Texte intégral
La ministre de la jeunesse et des sports a présenté une communication sur la protection de la santé des sportifs et la lutte contre le dopage.
Un premier bilan satisfaisant peut être dressé de la mise en uvre de la loi du 23 mars 1999 relative à la protection des sportifs et à la lutte contre le dopage. Les textes d'application déjà intervenus et les moyens financiers (115 MF en 2000 contre 37 MF en 1997) dégagés ont permis de donner leur plein effet aux dispositions de la loi en ce qui concerne le pouvoir disciplinaire conféré au conseil de prévention et de lutte contre le dopage, la réalisation des contrôles antidopages (344 cas positifs détectés en 1999 sur plus de 8000 analyses) ou la mise en place des antennes médicales de lutte contre le dopage.
De nombreuses initiatives concrètes sont également conduites, en partenariat avec le milieu sportif ou la communauté scientifique, pour prévenir le dopage et protéger la santé des sportifs.
Elles doivent désormais trouver un prolongement international, au sein de l'agence mondiale antidopage (AMA), et européen, notamment grâce aux propositions de la France visant à rapprocher les législations nationales et à développer la coopération scientifique.
Un premier bilan satisfaisant peut être dressé de la mise en uvre de la loi du 23 mars 1999 relative à la protection des sportifs et à la lutte contre le dopage. Les textes d'application déjà intervenus et les moyens financiers (115 MF en 2000 contre 37 MF en 1997) dégagés ont permis de donner leur plein effet aux dispositions de la loi en ce qui concerne le pouvoir disciplinaire conféré au conseil de prévention et de lutte contre le dopage, la réalisation des contrôles antidopages (344 cas positifs détectés en 1999 sur plus de 8000 analyses) ou la mise en place des antennes médicales de lutte contre le dopage.
De nombreuses initiatives concrètes sont également conduites, en partenariat avec le milieu sportif ou la communauté scientifique, pour prévenir le dopage et protéger la santé des sportifs.
Elles doivent désormais trouver un prolongement international, au sein de l'agence mondiale antidopage (AMA), et européen, notamment grâce aux propositions de la France visant à rapprocher les législations nationales et à développer la coopération scientifique.