Résumé
Intervention de M. André Bergeron : la défense des acquis du syndicalisme, du monopole syndical (cf. l'expérience négative des comités de base en Italie), de son rôle dans la politique contractuelle, notamment pour les négociations salariales (rejet de l'individualisation des rémunérations) et le débat sur l'intéressement-volonté de promouvoir la négociation collective au niveau européen.<br>- Intervention de M. Jean Kaspar : les difficultés économiques (absence de croissance), les incertitudes du débat politique en période électorale et la nécessité de relancer le débat social et la négociation collective sur la création d'emplois, le financement de la protection sociale (sur l'ensemble des revenus), les investissements "immatériels" (innovations sociales, qualité, formation, nouvelles réponses sur l'organisation du travail)-exigence que soit reconnue par le patronat la légitimité de la représentation syndicale, proposition au CNPF pour un accord d'orientation sur l'articulation des négociations de branches et d'entreprises sur les modernisations. Réponse à des questions sur : la compétitivité et les côuts salariaux (prélèvements obligatoires)-les convergences intersyndicales (CGT mise à part)-l'élection présidentielle en 1988 et la participation de la CFDT au débat politique sur les questions de société et de travail.- 17 VUES