée sur la prochaine accession de J. Sarkozy, 23 ans, à la présidence de l'Etablissement Public de l'Aménagement de La Défense. Ecoutez (S. Royal) : "S'il ne portait pas le nom qu'il porte, est-ce qu'il serait à la place à laquelle il est aujourd'hui ? Ce sont des enjeux financiers très importants. Ca peut toujours servir avant une prochaine élection présidentielle". "S'il ne portait pas le nom qu'il porte" ! Elle a raison, S. Royal ?
Non, je pense que J. Sarkozy a le droit de tenter et de réussir sa carrière. Et au nom de quoi est-ce qu'il faudrait lui interdire, parce qu'il porte justement le nom de Sarkozy ? C'est absolument médiocre. Et moi je n'aime pas qu'on attaque à cause des noms.
23 ans, sans expérience professionnelle, il y a peu de gens tout de même qui se retrouvent à la présidence de l'établissement public de quoi que ce soit ?
Il est déjà président du groupe de la majorité au Conseil général et à ce titre, il peut prétendre à la présidence de l'EPAD ; et moi je voudrais dire qu'on le jugera aux actes et je pense que vous ferez votre travail et je pense que la presse suivra pas à pas ses actions. Il faut juger aux actes.
Et le lien que fait S. Royal avec la prochaine élection présidentielle, comment vous le comprenez, Hervé Novelli ?
C'est très médiocre ! C'est très médiocre ! D'abord, c'est une fonction non exécutive, une fonction honorifique. Il est président d'un conseil d'administration et ce type d'amalgame ne grandit pas celle qui l'a proféré.
La TVA a baissé dans la restauration, le 1er juillet dernier, elle est passée de 19,5% à 5,5% ; et de l'avis à peu près général, il faut bien le dire, les prix pour les consommateurs ont peu baissé, les salaires du secteur ont peu augmenté ; et à ce jour, le nombre d'emplois créés est très faible. Les restaurateurs ne vous mènent-ils pas en bateau, H. Novelli ?
Non, je ne le crois pas. C'est une branche qui est comme toutes les autres affectée par la crise économique ; et c'est une des branches qui est le plus affectée. C'est aujourd'hui 600.000 emplois. C'est 120.000 Petites et Moyennes Entreprises dans ce secteur. Il était normal que je m'en occupe, que je saisisse à la demande du président de la République, ce dossier à bras-le-corps ; et c'est pour ça qu'avec C. Lagarde, on a fait ce contrat d'avenir. Ce contrat d'avenir, il est sur deux ans, il n'est pas réductible à un mois, deux mois ou trois mois, sauf pour les prix.
Ah, sauf pour les prix ! Les prix auraient dû baisser ?
Ca aurait dû baisser parce que moi, j'attends avant la fin de l'année, des résultats concrets.
Et pour l'instant, si on faisait un bilan, là ce matin, sur RTL, H. Novelli, vous êtes content ou pas content de la baisse des prix qu'ont initiée les restaurateurs. Ils en font assez ou pas, d'après vous ?
Non, je pense qu'ils n'en font pas assez même si la moitié du chemin a été parcouru. Vous savez, il y a un sondage qui vient de sortir là, il y a deux jours, et que je tiens à votre disposition, de l'IFOP qui montre que 55% des Français - donc plus d'un Français sur deux qui est allé au restaurant -, a constaté la baisse des prix. Alors, elle est faible, elle est moins importante qu'elle n'était indiquée dans ce contrat d'avenir qui engage les professionnels mais elle existe. J'ajoute que pour la première fois, l'Insee a enregistré des baisses de prix dans ce secteur. C'est historique, ça ne s'est jamais passé depuis trente-cinq ans. On a baissé les prix dans la restauration au mois de juillet et au mois d'août. Voyons septembre !
Et pourtant, les consommateurs, je ne sais pas, votre sondage je ne sais pas trop ce qu'il dit mais...
Je vous le donne.
