Texte intégral
Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs les Présidents,
Mesdames, Messieurs,
Vous avez bien voulu m'inviter pour conclure votre journée de travail et je vous en remercie.
J'ai lancé cette année en concertation avec vous un certain nombre de réformes de manière à mieux répondre aux attentes du secteur de l'artisanat. Ces réformes doivent être compatibles avec l'intérêt général de l'Artisanat.
Mes Services se sont mobilisés en liaison avec vos représentants pour que ce projet de développement durable de l'artisanat tienne compte des réalités de votre secteur et afin que sa mise en uvre s'inscrive dans la durée.
Avec le Premier Ministre, je présenterai le Programme Initiatives pour l'Entreprise Artisanale (I.E.A.), le 22 Octobre prochain lors des journées de l'UPA.
Votre projet stratégique des chambres de métiers pour les prochains contrats de plan Etat/Régions contribue à enrichir la réflexion.
Votre assemblée générale extraordinaire consacrée aux futurs contrats de plan Etat-Régions 2000/2006 témoigne de l'importance que vos organisations accordent à leur élaboration.
Celle-ci doit s'effectuer dans la concertation la plus large. Vous avez invité à cette journée certains des partenaires qui contribueront à la réalisation des objectifs que se fixent les Chambres de Métiers.
Je crois en la concertation, je crois au partenariat, vos propositions que j'ai pu consulter, me semblent aller dans ce sens.
Vos travaux sont importants car le réseau des Chambres de Métiers Régionales et Départementales est un acteur et un partenaire privilégié des collectivités territoriales pour proposer, participer et conduire des actions de développement.
Comme vous le savez, l'Etat procède actuellement à l'analyse des orientations stratégiques de l'intervention de l'Etat proposées par les Préfets de Région.
Les différents départements ministériels déterminent de leur côté leurs orientations prioritaires. Il appartient maintenant au Ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire de produire la synthèse de ces documents.
Le Premier Ministre retiendra alors les thèmes de contractualisation que l'Etat proposera aux régions et aux collectivités.
Aussi, je ne veux pas anticiper sur le contenu des futurs contrats de plan. Mais sachez qu'il m'apparaît important, je dirai primordial, que ces contrats permettent une action renforcée en faveur des entreprises.
Ce sont effectivement, comme vous le soulignez, les entreprises et plus particulièrement les entreprises artisanales ou les petites entreprises commerciales ou de services qui assurent la vie des territoires.
En effet vous représentez les 860 000 entreprises artisanales qui sur l'ensemble des territoires, procurent de l'emploi et diffusent la répartition des richesses, et assurent des services à la population.
Votre implication dans le processus décisionnel est légitime, car vous appartenez à un secteur qui doit se situer dans les toutes premières priorités de ces contrats, qui seront conclus entre l'Etat et les régions, mais aussi avec les autres niveaux de collectivités.
Le Premier Ministre à défini les orientations majeures qui président à l'élaboration de ces nouveaux contrats qui vous été présentées par Jean Louis Guigou cet après midi.
Emile Zuccarelli, vous a entretenu des principales dispositions du projet de loi pour l'action économique des collectivités territoriales.
Vous connaissez mon attachement au développement des PME, et à la croissance des entreprises artisanales.
Cet attachement relève d'un constat. Il existe une profonde symbiose entre ces entreprises et leur territoire. Ce que j'ai vu lors de mes déplacements en France ou à l'étranger a renforcé encore cette conviction.
Je ne suis pas certaine que toutes les expériences, telles que les districts italiens soient directement transposables. Chaque nation, chaque territoire dispose de sa culture, et de son propre génie, c'est cette individualité qu'il faut développer, cultiver.
C'est la différence qui est porteuse d'avenir, pas l'uniformisation.
Je suis à cet égard particulièrement sensible au fait que vous ayez développé une réflexion sur les régions, collectivités et territoires d'Outre Mer. J'y vois un gage d'ouverture.
