Résumé
Succession à la présidence du CNPF, candidatures soumises au débat du Conseil exécutif. Relations satisfaisantes avec le gouvernement. Réfutation des accusations de sabotage économique, pas de compétence du gouvernement français sur les activités à l'étranger des entreprises nationalisables.<br>- Politique budgétaire et économique : réserves sur l'objectif gouvernemental de relance et de 3 % de croissance. Contradiction entre l'engagement du gouvernement de ne pas alourdir les charges des entreprises et le problème de financement du déficit budgétaire : insuffisance prévisible des solutions par l'emprunt et par l'impôt-inquiétude du patronat sur le maintien des coûts de production, donc des exportations.<br>- Réponse à M. Krasuscki sur les droits d'expression et de participation des travailleurs : priorité à la vie des entreprises menacées par la concurrence internationale. Sur la durée du travail : accord sur 39 heures, progrès social à compenser par des augmentations de productivité . Constat de tensions sociales et interventions syndicales surtout dans les entreprises nationalisées ( Renault, SNIAS, SNCF ).- 12 VUES