...C'est gentil. C'est vous qui l'avez commandé peut-être le sondage ?
Non, ça n'est pas moi qui l'ai commandé.
Parce que quelquefois on peut imaginer qu'il y a un lien entre les résultats et celui qui le commande !
Mais il est sur le site de la Mutuelle de la restauration, et donc il est... Mais on ne peut pas non plus stipuler que parce que le client le commande, il sera forcément favorable.
Mais vous vous attendez à ce que les prix baissent encore, alors dans les jours qui viennent ou les semaines qui viennent ou... ?
Oui, j'attends à ce que les prix baissent encore, c'est vrai. Et je fais tout pour cela. Je me mobilise. Il y a eu beaucoup de campagnes là-dessus et les prix doivent baisser encore pour qu'on arrive à la satisfaction de ce premier terme du contrat ; mais il faut aussi que la négociation sociale qui était indiquée dans le contrat d'avenir arrive à succès avant la fin de l'année. Et je lance un appel aux partenaires sociaux pour qu'ils exercent leurs responsabilités. L'État a engagé les siennes de responsabilités dans ce contrat d'avenir ; il faut maintenant que les partenaires sociaux fassent de même.
Ca, c'est pour que les salaires augmentent, c'est ça ?
C'est pour que les salaires augmentent, que pour la Mutuelle qui n'existe pas -la Mutuelle de Prévoyance- dans ce secteur soit créée. Bref, il y a encore beaucoup de choses dans ce contrat d'avenir.
On imagine que les syndicats de salariés sont d'accord pour que les salaires augmentent et que c'est plutôt les employeurs qui résistent, non ?
On est proche de l'accord et je demande aux partenaires sociaux y compris, bien sûr, et principalement aux organisations patronales, d'être responsables.
Dans les contrats que vous évoquez, il était prévu que 40.000 emplois seraient créés en deux ans. P. Seguin, président de la Cour des Comptes, se dit très réservé sur l'objectif. "Réservé" a l'air d'être un terme diplomatique. Il parle, lui : peut-être 6.000 ! Il dit : "Pas plus".
Oui. 20.000 emplois, 20.000 contrats d'apprentissage. 20.000 emplois en deux ans, la Cour des Comptes indique qu'il y aura des créations d'emploi par milliers. Elle le chiffre à 6.000.
6.000 ! C'est loin des 20.000 !
Nous avons dit : 20.000, deux fois dix en deux ans, eh bien nous verrons. Les hypothèses n'étaient pas les mêmes, il est normal qu'il y ait un écart ; mais ce que je peux dire c'est que la Cour des Comptes relève qu'il y aura création d'emplois, et c'est très important. Plusieurs milliers de créations d'emploi, nous pensons, et nous l'avons signé et les organisations professionnelles se sont engagées qu'il y en aura plus. On verra.
Malgré tout, vous êtes optimiste, H. Novelli ?
Je reste optimiste parce que je ne veux pas qu'on stigmatise une profession qui emploie autant de salariés et qui a encore des emplois non pourvus. Il faut donc maintenant qu'elle se mobilise, elle a commencé de le faire, et je l'accompagnerai, y compris de manière ferme.
Votre portefeuille ministériel est large, H. Novelli, puisque vous êtes aussi en charge du tourisme. Des spécialistes du secteur racontent que vous prépariez une campagne d'informations contre le tourisme immoral - on m'a dit que c'était le terme que vous aviez retenu -, c'est-à-dire le tourisme sexuel et que le déclenchement de l'affaire Mitterrand vous a mené à suspendre les préparatifs de cette campagne, est-ce vrai H. Novelli ?
C'est faux. C'est faux et je dénonce ce type d'amalgame. Il y a les explications de F. Mitterrand. Elles sont dignes, je les respecte, je les prends comme telles. Et pour moi, l'affaire est close. Et puis, il y a l'action du ministère, qui est menée depuis des années, de lutte contre ce qu'on appelle le tourisme sexuel.
Et vous en mènerez encore une cette année ?
