Texte intégral
Monsieur le Président de la République,
Mes Chers Collègues maires,
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,
Permettez-moi, M. le Président de la République de vous remercier pour avoir tenu à vous associer aussi étroitement à cet hommage exceptionnel que le Sénat a voulu rendre aux maires de France, à l'orée de ce troisième millénaire.
Ce matin, sur les Champs-Elysées, vous avez, en votre qualité de chef des armées, salué les maires de France, ceints de leur écharpe tricolore, pour souligner le lien indissociable et indissoluble qui doit unir la Nation et son armée, désormais professionnalisée.
A présent, vous venez, en votre qualité de Président de la République, c'est-à-dire de toutes les Françaises et de tous les Français, partager avec les élus de proximité, ces premiers serviteurs de la République, la fin de ce déjeuner républicain.
Croyez que nous sommes tous sensibles à ces marques d'attention qui compensent les caprices de la météo...
Plus sérieusement, votre présence à nos côtés pour cette Fête de la Fédération constitue un encouragement : elle renforce le Sénat dans sa conviction, partagée par tous ses groupes politiques, que la démocratie de proximité constitue un gage de la vitalité de notre démocratie, un facteur d'efficience de l'action publique et une réponse efficace aux défis de notre temps.
Mais je ne voudrais pas, M. le Président de la République, altérer, par des propos trop solennels l'ambiance ô combien chaleureuse et conviviale de cette fête de famille.
C'est donc bien volontiers que je vous cède la parole.
(source http://www.senat.fr, le 22 novembre 2000)
Mes Chers Collègues maires,
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,
Permettez-moi, M. le Président de la République de vous remercier pour avoir tenu à vous associer aussi étroitement à cet hommage exceptionnel que le Sénat a voulu rendre aux maires de France, à l'orée de ce troisième millénaire.
Ce matin, sur les Champs-Elysées, vous avez, en votre qualité de chef des armées, salué les maires de France, ceints de leur écharpe tricolore, pour souligner le lien indissociable et indissoluble qui doit unir la Nation et son armée, désormais professionnalisée.
A présent, vous venez, en votre qualité de Président de la République, c'est-à-dire de toutes les Françaises et de tous les Français, partager avec les élus de proximité, ces premiers serviteurs de la République, la fin de ce déjeuner républicain.
Croyez que nous sommes tous sensibles à ces marques d'attention qui compensent les caprices de la météo...
Plus sérieusement, votre présence à nos côtés pour cette Fête de la Fédération constitue un encouragement : elle renforce le Sénat dans sa conviction, partagée par tous ses groupes politiques, que la démocratie de proximité constitue un gage de la vitalité de notre démocratie, un facteur d'efficience de l'action publique et une réponse efficace aux défis de notre temps.
Mais je ne voudrais pas, M. le Président de la République, altérer, par des propos trop solennels l'ambiance ô combien chaleureuse et conviviale de cette fête de famille.
C'est donc bien volontiers que je vous cède la parole.
(source http://www.senat.fr, le 22 novembre 2000)