Cette ouverture je la retrouve aussi dans le fait que les petites entreprises s'engagent résolument dans la réduction du temps de travail, je pense à l'accord signé par la CAPEB.
C'est un signe supplémentaire s'il en fallait de la capacité d'innovation, et de la réactivité des chefs de petites entreprises.
Dès lors il est naturel que l'exercice contractuel entre l'Etat et les régions et plus largement les collectivités s'organise autour de cette problématique : entreprises et territoires.
Il n'est bien sûr pas question de tout contractualiser, car certaines actions qui concourent à la compétitivité des entreprises relèvent du niveau national.
(Je pense en particulier aux dispositions fiscales qui s'avèrent, sous l'impulsion du gouvernement, particulièrement favorables aux petites entreprises).
En revanche, il s'agit de retenir pour la contractualisation un ensemble d'actions dont la cohérence assure le développement d'une attitude entreprenariale dans nos régions.
Il s'agit de servir au mieux la création et le développement des petites et moyennes entreprises qui éprouvent des difficultés à bénéficier des interventions de l'Etat et des collectivités.
Elles sont également confrontées à la complexité des procédures et l'absence de temps pour l'accès aux informations.
Je ne crois pas au concept de l'entreprise citoyenne, je suis convaincue en revanche de l'investissement personnel des chefs d'entreprises, et de leurs employés pour que leur activité se développe.
Je suis convaincue de la force que donne un territoire sur lequel les entreprises savent s'organiser. Cette organisation génère la naissance d'autres activités, mobilise d'autres forces vives. Et surtout elle suscite l'envie d'entreprendre, de réussir.
Le soutien des collectivités devient alors naturel, et très rapidement des structures se mettent en place qui favorisent à leur tour création et essor.
Les outils varient selon les territoires : Pépinières, clubs d'entreprises, associations de développement, comités d'expansion, action inter consulaire, chaque formule est adaptée lorsqu'elle se traduit par de la création d'emplois et d'activités.
Cette nouvelle culture entreprenariale, il conviendra de la renforcer, en resserrant les liens entre l'Etat, les collectivités et les entreprises sur des actions mobilisatrices.
Parmi les orientations qui pourront faire l'objet d'une contractualisation, je serai particulièrement attachée à soutenir celles qui relèvent de l'investissement immatériel Le conseil aux entreprises, la formation initiale dont l'apprentissage, la formation continue.
Il convient d'aider les entreprises à se développer, il convient d'aider à leur création, et préparer leur transmission.
La question de la transmission constitue une véritable priorité, 30 000 entreprises cessent chaque année leur activité. 200 000 sont dirigées par une personne dont l'âge est supérieur à 50 ans. Il faut assurer la reprise de ces entreprises.
Et vous savez mieux que quiconque, qu'il est plus facile de reprendre une entreprise que d'en créer une. Les chances de succès sont traduites année après année par les statistiques.
Les cursus de formation doivent renforcer la préparation des jeunes à l'avenir, qu'il s'agisse de la maîtrise de l'outil des nouvelles technologies de communication, ou de la préparation à la conduite d'une entreprise.
J'insisterai également pour que des actions touchant à la gestion de la ressource humaine soient initiées de manière systématique dans les contrats.
Il s'agit de poursuivre l'aide au recrutement de cadres et de techniciens ou de chercheurs, et d'élargir le soutien au champ de la gestion de l'entreprise et de nouvelles techniques de commercialisation dont le commerce électronique.
Tout aussi importante, la constitution d'un solide environnement des petites entreprises par le développement de centres de ressources technologiques, et par l'intégration de services communs en matière d'aide à l'export.
En outre, il m'apparaît nécessaire d'améliorer l'accès aux financements des petites entreprises, la voie des plates-formes d'initiative locales ou de l'épargne de proximité doit être travaillée.
Par ailleurs, j'ai engagé depuis mon arrivée un travail en profondeur sur la simplification des procédures administratives, je sais que je n'ai pas à vous convaincre pour que cette simplification s'applique également aux procédures contractuelles.
