Texte intégral
Le ministre délégué au commerce et à l'artisanat a présenté une communication sur les nouvelles technologies dans les métiers du commerce et de l'artisanat.
- Les technologies de l'informatique font une remarquable percée dans les entreprises commerciales et artisanales. Par exemple, le nombre des artisans dépourvus de salarié qui utilisent des techniques de gestion informatisée a doublé en deux ans et leur proportion s'élève aujourd'hui à un sur cinq. Cette évolution est due à l'adaptation des produits informatiques aux besoins de ces entreprises, et à l'action d'encouragement des pouvoirs publics qui, depuis plusieurs années, aident les centres de formation et d'information ouverts aux commerçants et aux artisans.
- Les possibilités d'application des technologies nouvelles dans le commerce et l'artisanat sont considérables : simplification des moyens de paiement, sécurité du paiement par chèque grâce à la création du fichier national des chèques volés opérationnel en 1991, gestion intégrée de la comptabilité et des stocks à partir de l'enregistrement des transactions.
- La contribution des petites entreprises au progrès technologique est déjà importante : un tiers des aides de l'agence nationale pour la valorisation de la recherche aux projets d'innovation sont distribuées aux entreprises de moins de dix salariés, plus du cinquième des entreprises bénéficiaires du crédit d'impôt-recherche sont également des entreprises de cette taille, plus du tiers des ordres de sous-traitance reçus dans le secteur des métiers concernent la réalisation de prototypes et de pièces uniques.
- L'action des pouvoirs publics obéira à deux grandes priorités :
- l'encouragement aux transferts de technologie en provenance des grandes entreprises, qui sont nécessaires dans un secteur disposant rarement des moyens de financer à lui seul des actions de recherche-développement ;
- le perfectionnement de l'apprentissage et l'amélioration de son niveau technologique.
- Les centres de recherche associant l'université, les régions et les professionnels seront en conséquence encouragés.
- Les technologies de l'informatique font une remarquable percée dans les entreprises commerciales et artisanales. Par exemple, le nombre des artisans dépourvus de salarié qui utilisent des techniques de gestion informatisée a doublé en deux ans et leur proportion s'élève aujourd'hui à un sur cinq. Cette évolution est due à l'adaptation des produits informatiques aux besoins de ces entreprises, et à l'action d'encouragement des pouvoirs publics qui, depuis plusieurs années, aident les centres de formation et d'information ouverts aux commerçants et aux artisans.
- Les possibilités d'application des technologies nouvelles dans le commerce et l'artisanat sont considérables : simplification des moyens de paiement, sécurité du paiement par chèque grâce à la création du fichier national des chèques volés opérationnel en 1991, gestion intégrée de la comptabilité et des stocks à partir de l'enregistrement des transactions.
- La contribution des petites entreprises au progrès technologique est déjà importante : un tiers des aides de l'agence nationale pour la valorisation de la recherche aux projets d'innovation sont distribuées aux entreprises de moins de dix salariés, plus du cinquième des entreprises bénéficiaires du crédit d'impôt-recherche sont également des entreprises de cette taille, plus du tiers des ordres de sous-traitance reçus dans le secteur des métiers concernent la réalisation de prototypes et de pièces uniques.
- L'action des pouvoirs publics obéira à deux grandes priorités :
- l'encouragement aux transferts de technologie en provenance des grandes entreprises, qui sont nécessaires dans un secteur disposant rarement des moyens de financer à lui seul des actions de recherche-développement ;
- le perfectionnement de l'apprentissage et l'amélioration de son niveau technologique.
- Les centres de recherche associant l'université, les régions et les professionnels seront en conséquence encouragés.