Résumé
Thèmes abordés.<br>- Relations avec le gouvernement : indépendance du CNPF-pas de changement de position depuis le 10 mai-rôle d'information du CNPF auprès du gouvernement sur les risques courus par les entreprises-approbation de la politique européenne face à la concurrence internationale et de la politique de l'emploi mais manque de cohérence des actions en faveur des entreprises ( augmentation des charges )-refus de la violence verbale ( congrès de Valence, affaire Paribas ).<br>- Politique économique : refus d'une surveillance prolongée des prix-refus de créer des emplois artificiels avec les contrats de solidarité, crainte d'investir des patrons à cause du manque de marchés, de la diminution des bénéfices et du refus des actionnaires-de plus peu de possibilité d'emprunter par les entreprises à cause des emprunts d'Etat-nécessité d'alléger les charges et d'encourager l'épargne ( avoir fiscal à 100 % et pas de double imposition des dividendes )-demande d'assouplissement de l'impôt sur la fortune-refus des entraves à la liberté de gestion des chefs d'entreprise ( contrôle syndical )-accord sur la réduction de la durée du travail en cas d'augmentation de la durée d'utilisation des machines.<br>- Sécurité sociale : pas d'autres augmentations de prestations-possibilité de faire cotiser les agriculteurs-position défavorable à l'exonération des charges des entreprises créatrices d'emploi-éventuel départ du CNPF des conseils d'administration de la sécurité sociale en cas de réduction de ses possibilités d'action.<br>- Réformes : volonté d'être consulté sur le rapport Auroux-nécessité pour les entreprises nationalisées de respecter les lois du marché et de la concurrence.<br>- Pas de réponse précise de M. Ceyrac sur sa succession à la tête du CNPF.- 36 VUES