Ce n'est pas aujourd'hui le lieu et le temps pour débattre du contenu des contrats de plan Etat Région, ou des Initiatives pour l'Entreprise Artisanale.
Toutefois je tiens à souligner que j'ai pu discerner dans les travaux que vous avez réalisé une certaine convergence d'analyse avec ceux menés par mon département ministériel.
L'élaboration des contrats de plan Etat Région doit également inciter les organismes consulaires à réfléchir sur leur propre stratégie. Il y a lieu de répartir les compétences, de développer des centres d'expertises organisés en réseau pour valoriser au mieux les savoirs faire, et assurer leur diffusion.
Nombre d'entre vous se sont déjà engagés dans des coopérations inter consulaires, au niveau départemental, régional ou national. Nombreux sont également ceux qui pratiquent des coopérations internationales.
C'est une voie d'avenir, car elle anticipe sur les évolutions économiques, l'euro de l'Europe, mais aussi la conquête de marchés internationaux, et toujours la formation des jeunes.
Hier à Baden se tenait la conférence ministérielle " sur l'avenir de la politique européenne en faveur des petites et moyennes et de l'artisanat ".
Cette conférence devait permettre de progresser sur :
l'amélioration de l'environnement économique des PME et de l'artisanat,
le renforcement du dialogue social européen,
la simplification de la transmission des entreprises,
la promotion de la culture des entreprises,
l'éducation et la formation,
l'achèvement du marché unique
la lutte contre le travail clandestin
les PME et la mondialisation.
Un programme chargé !
En fait les interventions se sont concentrées sur le dialogue social, l'allégement des contraintes administratives (la simplification), l'harmonisation de la fiscalité et sur la transmission des entreprises.
En terme européen ceci s'appelle une convergence de point de vue.
Cette convergence pourra lors de la contractualisation s'affirmer en cohérence lorsqu'il s'agira d'intégrer l'action des fonds structurels aux contrats de plan Etat Région.
(source http://www.minefi.gouv.fr, le 27 septembre 2001)
Mesdames et Messieurs les Présidents,
Mesdames, Messieurs,
Vous avez bien voulu m'inviter pour conclure votre journée de travail et je vous en remercie.
J'ai lancé cette année en concertation avec vous un certain nombre de réformes de manière à mieux répondre aux attentes du secteur de l'artisanat. Ces réformes doivent être compatibles avec l'intérêt général de l'Artisanat.
Mes Services se sont mobilisés en liaison avec vos représentants pour que ce projet de développement durable de l'artisanat tienne compte des réalités de votre secteur et afin que sa mise en uvre s'inscrive dans la durée.
Avec le Premier Ministre, je présenterai le Programme Initiatives pour l'Entreprise Artisanale (I.E.A.), le 22 Octobre prochain lors des journées de l'UPA.
Votre projet stratégique des chambres de métiers pour les prochains contrats de plan Etat/Régions contribue à enrichir la réflexion.
Votre assemblée générale extraordinaire consacrée aux futurs contrats de plan Etat-Régions 2000/2006 témoigne de l'importance que vos organisations accordent à leur élaboration.
Celle-ci doit s'effectuer dans la concertation la plus large. Vous avez invité à cette journée certains des partenaires qui contribueront à la réalisation des objectifs que se fixent les Chambres de Métiers.
Je crois en la concertation, je crois au partenariat, vos propositions que j'ai pu consulter, me semblent aller dans ce sens.
Vos travaux sont importants car le réseau des Chambres de Métiers Régionales et Départementales est un acteur et un partenaire privilégié des collectivités territoriales pour proposer, participer et conduire des actions de développement.
Comme vous le savez, l'Etat procède actuellement à l'analyse des orientations stratégiques de l'intervention de l'Etat proposées par les Préfets de Région.
Les différents départements ministériels déterminent de leur côté leurs orientations prioritaires. Il appartient maintenant au Ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire de produire la synthèse de ces documents.
Le Premier Ministre retiendra alors les thèmes de contractualisation que l'Etat proposera aux régions et aux collectivités.
