Il n’y a pas de bonne décentralisation sans une déconcentration parallèle des services de l’État. Les élus locaux, dotés de nouvelles compétences, doivent pouvoir s’adresser au niveau local à un représentant de l’État sans en référer systématiquement à l’échelon central. Trente ans après la loi ATER de 1992, le point sur la déconcentration.