Texte intégral
La secrétaire d'Etat aux personnes âgées a présenté une communication sur les politiques de coordination en gérontologie et sur les centres locaux d'information et de coordination (CLIC).
Ces centres de ressources bien identifiés ont vocation à connaître de tous les aspects de la vie quotidienne et à intégrer une approche globale du vieillissement permettant à toutes les personnes âgées de connaître leurs droits et l'ensemble des possibilités de prise en charge.
C'est le plus souvent dans l'urgence, à l'occasion d'une maladie ou d'un accident, que la solidarité familiale informelle révèle ses limites. Éléments structurants d'une politique d'appui aux familles, les centres locaux offrent aux personnes âgées une écoute, un dialogue et une aide à la décision. Ils les orientent vers le dispositif d'offre de services le plus approprié, favorisent la mise en place de réponses rapides, complètes et coordonnées.
Le Gouvernement a inscrit le développement des centres locaux d'information et de coordination dans un cadre pluriannuel s'appuyant sur un pilotage à l'échelon départemental. Les services de l'Etat et ceux du département définissent, avec les acteurs locaux, les modalités de coordination et les organismes pivots.
En février 2002, 80 comités de pilotage départementaux ont été installés. En sus des 25 centres expérimentaux choisis en 2001, 141 nouveaux centres locaux d'information et de coordination ont été créés dans 66 départements. Fin 2002, ils seront 326 et l'objectif de 1000 centres locaux, sur l'ensemble du territoire, sera atteint en 2005.
Depuis 2001, le financement des centres locaux d'information et de coordination est inscrit au budget de l'Etat : plus de 10,6 millions d'euros en 2001 et 22,8 millions d'euros pour 2002. Ces concours au fonctionnement des centres locaux permettent de consolider l'engagement des autres financeurs institutionnels (départements, communes, caisses d'assurance-maladie).
Un travail est engagé pour permettre aux centres locaux d'approfondir leurs missions dans le domaine de l'accès aux aides à l'aménagement de l'habitat et aux aides techniques à la vie quotidienne. Il en est de même pour l'articulation de leur action avec celle des professionnels du soin afin de faciliter la continuité de la prise en charge et le suivi.
Les centres locaux d'information et de coordination sont l'illustration d'une politique sociale partagée, où l'Etat et les départements ont partie liée pour apporter aux besoins complexes des personnes âgées des réponses qui résultent de la coopération de toutes les institutions compétentes. Ils s'inscrivent, au même titre que les " maisons de la solidarité ", les " maisons de la justice et du droit " et les " points jeunes ", dans la démarche d'amélioration des services aux usagers.
Ces centres de ressources bien identifiés ont vocation à connaître de tous les aspects de la vie quotidienne et à intégrer une approche globale du vieillissement permettant à toutes les personnes âgées de connaître leurs droits et l'ensemble des possibilités de prise en charge.
C'est le plus souvent dans l'urgence, à l'occasion d'une maladie ou d'un accident, que la solidarité familiale informelle révèle ses limites. Éléments structurants d'une politique d'appui aux familles, les centres locaux offrent aux personnes âgées une écoute, un dialogue et une aide à la décision. Ils les orientent vers le dispositif d'offre de services le plus approprié, favorisent la mise en place de réponses rapides, complètes et coordonnées.
Le Gouvernement a inscrit le développement des centres locaux d'information et de coordination dans un cadre pluriannuel s'appuyant sur un pilotage à l'échelon départemental. Les services de l'Etat et ceux du département définissent, avec les acteurs locaux, les modalités de coordination et les organismes pivots.
En février 2002, 80 comités de pilotage départementaux ont été installés. En sus des 25 centres expérimentaux choisis en 2001, 141 nouveaux centres locaux d'information et de coordination ont été créés dans 66 départements. Fin 2002, ils seront 326 et l'objectif de 1000 centres locaux, sur l'ensemble du territoire, sera atteint en 2005.
Depuis 2001, le financement des centres locaux d'information et de coordination est inscrit au budget de l'Etat : plus de 10,6 millions d'euros en 2001 et 22,8 millions d'euros pour 2002. Ces concours au fonctionnement des centres locaux permettent de consolider l'engagement des autres financeurs institutionnels (départements, communes, caisses d'assurance-maladie).
Un travail est engagé pour permettre aux centres locaux d'approfondir leurs missions dans le domaine de l'accès aux aides à l'aménagement de l'habitat et aux aides techniques à la vie quotidienne. Il en est de même pour l'articulation de leur action avec celle des professionnels du soin afin de faciliter la continuité de la prise en charge et le suivi.
Les centres locaux d'information et de coordination sont l'illustration d'une politique sociale partagée, où l'Etat et les départements ont partie liée pour apporter aux besoins complexes des personnes âgées des réponses qui résultent de la coopération de toutes les institutions compétentes. Ils s'inscrivent, au même titre que les " maisons de la solidarité ", les " maisons de la justice et du droit " et les " points jeunes ", dans la démarche d'amélioration des services aux usagers.