Texte intégral
Chers Amis,
Nous sommes ici devant le ministère de la Justice pour crier notre colère face à l'injustice, pour manifester notre révolte face au scandale suprême que constitue une justice injuste.
Nous sommes ici pour exprimer notre inquiétude de voir les Français perdre leur liberté, de voir les Français écrasés sous la chape de plomb du politiquement correct, étouffés sous la pensée unique.
Nous sommes ici pour affirmer notre refus de nous soumettre, notre volonté de rester debout, notre détermination à nous battre pour la liberté.
Car enfin, ce qui s'est passé l'autre jour à la Cour d'appel d'Aix-en-Provence est un véritable scandale ! Unique dans l'histoire de la république !
Condamner à la prison des élus dans l'exercice de leur mandat, dont le seul crime a été en plein conseil municipal, au cur de leur institution démocratique, de faire voter une délibération instituant une prime de naissance pour les familles françaises ou européennes, on croit rêver !
Et le pire, c'est que pendant ce temps-là la justice ne fait pas son travail. Les crimes et les délits se multiplient, les agressions, les viols, les rackets, les cambriolages, les incendies, les meurtres se multiplient.
Et pendant qu'ils montrent un laxisme total, face aux voyous, les juges pratiquent un harcèlement implacable contre les élus jugés non politiquement corrects.
Trois mois de prison avec sursis, deux ans d'inéligibilité, 600 000 F d'amendes et de frais de justice divers, c'est une peine que l'on n'inflige pas aujourd'hui aux racketteurs ou aux incendiaires de voitures.
C'est à peine si on l'inflige aux politiciens corrompus.
On a aujourd'hui une justice qui traite de la même manière ceux qui détournent des dizaines, voire des centaines de millions de francs d'argent public et ceux qui veulent rendre cet argent à leur peuple pour favoriser la natalité française. C'est honteux !
Pourtant tout le monde le reconnaît, il n'y a pas assez d'enfants français pour renouveler les générations, pour assurer l'avenir de notre peuple!
Et c'est l'argument, le prétexte que prennent certains pour demander de nouvelles vagues d'immigration. Pour que les étrangers viennent se substituer aux enfants français que nous n'avons pas.
Et quand un maire et son premier adjoint cherchent à aider les familles françaises à avoir plus d'enfants, ils sont condamnés comme des voyous à la prison. Mais dans quel pays est-on, on marche sur la tête ! C'est le monde à l'envers !
Car tout de même, vouloir donner la priorité aux siens, quoi de plus naturel ! C'est ce que font d'innombrables pays au monde. C'est ce que l'on faisait dans notre pays depuis toujours. La priorité française, la préférence nationale, quoi de plus normal !
Les hommes ont besoin de communautés pour s'épanouir. Et la nation est l'une des plus fortes, des plus belles, des plus protectrices. Elle est légitime, elle est naturelle, elle est essentielle. Et elle ne peut perdurer que si ceux qui en font partie ont des droits exclusifs, puissent compter les uns sur les autres et bénéficier d'une préférence les uns envers les autres.
C'est si vrai que les juges doivent être français, qu'ils jugent au nom du peuple français, selon des lois françaises.
Alors à quel dérèglement en est-on arrivé pour que des juges français jugeant en France au nom du peuple français selon les lois françaises en viennent à condamner des Français élus par des Français au motif qu'ils ont voulu aider les Français. On marche sur la tête !
Et le résultat, c'est la montée du totalitarisme. Les juges d'Aix-en-Provence ont bafoué les libertés, la démocratie, la république. Ils ont fait un bras d'honneur au peuple français.
Car tout de même, la présidente de la cour, Madame Viangelli a purement et simplement ignoré le principe de la séparation des pouvoirs en cherchant à démettre de son mandat Catherine Mégret trois mois seulement après sa brillante réélection à la mairie de Vitrolles-en-Provence et cela pour avoir voulu appliquer le programme que des électeurs ont pourtant majoritairement approuvé.
En fait, Madame Viangelli leur a dit : " Vous pouvez voter comme vous voulez, on s'en fiche, c'est nous qui décidons ! On est au-dessus de vous ! Vous êtes en démocratie surveillée "!
Car c'est bien de cela dont il s'agit. La justice tend à s'instaurer comme le pouvoir suprême. Les magistrats veulent s'occuper de tout et de n'importe quoi, ils veulent régenter tous les aspects de la vie nationale et surtout ils veulent mettre sous leur coupe les politiques.
