Modernisation de la dissuasion nucléaire, renforcement du renseignement militaire, investissements dans les défenses cyber, sol-air, spatiale et maritime, objectif de 105 000 réservistes... La loi de programmation militaire (LPM) 2024-2030 prévoit 413 milliards d'euros de dépenses sur sept ans afin de "transformer" les armées.
La loi reconnaît la responsabilité de la France dans les conditions d'accueil et de vie indignes des harkis et de leurs familles, rapatriés d'Algérie après les accords d'Évian de 1962. Un droit à réparation est ouvert à une partie des harkis et à leurs familles. Une commission nationale de reconnaissance et de réparation est créée.
Présidé par le président de la République, le conseil de défense et de sécurité nationale (CDSN) traite de l'ensemble des questions de défense et de sécurité. Conçu à l’origine pour répondre à des menaces ponctuelles, le CDSN se réunit régulièrement depuis 2016.
La menace liée aux attaques informatiques est multiforme et peut concerner aussi bien des particuliers que des entreprises ou des États. Quels sont les moyens employés par les auteurs de ces attaques ? Quels sont leurs objectifs ?
Un contrôle effectif des armes dépend souvent de la bonne volonté des États qui les possèdent. Quels sont les enjeux et les limites d'un tel contrôle ? Comment les conventions internationales peuvent-elles inciter les États à coopérer ?
Substances toxiques pouvant conduire à la mort, les armes chimiques et bactériologiques sont des produits dont l'utilisation est strictement interdite par les conventions internationales.
Plusieurs traités internationaux ont depuis plus de 50 ans tenté de limiter ou de réduire les stocks d'armes chimiques, bactériologiques ou nucléaires, voire de les interdire.
Depuis 1968, le droit international encadre strictement la possession de l'arme nucléaire. Seuls cinq États sont juridiquement reconnus comme officiellement dotés de cette arme. D'autres pays l'ont depuis développée.