Texte intégral
Le Premier ministre, Alain Juppé a installé le 11 février 1997, à l'Hôtel Matignon, la Commission Générale de Terminologie et de Néologie présidée par M. Gabriel de Broglie, en présence du ministre de la culture, Philippe Douste-Blazy, et de M. Maurice Druon, secrétaire perpétuel de l'Académie française.
- A l'occasion de cette installation, le Premier ministre a précisé les orientations de la politique du Gouvernement pour la promotion et l'emploi de la langue française. Il a rappelé qu'il est du devoir de l'Etat de se préoccuper du statut, de l'emploi et de la maîtrise de la langue française.
- La création de la Commission Générale de Terminologie et de Néologie devrait permettre de donner une nouvelle impulsion à la promotion de notre langue.
- Placée auprès du Premier ministre, cette Commission harmonise les travaux des commissions spécialisées de terminologie et de néologie, composées d'experts de chaque domaine et de spécialistes de la langue française, qui, auprès de chaque ministère, recensent les besoins en vocabulaires nouveaux et proposent les termes français nécessaires.
- Cette instance examine les propositions de ces commissions et transmet les mots nouveaux et les définitions qu'elle retient à l'Académie française. Après accord de celle-ci, les termes sont publiés au Journal Officiel. Leur emploi s'impose alors aux agents de l'Etat et de ses établissements publics. En s'imposant cette obligation, l'Etat a choisi de donner l'exemple en matière de respect du français et d'emploi des mots nouveaux.
- La Commission composée de dix-neuf personnalités issues des milieux scientifiques et universitaires, du journalisme et de l'administration. Les secrétaires perpétuels de l'Académie française et de l'Académie des sciences en sont membres de droit. Son secrétariat est assuré par la délégation générale à la langue française.
- A l'occasion de cette installation, le Premier ministre a précisé les orientations de la politique du Gouvernement pour la promotion et l'emploi de la langue française. Il a rappelé qu'il est du devoir de l'Etat de se préoccuper du statut, de l'emploi et de la maîtrise de la langue française.
- La création de la Commission Générale de Terminologie et de Néologie devrait permettre de donner une nouvelle impulsion à la promotion de notre langue.
- Placée auprès du Premier ministre, cette Commission harmonise les travaux des commissions spécialisées de terminologie et de néologie, composées d'experts de chaque domaine et de spécialistes de la langue française, qui, auprès de chaque ministère, recensent les besoins en vocabulaires nouveaux et proposent les termes français nécessaires.
- Cette instance examine les propositions de ces commissions et transmet les mots nouveaux et les définitions qu'elle retient à l'Académie française. Après accord de celle-ci, les termes sont publiés au Journal Officiel. Leur emploi s'impose alors aux agents de l'Etat et de ses établissements publics. En s'imposant cette obligation, l'Etat a choisi de donner l'exemple en matière de respect du français et d'emploi des mots nouveaux.
- La Commission composée de dix-neuf personnalités issues des milieux scientifiques et universitaires, du journalisme et de l'administration. Les secrétaires perpétuels de l'Académie française et de l'Académie des sciences en sont membres de droit. Son secrétariat est assuré par la délégation générale à la langue française.