Dans l'affaire de la prime de Vitrolles, la justice veut bel et bien s'immiscer dans le domaine des élus, dire ce qu'ils doivent faire et ne pas faire. C'est tellement vrai qu'en pleine campagne électorale, à Vitrolles, toujours un juge est venu contrôler un tract électoral de Catherine Mégret, qui concernait l'immigration, et en interdire la diffusion. Il a même été jusqu'à interdire à Catherine Mégret d'écrire pendant sa campagne quoi que ce soit sur l'immigration sauf à faire porter sur les documents la mention " programme déclaré illégal par la justice " Nuit gravement à la santé ! On croit rêver ! Ces gens-là veulent non seulement censurer les élus mais aussi censurer leur programme électoral.
Ils s'arrogent un pouvoir exorbitant, un pouvoir au demeurant sans contrôle et donc totalitaire. Car les juges sont les seuls avec les journalistes à n'être contrôlés par personne.
Lorsqu'un juge libère un criminel et que ce dernier commet un nouveau crime, le juge a beau être responsable, personne ne vient le poursuivre, lui demander des comptes et le sanctionner.
Nous avons aujourd'hui en France un pouvoir judiciaire qui échappe à tout contrepoids et qui de surcroît poursuit en dehors de tout contrôle démocratique son propre projet idéologique ! Car on a désormais affaire à une justice idéologique. Non pas partisane, elle ne roule pas pour tel ou tel parti politique car elle veut les soumettre tous. Elle roule pour une idéologie, l'idéologie du politiquement correct. Elle constitue avec les médias le noyau dur de la pensée unique.
Et croyez moi, il y a de quoi s'inquiéter quand on sait ce que pensent beaucoup de ces juges.
Tenez, connaissez-vous le projet de Monsieur Laurent Danemas, ancien procureur de la République dans l'Essonne? Monsieur Danemas veut instaurer un permis de vivre en société, avec des points comme le permis de conduire. Et ce n'est pas, naturellement, pour traiter des crimes ou des délits de droit commun, non ! C'est pour traiter les attitudes non politiquement correctes. Alors si vous avez une altercation avec un noir, deux points en moins ! Si vous êtes chef d'entreprise et que vous licenciez un arabe, trois points en moins ! Et pour gagner de nouveaux points, il faut passer par un stage de rééducation.
Par contre, on ne sait pas ce qui se passe quand on perd tous ses points et qu'on n'a plus de permis ! De permis de vivre en société!
Il faudra demander à Monsieur Danemas qui a d'ailleurs récemment obtenu une promotion !
Ou plutôt on ne lui demandera rien du tout. Car nous, nous entendons vivre chez nous sans permis.
Simplement en jouissant du droit que nous confère notre qualité de Français, c'est-à-dire d'hommes et de femmes libres vivant dans un pays de liberté.
Et c'est pour le rappeler que nous sommes venus ici devant le ministère de la Justice pour demander aux magistrats de se ressaisir, aux juges intègres de résister à la justice idéologique et de rétablir la justice dans la justice.
Nous sommes venus aussi demander à tous les responsables de la classe politique de se ressaisir et d'ouvrir les yeux. Le pouvoir judiciaire veut subordonner les autres pouvoirs. Et ceux qui ont vocation à exercer le pouvoir législatif et exécutif ne doivent pas se laisser soumettre par un autre pouvoir que celui du peuple.
Et ils ne doivent nourrir aucune illusion. Aujourd'hui c'est Catherine Mégret, demain ce sera leur tour dès lors qu'ils sortiront du politiquement correct ou qu'ils déplairont au syndicat de la magistrature. N'est-ce pas, Monsieur Gremetz ?
Mais nous sommes venus aussi et surtout pour appeler nos compatriotes à ne pas se laisser priver de leurs droits démocratiques et de leurs libertés civiques.
Aussi je leur dis : secouez-vous, réagissez ! Le peuple, c'est vous ! C'est vous qui incarnez la légitimité, c'est vous qui avez le pouvoir, le vrai, celui qui en république fonde tous les autres. Ne vous laissez pas manipuler, aveugler. Retrouvez votre lucidité. Restez des hommes et des femmes libres.
Non à la démocratie surveillée !
Non à la justice idéologique !
Vive la liberté !
Vive la France !