Cette action, elle sera menée, elle sera menée de manière constante ; et c'est vrai que j'entends bien aller au bout de cette politique qui est initiée maintenant depuis plusieurs années et qui existe dans beaucoup d'autres pays dans l'Union européenne.
Et vous prévoyez, par exemple, une campagne sur ce thème d'ici à la fin de l'année ?
Non, ça n'est pas prévu pour la fin de l'année ; mais je ne l'exclus pas dans les mois qui viennent.
Cette polémique autour de F. Mitterrand n'affecte pas votre crédibilité en la matière ?
Non pas du tout parce que l'action...
Pas la vôtre, mais celle du Gouvernement ?
... Écoutez, il y a une polémique liée à des écrits et ces polémiques qui consistent à aller chercher derrière le passé de femmes et d'hommes qui ont une fonction ministérielle, est peu digne. Moi je suis un homme d'idées, de débats d'idées et j'ai toujours trouvé parfaitement indignes les querelles de personnes.
Vos militants, vos électeurs d'Indre-et-Loire vous en ont beaucoup parlé, ce week-end, de cette histoire ?
Bien sûr. Bien sûr qu'ils m'en ont parlé.
Ils sont choqués ? Pas choqués ?
Certains sont choqués et d'autres trouvent que vraiment trop c'est trop. Et moi ce que je peux dire sur F. Mitterrand, que je connais peu, c'est que nous allons mener une grande politique et que j'ai trouvé face à moi quelqu'un qui veut animer les monuments publics, qu'il veut faire en sorte comme en Espagne, que par exemple, on puisse être hébergé ou se restaurer dans les monuments publics, je suis d'accord. Et nous aurons l'occasion de travailler ensemble.
H. Novelli, secrétaire d'État au Commerce et au Tourisme, était l'invité de RTL ce matin. Bonne journée.
Source : Premier ministre, Service d'Information du Gouvernement, le 12 octobre 2009
Bonjour.
Invitée, hier, du "Grand Jury" sur RTL, S. Royal s'est interrogée sur la prochaine accession de J. Sarkozy, 23 ans, à la présidence de l'Etablissement Public de l'Aménagement de La Défense. Ecoutez (S. Royal) : "S'il ne portait pas le nom qu'il porte, est-ce qu'il serait à la place à laquelle il est aujourd'hui ? Ce sont des enjeux financiers très importants. Ca peut toujours servir avant une prochaine élection présidentielle". "S'il ne portait pas le nom qu'il porte" ! Elle a raison, S. Royal ?
Non, je pense que J. Sarkozy a le droit de tenter et de réussir sa carrière. Et au nom de quoi est-ce qu'il faudrait lui interdire, parce qu'il porte justement le nom de Sarkozy ? C'est absolument médiocre. Et moi je n'aime pas qu'on attaque à cause des noms.
23 ans, sans expérience professionnelle, il y a peu de gens tout de même qui se retrouvent à la présidence de l'établissement public de quoi que ce soit ?
Il est déjà président du groupe de la majorité au Conseil général et à ce titre, il peut prétendre à la présidence de l'EPAD ; et moi je voudrais dire qu'on le jugera aux actes et je pense que vous ferez votre travail et je pense que la presse suivra pas à pas ses actions. Il faut juger aux actes.
Et le lien que fait S. Royal avec la prochaine élection présidentielle, comment vous le comprenez, Hervé Novelli ?
C'est très médiocre ! C'est très médiocre ! D'abord, c'est une fonction non exécutive, une fonction honorifique. Il est président d'un conseil d'administration et ce type d'amalgame ne grandit pas celle qui l'a proféré.
La TVA a baissé dans la restauration, le 1er juillet dernier, elle est passée de 19,5% à 5,5% ; et de l'avis à peu près général, il faut bien le dire, les prix pour les consommateurs ont peu baissé, les salaires du secteur ont peu augmenté ; et à ce jour, le nombre d'emplois créés est très faible. Les restaurateurs ne vous mènent-ils pas en bateau, H. Novelli ?