Aussi, je ne veux pas anticiper sur le contenu des futurs contrats de plan. Mais sachez qu'il m'apparaît important, je dirai primordial, que ces contrats permettent une action renforcée en faveur des entreprises.
Ce sont effectivement, comme vous le soulignez, les entreprises et plus particulièrement les entreprises artisanales ou les petites entreprises commerciales ou de services qui assurent la vie des territoires.
En effet vous représentez les 860 000 entreprises artisanales qui sur l'ensemble des territoires, procurent de l'emploi et diffusent la répartition des richesses, et assurent des services à la population.
Votre implication dans le processus décisionnel est légitime, car vous appartenez à un secteur qui doit se situer dans les toutes premières priorités de ces contrats, qui seront conclus entre l'Etat et les régions, mais aussi avec les autres niveaux de collectivités.
Le Premier Ministre à défini les orientations majeures qui président à l'élaboration de ces nouveaux contrats qui vous été présentées par Jean Louis Guigou cet après midi.
Emile Zuccarelli, vous a entretenu des principales dispositions du projet de loi pour l'action économique des collectivités territoriales.
Vous connaissez mon attachement au développement des PME, et à la croissance des entreprises artisanales.
Cet attachement relève d'un constat. Il existe une profonde symbiose entre ces entreprises et leur territoire. Ce que j'ai vu lors de mes déplacements en France ou à l'étranger a renforcé encore cette conviction.
Je ne suis pas certaine que toutes les expériences, telles que les districts italiens soient directement transposables. Chaque nation, chaque territoire dispose de sa culture, et de son propre génie, c'est cette individualité qu'il faut développer, cultiver.
C'est la différence qui est porteuse d'avenir, pas l'uniformisation.
Je suis à cet égard particulièrement sensible au fait que vous ayez développé une réflexion sur les régions, collectivités et territoires d'Outre Mer. J'y vois un gage d'ouverture.
Cette ouverture je la retrouve aussi dans le fait que les petites entreprises s'engagent résolument dans la réduction du temps de travail, je pense à l'accord signé par la CAPEB.
C'est un signe supplémentaire s'il en fallait de la capacité d'innovation, et de la réactivité des chefs de petites entreprises.
Dès lors il est naturel que l'exercice contractuel entre l'Etat et les régions et plus largement les collectivités s'organise autour de cette problématique : entreprises et territoires.
Il n'est bien sûr pas question de tout contractualiser, car certaines actions qui concourent à la compétitivité des entreprises relèvent du niveau national.
(Je pense en particulier aux dispositions fiscales qui s'avèrent, sous l'impulsion du gouvernement, particulièrement favorables aux petites entreprises).
En revanche, il s'agit de retenir pour la contractualisation un ensemble d'actions dont la cohérence assure le développement d'une attitude entreprenariale dans nos régions.
Il s'agit de servir au mieux la création et le développement des petites et moyennes entreprises qui éprouvent des difficultés à bénéficier des interventions de l'Etat et des collectivités.
Elles sont également confrontées à la complexité des procédures et l'absence de temps pour l'accès aux informations.
Je ne crois pas au concept de l'entreprise citoyenne, je suis convaincue en revanche de l'investissement personnel des chefs d'entreprises, et de leurs employés pour que leur activité se développe.
Je suis convaincue de la force que donne un territoire sur lequel les entreprises savent s'organiser. Cette organisation génère la naissance d'autres activités, mobilise d'autres forces vives. Et surtout elle suscite l'envie d'entreprendre, de réussir.
Le soutien des collectivités devient alors naturel, et très rapidement des structures se mettent en place qui favorisent à leur tour création et essor.
Les outils varient selon les territoires : Pépinières, clubs d'entreprises, associations de développement, comités d'expansion, action inter consulaire, chaque formule est adaptée lorsqu'elle se traduit par de la création d'emplois et d'activités.
Cette nouvelle culture entreprenariale, il conviendra de la renforcer, en resserrant les liens entre l'Etat, les collectivités et les entreprises sur des actions mobilisatrices.