(Source http://www.mouvement-national.org, le 3 juillet 2001)
Nous sommes ici devant le ministère de la Justice pour crier notre colère face à l'injustice, pour manifester notre révolte face au scandale suprême que constitue une justice injuste.
Nous sommes ici pour exprimer notre inquiétude de voir les Français perdre leur liberté, de voir les Français écrasés sous la chape de plomb du politiquement correct, étouffés sous la pensée unique.
Nous sommes ici pour affirmer notre refus de nous soumettre, notre volonté de rester debout, notre détermination à nous battre pour la liberté.
Car enfin, ce qui s'est passé l'autre jour à la Cour d'appel d'Aix-en-Provence est un véritable scandale ! Unique dans l'histoire de la république !
Condamner à la prison des élus dans l'exercice de leur mandat, dont le seul crime a été en plein conseil municipal, au cur de leur institution démocratique, de faire voter une délibération instituant une prime de naissance pour les familles françaises ou européennes, on croit rêver !
Et le pire, c'est que pendant ce temps-là la justice ne fait pas son travail. Les crimes et les délits se multiplient, les agressions, les viols, les rackets, les cambriolages, les incendies, les meurtres se multiplient.
Et pendant qu'ils montrent un laxisme total, face aux voyous, les juges pratiquent un harcèlement implacable contre les élus jugés non politiquement corrects.
Trois mois de prison avec sursis, deux ans d'inéligibilité, 600 000 F d'amendes et de frais de justice divers, c'est une peine que l'on n'inflige pas aujourd'hui aux racketteurs ou aux incendiaires de voitures.
C'est à peine si on l'inflige aux politiciens corrompus.
On a aujourd'hui une justice qui traite de la même manière ceux qui détournent des dizaines, voire des centaines de millions de francs d'argent public et ceux qui veulent rendre cet argent à leur peuple pour favoriser la natalité française. C'est honteux !
Pourtant tout le monde le reconnaît, il n'y a pas assez d'enfants français pour renouveler les générations, pour assurer l'avenir de notre peuple!
Et c'est l'argument, le prétexte que prennent certains pour demander de nouvelles vagues d'immigration. Pour que les étrangers viennent se substituer aux enfants français que nous n'avons pas.
Et quand un maire et son premier adjoint cherchent à aider les familles françaises à avoir plus d'enfants, ils sont condamnés comme des voyous à la prison. Mais dans quel pays est-on, on marche sur la tête ! C'est le monde à l'envers !
Car tout de même, vouloir donner la priorité aux siens, quoi de plus naturel ! C'est ce que font d'innombrables pays au monde. C'est ce que l'on faisait dans notre pays depuis toujours. La priorité française, la préférence nationale, quoi de plus normal !
Les hommes ont besoin de communautés pour s'épanouir. Et la nation est l'une des plus fortes, des plus belles, des plus protectrices. Elle est légitime, elle est naturelle, elle est essentielle. Et elle ne peut perdurer que si ceux qui en font partie ont des droits exclusifs, puissent compter les uns sur les autres et bénéficier d'une préférence les uns envers les autres.
C'est si vrai que les juges doivent être français, qu'ils jugent au nom du peuple français, selon des lois françaises.
Alors à quel dérèglement en est-on arrivé pour que des juges français jugeant en France au nom du peuple français selon les lois françaises en viennent à condamner des Français élus par des Français au motif qu'ils ont voulu aider les Français. On marche sur la tête !
Et le résultat, c'est la montée du totalitarisme. Les juges d'Aix-en-Provence ont bafoué les libertés, la démocratie, la république. Ils ont fait un bras d'honneur au peuple français.
Car tout de même, la présidente de la cour, Madame Viangelli a purement et simplement ignoré le principe de la séparation des pouvoirs en cherchant à démettre de son mandat Catherine Mégret trois mois seulement après sa brillante réélection à la mairie de Vitrolles-en-Provence et cela pour avoir voulu appliquer le programme que des électeurs ont pourtant majoritairement approuvé.
En fait, Madame Viangelli leur a dit : " Vous pouvez voter comme vous voulez, on s'en fiche, c'est nous qui décidons ! On est au-dessus de vous ! Vous êtes en démocratie surveillée "!
Car c'est bien de cela dont il s'agit. La justice tend à s'instaurer comme le pouvoir suprême. Les magistrats veulent s'occuper de tout et de n'importe quoi, ils veulent régenter tous les aspects de la vie nationale et surtout ils veulent mettre sous leur coupe les politiques.
