Texte intégral
Le ministre de l'intérieur a présenté au Conseil des ministres une communication relative au bilan de la campagne de lutte contre les feux de forêts.
- L'efficacité de la lutte contre les feux de forêts repose sur l'attaque et le traitement du feu dans les dix premières minutes.
- C'est pourquoi les moyens de prévention sont mobilisés de manière systématique et déployés sur l'ensemble des zones à risques du sud-est et de la Corse, notamment en installant les renforts nationaux en hommes et en matiériels au plus près des risques. L'action de l'Etat est coordonnée par le ministre de l'intérieur et associe le ministre de la défense, le ministre de l'agriculture et de la forêt, le secrétaire d'Etat chargé de la prévention des risques technologiques et naturels majeurs et l'Office national des forêts. Les concours apportés, aux côtés de l'Etat, par les collectivités locales, l'Entente interdépartementale pour la protection de la forêt méditerranéenne et par le conservatoire de la forêt méditerranéenne, sont décisifs.
- L'Etat a alloué en 1988 trente deux millions de francs aux départements du sud-est et à la Corse, tandis qu'il a lui-même consacré deux cent soixante sept millions de francs au titre des renforts nationaux, aériens et terrestres.
- En 1988, la campagne de lutte contre les feux de forêt a bénéficié de circonstances atmosphériques favorables. Le début de la saison a été marquée par des précipitationbs apportant à la végétation une réserve en eau ; en outre, les vents n'ont pas connu, durant l'été, leur intensité habituelle.
- Bien que les risques saisonniers n'aient pas encore disparu, les résultats connus à ce jour sont encourageants.
- Au 26 septembre, la surface totale parcourue par le feu était de 4300 hectares contre 10300 hectares en 1987.
- La superficie moyenne par feu est passée de 3,2 hectares en 1987 à 1,2 hectare en 1988.
- S'agissant des feux de forêt en cours depuis plus d'une semaine dans l'île de La Réunion, le gouvernement met tout en oeuvre pour qu'en collaboration avec les autorités de lîle la situation redevienne normale à brefs délais et que les populations touchées bénéficient de la solidarité nationale.
- L'efficacité de la lutte contre les feux de forêts repose sur l'attaque et le traitement du feu dans les dix premières minutes.
- C'est pourquoi les moyens de prévention sont mobilisés de manière systématique et déployés sur l'ensemble des zones à risques du sud-est et de la Corse, notamment en installant les renforts nationaux en hommes et en matiériels au plus près des risques. L'action de l'Etat est coordonnée par le ministre de l'intérieur et associe le ministre de la défense, le ministre de l'agriculture et de la forêt, le secrétaire d'Etat chargé de la prévention des risques technologiques et naturels majeurs et l'Office national des forêts. Les concours apportés, aux côtés de l'Etat, par les collectivités locales, l'Entente interdépartementale pour la protection de la forêt méditerranéenne et par le conservatoire de la forêt méditerranéenne, sont décisifs.
- L'Etat a alloué en 1988 trente deux millions de francs aux départements du sud-est et à la Corse, tandis qu'il a lui-même consacré deux cent soixante sept millions de francs au titre des renforts nationaux, aériens et terrestres.
- En 1988, la campagne de lutte contre les feux de forêt a bénéficié de circonstances atmosphériques favorables. Le début de la saison a été marquée par des précipitationbs apportant à la végétation une réserve en eau ; en outre, les vents n'ont pas connu, durant l'été, leur intensité habituelle.
- Bien que les risques saisonniers n'aient pas encore disparu, les résultats connus à ce jour sont encourageants.
- Au 26 septembre, la surface totale parcourue par le feu était de 4300 hectares contre 10300 hectares en 1987.
- La superficie moyenne par feu est passée de 3,2 hectares en 1987 à 1,2 hectare en 1988.
- S'agissant des feux de forêt en cours depuis plus d'une semaine dans l'île de La Réunion, le gouvernement met tout en oeuvre pour qu'en collaboration avec les autorités de lîle la situation redevienne normale à brefs délais et que les populations touchées bénéficient de la solidarité nationale.