Texte intégral
Le ministre de la culture, de la communication, des grands travaux et du Bicentenaire a présenté au Conseil des ministres une communication relative au financement des industries de la culture.
- Le ministre a présenté plusieurs nouvelles modalités d'aide de l'Etat en faveur des industries de la culture. Elles sont toutes inspirées par le souci de favoriser le pluralisme et la liberté d'expression des créateurs.
- A côté du compte de soutien à l'industrie cinématographique et audiovisuelle et du fonds national du livre, l'Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles, créé en 1983, interviendra à partir de cette annéee en faveur de projets culturels. En outre, l'Etat apportera son concours à l'Association pour le développement de la librairie de création fondée en 1989 par les éditeurs. Enfin, le statut des sociétés de financements du cinéma et de l'audiovisuel, créées en 1985, sera modifié dans un souci de plus grande efficacité.
- Les aides à la recherche et à l'innovation porteuses de retombées industrielles seront renforcées. Ainsi, un nouveau mécanisme sera mise en place en 1989 avec l'Agence nationale pour la valorisation de la recherche pour inciter à l'embauche de chercheurs dans le domaine des technologies appliquées à la culture. De même, un fonds de soutien à l'édition des mémoires optiques numériques vient d'être créé et un plan de développement des industries techniques du cinéma a été récemment mis en place.
- La France participe activement aux programmes européens de coopération dans le domaine du cinéma et du livre. Elle joue un rôle moteur dans l'application du programme Eurocare (conservation et restauration), intégré à Eurêka-technologies dans le domaine de l'audiovisuel.
- Cette politique passe par la mise en valeur des richesses culturelles nationales, qui constituent pour la France un véritable avantage comparatif en Europe et dans le monde.
- Le poids de la culture dans l'économie nationale et dans le budget des ménages fait du développement des industries de la culture un facteur de dynamisme de la croissance économique par ses effets induits en matière d'investissements, de consommation et d'échanges extérieurs.
- Le ministre a présenté plusieurs nouvelles modalités d'aide de l'Etat en faveur des industries de la culture. Elles sont toutes inspirées par le souci de favoriser le pluralisme et la liberté d'expression des créateurs.
- A côté du compte de soutien à l'industrie cinématographique et audiovisuelle et du fonds national du livre, l'Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles, créé en 1983, interviendra à partir de cette annéee en faveur de projets culturels. En outre, l'Etat apportera son concours à l'Association pour le développement de la librairie de création fondée en 1989 par les éditeurs. Enfin, le statut des sociétés de financements du cinéma et de l'audiovisuel, créées en 1985, sera modifié dans un souci de plus grande efficacité.
- Les aides à la recherche et à l'innovation porteuses de retombées industrielles seront renforcées. Ainsi, un nouveau mécanisme sera mise en place en 1989 avec l'Agence nationale pour la valorisation de la recherche pour inciter à l'embauche de chercheurs dans le domaine des technologies appliquées à la culture. De même, un fonds de soutien à l'édition des mémoires optiques numériques vient d'être créé et un plan de développement des industries techniques du cinéma a été récemment mis en place.
- La France participe activement aux programmes européens de coopération dans le domaine du cinéma et du livre. Elle joue un rôle moteur dans l'application du programme Eurocare (conservation et restauration), intégré à Eurêka-technologies dans le domaine de l'audiovisuel.
- Cette politique passe par la mise en valeur des richesses culturelles nationales, qui constituent pour la France un véritable avantage comparatif en Europe et dans le monde.
- Le poids de la culture dans l'économie nationale et dans le budget des ménages fait du développement des industries de la culture un facteur de dynamisme de la croissance économique par ses effets induits en matière d'investissements, de consommation et d'échanges extérieurs.