Texte intégral
Depuis le 11 septembre 2001, le monde n'est plus comme avant. Nous sommes désormais face à une nouvelle guerre. Nous avons donc à établir, face à cette nouvelle guerre, les conditions d'une nouvelle paix.
I - Nous sommes face à une nouvelle guerre
1) Il ne s'agit plus d'une guerre de bloc à bloc, d'Etat à Etat, nous sommes face à une internationale terroriste, il s'agit d'une guerre faite par des groupes non étatiques. Il n'y a plus l'équilibre de la peur et de la raison.
2) Il ne s'agit plus d'attaques militaires contre des cibles militaires.
Il s'agit d'attaques terroristes contre des cibles civiles.
Il ne s'agit plus de s'attaquer aux résistances physiques mais aux résistances psychologiques de tout un peuple.
3) L'ennemi déclenche son attaque de l'intérieur du pays-victime du terrorisme, et non plus de l'extérieur.
4) La cause défendue n'est plus politique, elle est culturelle et même métaphysique.
Oui, il s'agit bien d'un "choc de civilisations" à travers ce nouveau millénarisme suicidaire.
C'est le JIHAD contre LA LIBERTE.
Après le mur de Berlin, le mur du Jihad, il sépare 2 mondes, 2 civilisations. Il dissipe l'illusion d'une planète débarrassée du tragique et de l'Histoire.
II - Face à cette nouvelle guerre, il nous faut établir les conditions d'une nouvelle paix.
Nous avons atteint un niveau très grave d'impréparation et de capitulation morale qui contraste avec la froide détermination de nos agresseurs.
Les hommes politiques français, qui ont provoqué les vagues d'immigration, depuis des années, sont des criminels en puissance.
1) Il faut remettre à plat toute la politique européenne.
Aujourd'hui, en effet, l'enquête sur les attentats du 11 septembre se concentre sur l'Europe. Elle tend à montrer que, depuis des années, hélas, l'Europe sert de base arrière aux terroristes islamistes.
Au lendemain des attentats, un quotidien français, interrogeait la présidente actuelle d'Eurojust, Mme Coninsx, et lui posait la question suivante : "la nébuleuse islamiste est-elle fortement implantée en Europe ?" et la Présidente d'Eurojust lui répondait ceci : "l'Europe peut constituer une base de repli logistique pour ces terroristes. Les frontières sont, en effet, relativement faciles à franchir à cause de l'espace Schengen".
C'est vrai pour les terroristes, mais c'est vrai aussi pour les matières fissiles et l'immigration clandestine. Europol vient d'annoncer que 500.000 clandestins entrent chaque année sur le territoire des pays de l'Union européenne. Il faut, aujourd'hui, enfin, comprendre que les contrôles aux frontières ne nuisent pas à la liberté de circulation. Ils nuisent aux criminels et ils protègent les libertés des citoyens. C'est pourquoi, il est urgent :
- d'abolir le traité de Schengen ;
- de rétablir nos frontières ;
- et d'abolir le traité d'Amsterdam, notamment le désastreux article 67-1 :
- qui permet, 5 ans après son entrée en vigueur, l'absence totale de tout contrôle de personnes aux frontières intérieures,
- qui confie à la Commission de Bruxelles le contrôle de la politique d'immigration.
2) Il faut déclencher l'opération "moisson essentielle" dans nos banlieues.
- Il faut désarmer les banlieues qui sont devenues des arsenaux clandestins ;
- Il faut interdire les mouvements islamistes, c'est-à-dire faut mettre en uvre une politique de tolérance zéro pour les mouvements islamistes ;
- Il faut donner à la police et à la justice des moyens et une mission plus large d'investigation et de sanctions : dans ce cadre là, il faut abolir la "loi Guigou" qui désarme la justice et la police.
3) Il faut adapter notre outil de défense
Victime depuis 7 ans d'un triple sabordage, budgétaire, technique et surtout stratégique, l'armée française est devenue peu à peu une sorte de milice humanitaire pro-islamiste.
Le service national a été aboli au pire moment, au moment où il s'avèrait justement nécessaire. Il faut établir la participation générale des citoyens à la défense du territoire : créer en France la garde nationale.
4) Il faut donner aux jeunes Français le sens de la Nation et les valeurs de civilisation
- restaurer l'autorité de l'Etat ; ce qui veut dire ne plus accepter de flirter avec le crime en Corse ;
- imposer à l'école une instruction civique nationale ;
- prendre exemple sur l'Amérique pour faire rayonner notre culture et faire aimer notre drapeau ;
- ne donner la nationalité qu'à des gens assimilés ;
- ne plus accepter de laisser salir la mémoire de la France et l'honneur de son armée.
Le 11 septembre 2001, restera comme un point de retournement de l'Histoire : tout ce qu'on croyait périmé, apparaît comme l'assurance de l'avenir :
- la nécessité des frontières, tamis et instrument de la paix pour lutter contre la mondialisation du crime ;
- la nécessité des Etats, pour concilier la notion d'espace et de sécurité ;
- la nécessité des nations, car il n'y a pas, face au terrorisme, d'autre réponse, d'autre cohésion que nationale.