Non, je ne le crois pas. C'est une branche qui est comme toutes les autres affectée par la crise économique ; et c'est une des branches qui est le plus affectée. C'est aujourd'hui 600.000 emplois. C'est 120.000 Petites et Moyennes Entreprises dans ce secteur. Il était normal que je m'en occupe, que je saisisse à la demande du président de la République, ce dossier à bras-le-corps ; et c'est pour ça qu'avec C. Lagarde, on a fait ce contrat d'avenir. Ce contrat d'avenir, il est sur deux ans, il n'est pas réductible à un mois, deux mois ou trois mois, sauf pour les prix.
Ah, sauf pour les prix ! Les prix auraient dû baisser ?
Ca aurait dû baisser parce que moi, j'attends avant la fin de l'année, des résultats concrets.
Et pour l'instant, si on faisait un bilan, là ce matin, sur RTL, H. Novelli, vous êtes content ou pas content de la baisse des prix qu'ont initiée les restaurateurs. Ils en font assez ou pas, d'après vous ?
Non, je pense qu'ils n'en font pas assez même si la moitié du chemin a été parcouru. Vous savez, il y a un sondage qui vient de sortir là, il y a deux jours, et que je tiens à votre disposition, de l'IFOP qui montre que 55% des Français - donc plus d'un Français sur deux qui est allé au restaurant -, a constaté la baisse des prix. Alors, elle est faible, elle est moins importante qu'elle n'était indiquée dans ce contrat d'avenir qui engage les professionnels mais elle existe. J'ajoute que pour la première fois, l'Insee a enregistré des baisses de prix dans ce secteur. C'est historique, ça ne s'est jamais passé depuis trente-cinq ans. On a baissé les prix dans la restauration au mois de juillet et au mois d'août. Voyons septembre !
Et pourtant, les consommateurs, je ne sais pas, votre sondage je ne sais pas trop ce qu'il dit mais...
Je vous le donne.
...C'est gentil. C'est vous qui l'avez commandé peut-être le sondage ?
Non, ça n'est pas moi qui l'ai commandé.
Parce que quelquefois on peut imaginer qu'il y a un lien entre les résultats et celui qui le commande !
Mais il est sur le site de la Mutuelle de la restauration, et donc il est... Mais on ne peut pas non plus stipuler que parce que le client le commande, il sera forcément favorable.
Mais vous vous attendez à ce que les prix baissent encore, alors dans les jours qui viennent ou les semaines qui viennent ou... ?
Oui, j'attends à ce que les prix baissent encore, c'est vrai. Et je fais tout pour cela. Je me mobilise. Il y a eu beaucoup de campagnes là-dessus et les prix doivent baisser encore pour qu'on arrive à la satisfaction de ce premier terme du contrat ; mais il faut aussi que la négociation sociale qui était indiquée dans le contrat d'avenir arrive à succès avant la fin de l'année. Et je lance un appel aux partenaires sociaux pour qu'ils exercent leurs responsabilités. L'État a engagé les siennes de responsabilités dans ce contrat d'avenir ; il faut maintenant que les partenaires sociaux fassent de même.
Ca, c'est pour que les salaires augmentent, c'est ça ?
C'est pour que les salaires augmentent, que pour la Mutuelle qui n'existe pas -la Mutuelle de Prévoyance- dans ce secteur soit créée. Bref, il y a encore beaucoup de choses dans ce contrat d'avenir.
On imagine que les syndicats de salariés sont d'accord pour que les salaires augmentent et que c'est plutôt les employeurs qui résistent, non ?
On est proche de l'accord et je demande aux partenaires sociaux y compris, bien sûr, et principalement aux organisations patronales, d'être responsables.
Dans les contrats que vous évoquez, il était prévu que 40.000 emplois seraient créés en deux ans. P. Seguin, président de la Cour des Comptes, se dit très réservé sur l'objectif. "Réservé" a l'air d'être un terme diplomatique. Il parle, lui : peut-être 6.000 ! Il dit : "Pas plus".