Dans l'affaire de la prime de Vitrolles, la justice veut bel et bien s'immiscer dans le domaine des élus, dire ce qu'ils doivent faire et ne pas faire. C'est tellement vrai qu'en pleine campagne électorale, à Vitrolles, toujours un juge est venu contrôler un tract électoral de Catherine Mégret, qui concernait l'immigration, et en interdire la diffusion. Il a même été jusqu'à interdire à Catherine Mégret d'écrire pendant sa campagne quoi que ce soit sur l'immigration sauf à faire porter sur les documents la mention " programme déclaré illégal par la justice " Nuit gravement à la santé ! On croit rêver ! Ces gens-là veulent non seulement censurer les élus mais aussi censurer leur programme électoral.
Ils s'arrogent un pouvoir exorbitant, un pouvoir au demeurant sans contrôle et donc totalitaire. Car les juges sont les seuls avec les journalistes à n'être contrôlés par personne.
Lorsqu'un juge libère un criminel et que ce dernier commet un nouveau crime, le juge a beau être responsable, personne ne vient le poursuivre, lui demander des comptes et le sanctionner.
Nous avons aujourd'hui en France un pouvoir judiciaire qui échappe à tout contrepoids et qui de surcroît poursuit en dehors de tout contrôle démocratique son propre projet idéologique ! Car on a désormais affaire à une justice idéologique. Non pas partisane, elle ne roule pas pour tel ou tel parti politique car elle veut les soumettre tous. Elle roule pour une idéologie, l'idéologie du politiquement correct. Elle constitue avec les médias le noyau dur de la pensée unique.
Et croyez moi, il y a de quoi s'inquiéter quand on sait ce que pensent beaucoup de ces juges.
Tenez, connaissez-vous le projet de Monsieur Laurent Danemas, ancien procureur de la République dans l'Essonne? Monsieur Danemas veut instaurer un permis de vivre en société, avec des points comme le permis de conduire. Et ce n'est pas, naturellement, pour traiter des crimes ou des délits de droit commun, non ! C'est pour traiter les attitudes non politiquement correctes. Alors si vous avez une altercation avec un noir, deux points en moins ! Si vous êtes chef d'entreprise et que vous licenciez un arabe, trois points en moins ! Et pour gagner de nouveaux points, il faut passer par un stage de rééducation.
Par contre, on ne sait pas ce qui se passe quand on perd tous ses points et qu'on n'a plus de permis ! De permis de vivre en société!
Il faudra demander à Monsieur Danemas qui a d'ailleurs récemment obtenu une promotion !
Ou plutôt on ne lui demandera rien du tout. Car nous, nous entendons vivre chez nous sans permis.
Simplement en jouissant du droit que nous confère notre qualité de Français, c'est-à-dire d'hommes et de femmes libres vivant dans un pays de liberté.
Et c'est pour le rappeler que nous sommes venus ici devant le ministère de la Justice pour demander aux magistrats de se ressaisir, aux juges intègres de résister à la justice idéologique et de rétablir la justice dans la justice.
Nous sommes venus aussi demander à tous les responsables de la classe politique de se ressaisir et d'ouvrir les yeux. Le pouvoir judiciaire veut subordonner les autres pouvoirs. Et ceux qui ont vocation à exercer le pouvoir législatif et exécutif ne doivent pas se laisser soumettre par un autre pouvoir que celui du peuple.
Et ils ne doivent nourrir aucune illusion. Aujourd'hui c'est Catherine Mégret, demain ce sera leur tour dès lors qu'ils sortiront du politiquement correct ou qu'ils déplairont au syndicat de la magistrature. N'est-ce pas, Monsieur Gremetz ?
Mais nous sommes venus aussi et surtout pour appeler nos compatriotes à ne pas se laisser priver de leurs droits démocratiques et de leurs libertés civiques.
Aussi je leur dis : secouez-vous, réagissez ! Le peuple, c'est vous ! C'est vous qui incarnez la légitimité, c'est vous qui avez le pouvoir, le vrai, celui qui en république fonde tous les autres. Ne vous laissez pas manipuler, aveugler. Retrouvez votre lucidité. Restez des hommes et des femmes libres.
Non à la démocratie surveillée !
Non à la justice idéologique !
Vive la liberté !
Vive la France !
(Source http://www.mouvement-national.org, le 3 juillet 2001)