Texte intégral
Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales, a reçu ce matin des représentants des organisateurs de soirées techno officielles et payantes (l'association Technopol et l'organisateur du festival Astropolis) ainsi que le collectif des sound systems, qui fédère les organisateurs de fêtes officieuses et gratuites, notamment les teknivals.
Les participants ont manifesté leur satisfaction à l'égard de la politique de dialogue et de concertation qui s'est mise en place entre le Ministère de l'Intérieur et les organisateurs de rave-parties.
Cette politique a permis notamment l'organisation réussie de plusieurs teknivals, en particulier ceux de Fos-sur-Mer en décembre 2002, Marigny en mai 2003 et Chevannes en juillet 2003, contribuant à dédramatiser ces événements aux yeux de l'administration et du grand public.
Nicolas Sarkozy a indiqué que l'implication de l'Etat dans l'organisation de ces événements était subordonnée à l'effort des organisateurs pour prendre en compte les contraintes de l'ordre public et le respect des riverains.
De ce point de vue, l'organisation du teknival de Marigny a été un moment constructif, les organisateurs ayant pris conscience des responsabilités leur incombant et ayant noué un dialogue positif avec les autorités publiques.
Tout en poursuivant cette politique, dont la prochaine étape est l'organisation du teknival du 15 août prochain, le Ministre et les ravers ont convenu que l'organisation de rave-parties, gratuites ou payantes, de moindre importance demeurait parfois problématique.
Le Ministre a décidé de réunir à la rentrée, en présence des organisateurs de rave et de free-parties, les médiateurs du Ministère de l'Intérieur et les directeurs de cabinet des préfets, pour créer les conditions d'un meilleur dialogue au niveau local.
L'Association des Maires de France sera invitée à participer à cette réunion.
Une nouvelle circulaire sera adressée aux préfets qui portera principalement sur les soirées officielles et payantes et sur les rave-parties gratuites de plus petite importance.
Les médiateurs du Ministère de l'Intérieur verront leur rôle élargi à l'organisation des soirées techno payantes qui relèvent de la législation sur les spectacles. Les préfets auront par ailleurs l'obligation d'informer le Ministère de l'Intérieur de tout projet d'interdiction de free-parties relevant de leur compétence.
(Source http://wwww.interieur.gouv.fr, le 20 août 2003)
Les participants ont manifesté leur satisfaction à l'égard de la politique de dialogue et de concertation qui s'est mise en place entre le Ministère de l'Intérieur et les organisateurs de rave-parties.
Cette politique a permis notamment l'organisation réussie de plusieurs teknivals, en particulier ceux de Fos-sur-Mer en décembre 2002, Marigny en mai 2003 et Chevannes en juillet 2003, contribuant à dédramatiser ces événements aux yeux de l'administration et du grand public.
Nicolas Sarkozy a indiqué que l'implication de l'Etat dans l'organisation de ces événements était subordonnée à l'effort des organisateurs pour prendre en compte les contraintes de l'ordre public et le respect des riverains.
De ce point de vue, l'organisation du teknival de Marigny a été un moment constructif, les organisateurs ayant pris conscience des responsabilités leur incombant et ayant noué un dialogue positif avec les autorités publiques.
Tout en poursuivant cette politique, dont la prochaine étape est l'organisation du teknival du 15 août prochain, le Ministre et les ravers ont convenu que l'organisation de rave-parties, gratuites ou payantes, de moindre importance demeurait parfois problématique.
Le Ministre a décidé de réunir à la rentrée, en présence des organisateurs de rave et de free-parties, les médiateurs du Ministère de l'Intérieur et les directeurs de cabinet des préfets, pour créer les conditions d'un meilleur dialogue au niveau local.
L'Association des Maires de France sera invitée à participer à cette réunion.
Une nouvelle circulaire sera adressée aux préfets qui portera principalement sur les soirées officielles et payantes et sur les rave-parties gratuites de plus petite importance.
Les médiateurs du Ministère de l'Intérieur verront leur rôle élargi à l'organisation des soirées techno payantes qui relèvent de la législation sur les spectacles. Les préfets auront par ailleurs l'obligation d'informer le Ministère de l'Intérieur de tout projet d'interdiction de free-parties relevant de leur compétence.
(Source http://wwww.interieur.gouv.fr, le 20 août 2003)