Résumé
Opposition à toute forme de nationalisation ( même pour la sidérurgie ou Dassault ) et volonté d'une action au-niveau du Parlement ou du Conseil constitutionnel sur plusieurs points ( compatibilité des nationalisations avec le traité de Rome, respect des indemnités, notion de "nécessité publique", nationalisation des biens situés à l'étranger, incitation aux placements industriels ).<br>- Bilan des effets négatifs des nationalisations qui pénalisent l'initiative des chefs d'entreprise, ôtent le sens des responsabilités ( exemple de Renault, réussite commerciale et technique mais qui fait combler son déficit par l'Etat ) éloigneront les investisseurs étrangers et aboutiront à des formes improductives d'épargne ou à l'augmentation de la consommation ( baisse des investissements dans l'outil de travail ).<br>- Critique de la politique économique du nouveau gouvernement ( appel à la consommation, arrêt du programme nucléaire, attaque des chefs d'entreprise ) qui menace la compétitivité économi que de la France.- 2 VUES