(Source http://www.mpf-villiers.org, le 17 octobre 2001)
I - Nous sommes face à une nouvelle guerre
1) Il ne s'agit plus d'une guerre de bloc à bloc, d'Etat à Etat, nous sommes face à une internationale terroriste, il s'agit d'une guerre faite par des groupes non étatiques. Il n'y a plus l'équilibre de la peur et de la raison.
2) Il ne s'agit plus d'attaques militaires contre des cibles militaires.
Il s'agit d'attaques terroristes contre des cibles civiles.
Il ne s'agit plus de s'attaquer aux résistances physiques mais aux résistances psychologiques de tout un peuple.
3) L'ennemi déclenche son attaque de l'intérieur du pays-victime du terrorisme, et non plus de l'extérieur.
4) La cause défendue n'est plus politique, elle est culturelle et même métaphysique.
Oui, il s'agit bien d'un "choc de civilisations" à travers ce nouveau millénarisme suicidaire.
C'est le JIHAD contre LA LIBERTE.
Après le mur de Berlin, le mur du Jihad, il sépare 2 mondes, 2 civilisations. Il dissipe l'illusion d'une planète débarrassée du tragique et de l'Histoire.
II - Face à cette nouvelle guerre, il nous faut établir les conditions d'une nouvelle paix.
Nous avons atteint un niveau très grave d'impréparation et de capitulation morale qui contraste avec la froide détermination de nos agresseurs.
Les hommes politiques français, qui ont provoqué les vagues d'immigration, depuis des années, sont des criminels en puissance.
1) Il faut remettre à plat toute la politique européenne.
Aujourd'hui, en effet, l'enquête sur les attentats du 11 septembre se concentre sur l'Europe. Elle tend à montrer que, depuis des années, hélas, l'Europe sert de base arrière aux terroristes islamistes.
Au lendemain des attentats, un quotidien français, interrogeait la présidente actuelle d'Eurojust, Mme Coninsx, et lui posait la question suivante : "la nébuleuse islamiste est-elle fortement implantée en Europe ?" et la Présidente d'Eurojust lui répondait ceci : "l'Europe peut constituer une base de repli logistique pour ces terroristes. Les frontières sont, en effet, relativement faciles à franchir à cause de l'espace Schengen".
C'est vrai pour les terroristes, mais c'est vrai aussi pour les matières fissiles et l'immigration clandestine. Europol vient d'annoncer que 500.000 clandestins entrent chaque année sur le territoire des pays de l'Union européenne. Il faut, aujourd'hui, enfin, comprendre que les contrôles aux frontières ne nuisent pas à la liberté de circulation. Ils nuisent aux criminels et ils protègent les libertés des citoyens. C'est pourquoi, il est urgent :
- d'abolir le traité de Schengen ;
- de rétablir nos frontières ;
- et d'abolir le traité d'Amsterdam, notamment le désastreux article 67-1 :
- qui permet, 5 ans après son entrée en vigueur, l'absence totale de tout contrôle de personnes aux frontières intérieures,
- qui confie à la Commission de Bruxelles le contrôle de la politique d'immigration.
2) Il faut déclencher l'opération "moisson essentielle" dans nos banlieues.
- Il faut désarmer les banlieues qui sont devenues des arsenaux clandestins ;
- Il faut interdire les mouvements islamistes, c'est-à-dire faut mettre en uvre une politique de tolérance zéro pour les mouvements islamistes ;
- Il faut donner à la police et à la justice des moyens et une mission plus large d'investigation et de sanctions : dans ce cadre là, il faut abolir la "loi Guigou" qui désarme la justice et la police.
3) Il faut adapter notre outil de défense
Victime depuis 7 ans d'un triple sabordage, budgétaire, technique et surtout stratégique, l'armée française est devenue peu à peu une sorte de milice humanitaire pro-islamiste.
Le service national a été aboli au pire moment, au moment où il s'avèrait justement nécessaire. Il faut établir la participation générale des citoyens à la défense du territoire : créer en France la garde nationale.
4) Il faut donner aux jeunes Français le sens de la Nation et les valeurs de civilisation
- restaurer l'autorité de l'Etat ; ce qui veut dire ne plus accepter de flirter avec le crime en Corse ;
- imposer à l'école une instruction civique nationale ;
- prendre exemple sur l'Amérique pour faire rayonner notre culture et faire aimer notre drapeau ;
- ne donner la nationalité qu'à des gens assimilés ;
- ne plus accepter de laisser salir la mémoire de la France et l'honneur de son armée.
Le 11 septembre 2001, restera comme un point de retournement de l'Histoire : tout ce qu'on croyait périmé, apparaît comme l'assurance de l'avenir :
- la nécessité des frontières, tamis et instrument de la paix pour lutter contre la mondialisation du crime ;
- la nécessité des Etats, pour concilier la notion d'espace et de sécurité ;
- la nécessité des nations, car il n'y a pas, face au terrorisme, d'autre réponse, d'autre cohésion que nationale.
(Source http://www.mpf-villiers.org, le 17 octobre 2001)