Texte intégral
Le ministre de l'équipement, des transports, de l'aménagement du territoire, du tourisme et de la mer a présenté une communication relative à la mobilisation pour la sécurité routière.
Engagée il y a deux ans, la politique de sécurité routière conduite par le Gouvernement obtient des résultats jamais enregistrés ; si la tendance se confirme (3 600 vies épargnées par rapport aux deux années précédentes), notre pays pourra passer, à la fin de cette année, sous la barre symbolique des 5 000 personnes tuées, à comparer aux 8 000 morts par an au cours de la décennie 90.
Ces résultats traduisent l'évolution des comportements des Français qui sont plus respectueux des règles du code de la route. Les services de l'Etat ont pris une part importante dans la réussite de cette politique ; leur action a été renforcée par la mobilisation des élus, des associations, des entreprises, des médias et, plus généralement, de tous ceux participant à la diffusion de la nouvelle culture de sécurité routière.
Devant une situation encore inacceptable (plus de 15 morts par jour sur les routes de France), de nouveaux progrès s'imposent pour combattre les principaux facteurs d'accident que constituent la vitesse excessive, la consommation exagérée d'alcool et la prise de produits stupéfiants. Le port des équipements de sécurité (ceintures et casques) doit encore progresser. Aussi, une politique équilibrée de prévention, d'éducation et de contrôle doit plus que jamais être poursuivie pour inscrire dans la durée la tendance favorable observée depuis deux ans.
Le combat contre ce qui est trop souvent mis sur le compte de la fatalité doit recueillir l'adhésion des Français qui comprennent bien que les efforts qui leur sont demandés sont justifiés au regard des enjeux humains.
Les différentes mesures prises lors du Comité interministériel de la sécurité routière du 7 juillet 2004, qui visent à poursuivre l'effort engagé et à exploiter de nouvelles pistes d'amélioration (notamment par une expérimentation de l'usage des feux de croisement le jour ou par le renforcement de la sécurité des transports par autocar et des poids lourds), doivent permettre à la France de parvenir au premier rang européen en matière de sécurité routière.
[UD 6]
Engagée il y a deux ans, la politique de sécurité routière conduite par le Gouvernement obtient des résultats jamais enregistrés ; si la tendance se confirme (3 600 vies épargnées par rapport aux deux années précédentes), notre pays pourra passer, à la fin de cette année, sous la barre symbolique des 5 000 personnes tuées, à comparer aux 8 000 morts par an au cours de la décennie 90.
Ces résultats traduisent l'évolution des comportements des Français qui sont plus respectueux des règles du code de la route. Les services de l'Etat ont pris une part importante dans la réussite de cette politique ; leur action a été renforcée par la mobilisation des élus, des associations, des entreprises, des médias et, plus généralement, de tous ceux participant à la diffusion de la nouvelle culture de sécurité routière.
Devant une situation encore inacceptable (plus de 15 morts par jour sur les routes de France), de nouveaux progrès s'imposent pour combattre les principaux facteurs d'accident que constituent la vitesse excessive, la consommation exagérée d'alcool et la prise de produits stupéfiants. Le port des équipements de sécurité (ceintures et casques) doit encore progresser. Aussi, une politique équilibrée de prévention, d'éducation et de contrôle doit plus que jamais être poursuivie pour inscrire dans la durée la tendance favorable observée depuis deux ans.
Le combat contre ce qui est trop souvent mis sur le compte de la fatalité doit recueillir l'adhésion des Français qui comprennent bien que les efforts qui leur sont demandés sont justifiés au regard des enjeux humains.
Les différentes mesures prises lors du Comité interministériel de la sécurité routière du 7 juillet 2004, qui visent à poursuivre l'effort engagé et à exploiter de nouvelles pistes d'amélioration (notamment par une expérimentation de l'usage des feux de croisement le jour ou par le renforcement de la sécurité des transports par autocar et des poids lourds), doivent permettre à la France de parvenir au premier rang européen en matière de sécurité routière.
[UD 6]