Texte intégral
Le Tribunal administratif de Nantes vient de rejeter les recours déposés contre les arrêtés préfectoraux autorisant le lancement des travaux du futur aéroport du Grand Ouest, par transfert de l'aéroport de Nantes à Notre-Dame des Landes.
Cette décision confirme la parfaite conformité du projet au droit, et le respect des procédures encadrant la réalisation des projets dinfrastructures.
Le Premier ministre, Manuel Valls, prend acte de cette décision qui doit entraîner la reprise des travaux. La réalisation du projet est ainsi à nouveau engagée après avoir été suspendue depuis fin 2012. Le temps de dialogue qui sen est suivi a permis de confirmer la nécessité de la réalisation de ce projet soutenu par l'ensemble des collectivités locales pour des raisons aussi bien environnementales (préservation de la zone Natura 2000 du lac de Grand Lieu attenante à lactuel aéroport de Nantes Atlantique) quéconomiques (le développement économique et de lemploi dans le Grand Ouest nécessite un accroissement des capacités aéroportuaires ; or le niveau de trafic augmente plus vite que les prévisions et laéroport actuel sera saturé rapidement) ainsi que pour la préservation des populations (42.000 personnes sont survolées par les avions décollant ou atterrissant à Nantes Atlantique).
Le projet va donc pouvoir se poursuivre, en concertation avec les collectivités locales et la Commission européenne, dans un souci dexemplarité environnementale et de respect scrupuleux des procédures nationales et communautaires.Source http://www.gouvernement.fr, le 24 juillet 2015
Cette décision confirme la parfaite conformité du projet au droit, et le respect des procédures encadrant la réalisation des projets dinfrastructures.
Le Premier ministre, Manuel Valls, prend acte de cette décision qui doit entraîner la reprise des travaux. La réalisation du projet est ainsi à nouveau engagée après avoir été suspendue depuis fin 2012. Le temps de dialogue qui sen est suivi a permis de confirmer la nécessité de la réalisation de ce projet soutenu par l'ensemble des collectivités locales pour des raisons aussi bien environnementales (préservation de la zone Natura 2000 du lac de Grand Lieu attenante à lactuel aéroport de Nantes Atlantique) quéconomiques (le développement économique et de lemploi dans le Grand Ouest nécessite un accroissement des capacités aéroportuaires ; or le niveau de trafic augmente plus vite que les prévisions et laéroport actuel sera saturé rapidement) ainsi que pour la préservation des populations (42.000 personnes sont survolées par les avions décollant ou atterrissant à Nantes Atlantique).
Le projet va donc pouvoir se poursuivre, en concertation avec les collectivités locales et la Commission européenne, dans un souci dexemplarité environnementale et de respect scrupuleux des procédures nationales et communautaires.Source http://www.gouvernement.fr, le 24 juillet 2015