Texte intégral
Monsieur le président,
Mesdames et Messieurs les députés,
Monsieur le député,
J'attendais cette question et je vois, Monsieur Paul, que vous ne dites pas la vérité, y compris quand il s'agit de faits objectifs. Vous citez un budget de Poitou-Charentes qui avait été voté avant que je ne sois président. Vérifiez, vous verrez... [...] Mensonges, contrevérités, insultes.
Je voudrais vous dire que l'opération Mistigri du Parti socialiste n'échappe à personne. Les Françaises et les Français savent qu'il y a une majorité nationale qui veut baisser les impôts et qu'il y a dans les régions, une majorité socialiste qui veut les augmenter. C'est clair. D'ailleurs, il se trouve que j'ai été président de l'assemblée des régions de France. C'était facile, il y avait deux catégories : les régions de droite, les régions de gauche. Les impôts étaient toujours plus élevés à gauche qu'à droite. Et les champions de l'impôt étaient à gauche. A gauche l'impôt a du goût ; à gauche l'impôt a de la saveur ; à gauche l'impôt sert à financer la démagogie. C'est pour cela que, Monsieur Paul, vous auriez mieux fait de vous taire, parce que maintenant les Français savent que le camp de l'impôt est le vôtre.
(Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 31 mars 2005)
Mesdames et Messieurs les députés,
Monsieur le député,
J'attendais cette question et je vois, Monsieur Paul, que vous ne dites pas la vérité, y compris quand il s'agit de faits objectifs. Vous citez un budget de Poitou-Charentes qui avait été voté avant que je ne sois président. Vérifiez, vous verrez... [...] Mensonges, contrevérités, insultes.
Je voudrais vous dire que l'opération Mistigri du Parti socialiste n'échappe à personne. Les Françaises et les Français savent qu'il y a une majorité nationale qui veut baisser les impôts et qu'il y a dans les régions, une majorité socialiste qui veut les augmenter. C'est clair. D'ailleurs, il se trouve que j'ai été président de l'assemblée des régions de France. C'était facile, il y avait deux catégories : les régions de droite, les régions de gauche. Les impôts étaient toujours plus élevés à gauche qu'à droite. Et les champions de l'impôt étaient à gauche. A gauche l'impôt a du goût ; à gauche l'impôt a de la saveur ; à gauche l'impôt sert à financer la démagogie. C'est pour cela que, Monsieur Paul, vous auriez mieux fait de vous taire, parce que maintenant les Français savent que le camp de l'impôt est le vôtre.
(Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 31 mars 2005)