Oui. 20.000 emplois, 20.000 contrats d'apprentissage. 20.000 emplois en deux ans, la Cour des Comptes indique qu'il y aura des créations d'emploi par milliers. Elle le chiffre à 6.000.
6.000 ! C'est loin des 20.000 !
Nous avons dit : 20.000, deux fois dix en deux ans, eh bien nous verrons. Les hypothèses n'étaient pas les mêmes, il est normal qu'il y ait un écart ; mais ce que je peux dire c'est que la Cour des Comptes relève qu'il y aura création d'emplois, et c'est très important. Plusieurs milliers de créations d'emploi, nous pensons, et nous l'avons signé et les organisations professionnelles se sont engagées qu'il y en aura plus. On verra.
Malgré tout, vous êtes optimiste, H. Novelli ?
Je reste optimiste parce que je ne veux pas qu'on stigmatise une profession qui emploie autant de salariés et qui a encore des emplois non pourvus. Il faut donc maintenant qu'elle se mobilise, elle a commencé de le faire, et je l'accompagnerai, y compris de manière ferme.
Votre portefeuille ministériel est large, H. Novelli, puisque vous êtes aussi en charge du tourisme. Des spécialistes du secteur racontent que vous prépariez une campagne d'informations contre le tourisme immoral - on m'a dit que c'était le terme que vous aviez retenu -, c'est-à-dire le tourisme sexuel et que le déclenchement de l'affaire Mitterrand vous a mené à suspendre les préparatifs de cette campagne, est-ce vrai H. Novelli ?
C'est faux. C'est faux et je dénonce ce type d'amalgame. Il y a les explications de F. Mitterrand. Elles sont dignes, je les respecte, je les prends comme telles. Et pour moi, l'affaire est close. Et puis, il y a l'action du ministère, qui est menée depuis des années, de lutte contre ce qu'on appelle le tourisme sexuel.
Et vous en mènerez encore une cette année ?
Cette action, elle sera menée, elle sera menée de manière constante ; et c'est vrai que j'entends bien aller au bout de cette politique qui est initiée maintenant depuis plusieurs années et qui existe dans beaucoup d'autres pays dans l'Union européenne.
Et vous prévoyez, par exemple, une campagne sur ce thème d'ici à la fin de l'année ?
Non, ça n'est pas prévu pour la fin de l'année ; mais je ne l'exclus pas dans les mois qui viennent.
Cette polémique autour de F. Mitterrand n'affecte pas votre crédibilité en la matière ?
Non pas du tout parce que l'action...
Pas la vôtre, mais celle du Gouvernement ?
... Écoutez, il y a une polémique liée à des écrits et ces polémiques qui consistent à aller chercher derrière le passé de femmes et d'hommes qui ont une fonction ministérielle, est peu digne. Moi je suis un homme d'idées, de débats d'idées et j'ai toujours trouvé parfaitement indignes les querelles de personnes.
Vos militants, vos électeurs d'Indre-et-Loire vous en ont beaucoup parlé, ce week-end, de cette histoire ?
Bien sûr. Bien sûr qu'ils m'en ont parlé.
Ils sont choqués ? Pas choqués ?
Certains sont choqués et d'autres trouvent que vraiment trop c'est trop. Et moi ce que je peux dire sur F. Mitterrand, que je connais peu, c'est que nous allons mener une grande politique et que j'ai trouvé face à moi quelqu'un qui veut animer les monuments publics, qu'il veut faire en sorte comme en Espagne, que par exemple, on puisse être hébergé ou se restaurer dans les monuments publics, je suis d'accord. Et nous aurons l'occasion de travailler ensemble.
H. Novelli, secrétaire d'État au Commerce et au Tourisme, était l'invité de RTL ce matin. Bonne journée.
Source : Premier ministre, Service d'Information du Gouvernement, le 12 octobre 2009