Le réseau culturel de la France à l'étranger - Communication au Président de l'Assemblée nationale pour le comité d'évaluation et de contrôle des politiques publiques

Remis le :

Auteur(s) moral(aux) : Cour des comptes

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La Cour des comptes rend public un rapport sur le réseau culturel de la France à l’étranger commandé par le président de l’Assemblée nationale pour le comité d’évaluation et de contrôle des politiques publiques, en application de l’article 132-5 du code des juridictions financières. Retrouvez également le rapport du comité d’évaluation et de contrôle des politiques publiques.

AVERTISSEMENT

RÉSUMÉ

PRINCIPALES RECOMMANDATIONS DE LA COUR

INTRODUCTION

CHAPITRE I LE CONTEXTE : LE RESEAU ET SES ACTEURS

I - Un réseau étendu et hétérogène, confronté à une diminution de ses moyens
A - Le réseau culturel le plus étendu au monde
B - Une baisse des moyens budgétaires des postes malgré la stabilité apparente des crédits d’action culturelle
C - Une dépendance accrue vis-à-vis des financements extrabudgétaires
D - Une ressource humaine en réduction et partiellement inadéquate

II - Un pilotage du réseau en cours de redéfinition
A - Les insuffisances du pilotage du réseau
B - La mobilisation des opérateurs spécialisés
C - La question de l’expérimentation du rattachement de douze postes

CHAPITRE II - LA CAPACITE DU RESEAU A RENFORCER L’ATTRACTIVITE DE LA FRANCE

I - La promotion du modèle français
A - La culture, atout maître de la diplomatie d’influence
B - Un modèle à renouveler

II - La relativisation du rôle de la langue
A - La situation menacée de la langue française
B - La nécessité d’un soutien plus différencié

III - La rationalisation de l’offre artistique
A - Une offre importante mais hétérogène
B - « Saisons » et « années croisées », une formule à évaluer
C - Le réseau en attente d’une information sur la scène artistique

IV - La modestie de l’appui à la coopération scientifique
A - De nombreux acteurs au service de la diplomatie scientifique
B - Des moyens dispersés

V - La valorisation du potentiel universitaire
A - L’attractivité universitaire, une réalité à appréhender de manière plus qualitative
B - Les vecteurs de la mobilité entrante
C - Des lacunes à combler dans le suivi des bénéficiaires

CHAPITRE III - LA COHERENCE DES INTERVENTIONS SECTORIELLES DU RESEAU

I - La contribution à la mise en oeuvre des objectifs des ambassades
A - Pour les ambassadeurs, des outils de pilotage en cours de redéfinition
B - La fusion SCAC/EAF, un atout au service des ambassades

II - La synergie locale des interventions du réseau
A - Le besoin d’une matrice des interventions
B - La recherche pragmatique de convergences

III - L’articulation du réseau et des opérateurs nationaux
A - La contribution autonome des grands opérateurs nationaux
B - Quelques pistes pour une meilleure synergie

CHAPITRE IV - LES CONDITIONS D’UNE MEILLEURE EFFICIENCE LOCALE

I - La complémentarité des deux réseaux français
A - Les atouts du mouvement des Alliances françaises
B - Les voies d’une meilleure complémentarité
C - La question délicate de l’implantation des deux réseaux

II - L’optimisation du nouveau modèle de financement
A - La mise en conformité nécessaire du statut des EAF
B - La quête indispensable mais difficile de cofinancements
C - Une distinction nécessaire entre les sources de cofinancement
D - L’enseignement du français, source principale du financement du réseau

III - L’exploitation des leviers technologiques
A - L’indispensable pari technologique
B - Quelques pistes pour en tirer un meilleur parti

CHAPITRE V - LA PERTINENCE DES ACTIONS DE SOUTIEN DU RESEAU DANS UN CONTEXTE DE CONCURRENCE INTERNATIONALE

I - Le ciblage des publics prioritaires  
A - À la recherche des publics prioritaires  
B - La redécouverte de la demande locale  
C - La segmentation des publics du réseau  
D - La nécessité d’un marketing culturel  

II - La traduction des priorités géographiques  
A - L’équilibre délicat entre émergents et prescripteurs  
B - La nécessité de renouveler l’approche géographique  

III - L’adaptation du réseau à la concurrence internationale  
A - Une concurrence assumée mais d’intensité variable  
B - Mieux exploiter les bonnes pratiques étrangères  

IV - Le soutien des intérêts économiques nationaux  
A - Une mobilisation inégale du réseau  
B - L’enjeu des industries culturelles  
C - De nouveaux champs à défricher  

 

CONCLUSION GÉNÉRALE  

GLOSSAIRE  

ANNEXES

 

  • Type de document : Rapport d'étude
  • Pagination : 160 pages
  • Édité par : Cour des comptes