Texte intégral
La lutte contre le cancer.
- Le ministre de la Santé et de la Sécurité sociale a fait une communication sur le cancer en France et les moyens mis en oeuvre pour lutter contre cette maladie. Il a proposé, notamment à-partir des travaux de la commission du cancer, qui est composée de médecins et de chercheurs, les principales orientations destinées à la rendre plus efficace.
- Le problème du cancer concerne la plupart des Français : 200.000 personnes en sont atteintes chaque année. Le traitement connaît des progrès lents mais continus: désormais, un cas sur trois guérit définitivement. Certaines formes de cancer, traitées dans de bonnes conditions, guérissent à plus de 90 %.
- La recherche fondamentale est la condition du progrès à long terme dans la lutte contre cette maladie ; la France doit demeurer, dans ce domaine, parmi les nations les plus avancées.
- Le financement de la recherche par l'Etat augmentera de 30 % en 1981. Aux crédits budgétaires s'ajoutent les fonds provenant nota mment des collectes nationales, désormais coordonnées par le Haut comité d'aide à la lutte contre le cancer.
- Déjà on connaît les facteurs qui facilitent ou déclenchent l'apparition de la maladie. La prévention peut donc être développée, notamment par l'encouragement à la diminution de la consommation d'alcool et de tabac. L'Etat continuera à contribuer au développement de la prévention.
- Le gouvernement a approuvé l'objectif proposé par le ministre de la Santé et de la Sécurité sociale : assurer en permanence à tous les Français les meilleurs possibilités de diagnostic précoce et de traitement. A cette fin, une formation permanente en cancérologie sera donnée à l'ensemble des médecins généralistes. Des dispositions seront prises pour que, quel que soit l'établissement de soins choisi par le malade - centre anti-cancéreux, hôpital ou établissement de soins privés - les meilleurs soins médicaux lui soient prodigués, notamment par l'intervention d'une équipe inter-disciplinaire d e traitement du cancer.
- Enfin, la réinsertion sociale et professionnelle des anciens malades sera favorisée grâce, en-particulier, à l'acrion des associarions que la gouvernement entend encourager.
- Le ministre de la Santé et de la Sécurité sociale a fait une communication sur le cancer en France et les moyens mis en oeuvre pour lutter contre cette maladie. Il a proposé, notamment à-partir des travaux de la commission du cancer, qui est composée de médecins et de chercheurs, les principales orientations destinées à la rendre plus efficace.
- Le problème du cancer concerne la plupart des Français : 200.000 personnes en sont atteintes chaque année. Le traitement connaît des progrès lents mais continus: désormais, un cas sur trois guérit définitivement. Certaines formes de cancer, traitées dans de bonnes conditions, guérissent à plus de 90 %.
- La recherche fondamentale est la condition du progrès à long terme dans la lutte contre cette maladie ; la France doit demeurer, dans ce domaine, parmi les nations les plus avancées.
- Le financement de la recherche par l'Etat augmentera de 30 % en 1981. Aux crédits budgétaires s'ajoutent les fonds provenant nota mment des collectes nationales, désormais coordonnées par le Haut comité d'aide à la lutte contre le cancer.
- Déjà on connaît les facteurs qui facilitent ou déclenchent l'apparition de la maladie. La prévention peut donc être développée, notamment par l'encouragement à la diminution de la consommation d'alcool et de tabac. L'Etat continuera à contribuer au développement de la prévention.
- Le gouvernement a approuvé l'objectif proposé par le ministre de la Santé et de la Sécurité sociale : assurer en permanence à tous les Français les meilleurs possibilités de diagnostic précoce et de traitement. A cette fin, une formation permanente en cancérologie sera donnée à l'ensemble des médecins généralistes. Des dispositions seront prises pour que, quel que soit l'établissement de soins choisi par le malade - centre anti-cancéreux, hôpital ou établissement de soins privés - les meilleurs soins médicaux lui soient prodigués, notamment par l'intervention d'une équipe inter-disciplinaire d e traitement du cancer.
- Enfin, la réinsertion sociale et professionnelle des anciens malades sera favorisée grâce, en-particulier, à l'acrion des associarions que la gouvernement entend encourager.