Résumé
Importance de la prospérité de l'entreprise, de la connaissance des aspirations des salariés ( influence de la crise et de la transformation des modes de vie et de pensée, et des organisations syndicales ( ne devant pas monopoliser l'expression des travailleurs ni remettre en cause l'unité de pouvoir ) pour la qualité des rapports sociaux.<br>- Proposition de règles du jeu concernant le rôle de l'Etat ( inciter et non pas imposer )-l'objet des relations sociales ( amélioration des acquis mais aussi examen des facteurs de progrès social à terme, notamment en-matière d'emploi )-la place des organisations syndicales ( proposition d'une représentation élue des salariés dans les organes dirigeants des sociétés disposant d'un droit à l'information et d'un pouvoir de surveillance )-de nouveaux types d'accords, notamment sur les salaires, tenant-compte de la productivité et de la situation économique.<br>- Position favorable aux principes des projets de loi Auroux, mais critique de son aspect étatique, de l'action du gouvernement ( blocage des accords et négociations ) et du bouleversement du code du travail.- 16 VUES