Parmi les orientations qui pourront faire l'objet d'une contractualisation, je serai particulièrement attachée à soutenir celles qui relèvent de l'investissement immatériel Le conseil aux entreprises, la formation initiale dont l'apprentissage, la formation continue.
Il convient d'aider les entreprises à se développer, il convient d'aider à leur création, et préparer leur transmission.
La question de la transmission constitue une véritable priorité, 30 000 entreprises cessent chaque année leur activité. 200 000 sont dirigées par une personne dont l'âge est supérieur à 50 ans. Il faut assurer la reprise de ces entreprises.
Et vous savez mieux que quiconque, qu'il est plus facile de reprendre une entreprise que d'en créer une. Les chances de succès sont traduites année après année par les statistiques.
Les cursus de formation doivent renforcer la préparation des jeunes à l'avenir, qu'il s'agisse de la maîtrise de l'outil des nouvelles technologies de communication, ou de la préparation à la conduite d'une entreprise.
J'insisterai également pour que des actions touchant à la gestion de la ressource humaine soient initiées de manière systématique dans les contrats.
Il s'agit de poursuivre l'aide au recrutement de cadres et de techniciens ou de chercheurs, et d'élargir le soutien au champ de la gestion de l'entreprise et de nouvelles techniques de commercialisation dont le commerce électronique.
Tout aussi importante, la constitution d'un solide environnement des petites entreprises par le développement de centres de ressources technologiques, et par l'intégration de services communs en matière d'aide à l'export.
En outre, il m'apparaît nécessaire d'améliorer l'accès aux financements des petites entreprises, la voie des plates-formes d'initiative locales ou de l'épargne de proximité doit être travaillée.
Par ailleurs, j'ai engagé depuis mon arrivée un travail en profondeur sur la simplification des procédures administratives, je sais que je n'ai pas à vous convaincre pour que cette simplification s'applique également aux procédures contractuelles.
Ce n'est pas aujourd'hui le lieu et le temps pour débattre du contenu des contrats de plan Etat Région, ou des Initiatives pour l'Entreprise Artisanale.
Toutefois je tiens à souligner que j'ai pu discerner dans les travaux que vous avez réalisé une certaine convergence d'analyse avec ceux menés par mon département ministériel.
L'élaboration des contrats de plan Etat Région doit également inciter les organismes consulaires à réfléchir sur leur propre stratégie. Il y a lieu de répartir les compétences, de développer des centres d'expertises organisés en réseau pour valoriser au mieux les savoirs faire, et assurer leur diffusion.
Nombre d'entre vous se sont déjà engagés dans des coopérations inter consulaires, au niveau départemental, régional ou national. Nombreux sont également ceux qui pratiquent des coopérations internationales.
C'est une voie d'avenir, car elle anticipe sur les évolutions économiques, l'euro de l'Europe, mais aussi la conquête de marchés internationaux, et toujours la formation des jeunes.
Hier à Baden se tenait la conférence ministérielle " sur l'avenir de la politique européenne en faveur des petites et moyennes et de l'artisanat ".
Cette conférence devait permettre de progresser sur :
l'amélioration de l'environnement économique des PME et de l'artisanat,
le renforcement du dialogue social européen,
la simplification de la transmission des entreprises,
la promotion de la culture des entreprises,
l'éducation et la formation,
l'achèvement du marché unique
la lutte contre le travail clandestin
les PME et la mondialisation.
Un programme chargé !
En fait les interventions se sont concentrées sur le dialogue social, l'allégement des contraintes administratives (la simplification), l'harmonisation de la fiscalité et sur la transmission des entreprises.
En terme européen ceci s'appelle une convergence de point de vue.
Cette convergence pourra lors de la contractualisation s'affirmer en cohérence lorsqu'il s'agira d'intégrer l'action des fonds structurels aux contrats de plan Etat Région.
(source http://www.minefi.gouv.fr, le 27 septembre 2001)