Texte intégral
Michel SAPIN, ministre de la fonction publique et de la réforme de l'Etat, a présidé, aujourd'hui, le Conseil d'orientation de l'Observatoire de l'emploi public.
Moins d'un an après sa création et à la suite d'un travail soutenu, l'Observatoire a présenté son premier rapport annuel sur les effectifs des fonctions publiques. Ce rapport répond aux incertitudes, sur le nombre exact de fonctionnaires travaillant pour l'Etat. Il constitue une première réponse aux critiques de la Cour des comptes.
Ainsi, l'Observatoire est aujourd'hui en mesure de présenter un premier tableau de synthèse sur l'emploi public. Ce tableau est accompagné de matrices de passage de l'emploi budgétaire, c'est-à-dire celui qui est approuvé par le Parlement, à l'emploi réel, qui correspond aux effectifs réellement employés dans les administrations.
Ces outils permettent de répondre avec précision et efficacité :
- Aux changements profonds induits par la réforme de l'ordonnance de 1959, qui fixe le cadre des lois de finances : dans le cadre de la nouvelle gestion publique, les marges de manuvre accrues offertes aux gestionnaires publics ont pour pendant une plus grande transparence sur l'utilisation des moyens de l'Etat.
- Aux départs massifs à la retraite d'un nombre important de fonctionnaires : ces départs, dans un contexte de recrutement par ailleurs de plus en plus tendu, rendent indispensables la mise en uvre d'une gestion prévisionnelle des effectifs, des emplois et des compétences. Cette gestion prévisionnelle a pour préalable une connaissance fine de l'emploi public.
Michel SAPIN transmettra demain au Parlement le premier rapport annuel de l'Observatoire de l'emploi public.
" Avec ce rapport, nous démontrons avec force l'opportunité d'un lieu de réflexion collective sur l'emploi public, associant les administrations, les organisations syndicales, le Parlement et les élus locaux. Nous ne contentons pas d'observer, nous agissons. ", a conclu Michel SAPIN.
(Source : http://www.fonction-publique.gouv.fr, le 10 août 2001)
Moins d'un an après sa création et à la suite d'un travail soutenu, l'Observatoire a présenté son premier rapport annuel sur les effectifs des fonctions publiques. Ce rapport répond aux incertitudes, sur le nombre exact de fonctionnaires travaillant pour l'Etat. Il constitue une première réponse aux critiques de la Cour des comptes.
Ainsi, l'Observatoire est aujourd'hui en mesure de présenter un premier tableau de synthèse sur l'emploi public. Ce tableau est accompagné de matrices de passage de l'emploi budgétaire, c'est-à-dire celui qui est approuvé par le Parlement, à l'emploi réel, qui correspond aux effectifs réellement employés dans les administrations.
Ces outils permettent de répondre avec précision et efficacité :
- Aux changements profonds induits par la réforme de l'ordonnance de 1959, qui fixe le cadre des lois de finances : dans le cadre de la nouvelle gestion publique, les marges de manuvre accrues offertes aux gestionnaires publics ont pour pendant une plus grande transparence sur l'utilisation des moyens de l'Etat.
- Aux départs massifs à la retraite d'un nombre important de fonctionnaires : ces départs, dans un contexte de recrutement par ailleurs de plus en plus tendu, rendent indispensables la mise en uvre d'une gestion prévisionnelle des effectifs, des emplois et des compétences. Cette gestion prévisionnelle a pour préalable une connaissance fine de l'emploi public.
Michel SAPIN transmettra demain au Parlement le premier rapport annuel de l'Observatoire de l'emploi public.
" Avec ce rapport, nous démontrons avec force l'opportunité d'un lieu de réflexion collective sur l'emploi public, associant les administrations, les organisations syndicales, le Parlement et les élus locaux. Nous ne contentons pas d'observer, nous agissons. ", a conclu Michel SAPIN.
(Source : http://www.fonction-publique.gouv.fr, le 10 août 2001)