Texte intégral
Monsieur le Président de l'Assemblée nationale, cher Patrick OLLIER,
Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les parlementaires,
Monsieur le Secrétaire général des « Marianne d'Or », cher Alain TRAMPOGLIERI,
Mesdames et Messieurs les élus locaux,
Mesdames et Messieurs, chers amis,
Permettez-moi de vous dire tout le plaisir qui est le mien de vous accueillir ici au Sénat, à l'occasion de la traditionnelle cérémonie de remise des « Marianne d'Or », célèbres récompenses, ô combien « prisées », qui distinguent l'action et l'innovation locales.
En tant que Président du Sénat, assemblée parlementaire à part entière titulaire d'un bonus constitutionnel de représentant des collectivités territoriales, je suis particulièrement heureux de participer à cet évènement et fier du palmarès 2007.
Ce cru 2007 des « Marianne d'Or », riche et prestigieux, illustre, une fois de plus, toute la vitalité de notre « République des territoires » dans sa diversité.
Fort de son enracinement local et de sa connaissance intime des territoires, le Sénat a été un ardent promoteur de la « République des territoires ».
- Oui, le Sénat s'est battu pour que soient consacrée dans notre Constitution « l'organisation décentralisée de la République » et garantie l'autonomie financière des collectivités territoriales.
- Oui, le Sénat a milité pour que soient renforcées les libertés locales, afin de libérer les énergies et démultiplier les initiatives territoriales.
Je vais vous faire un aveu : j'ai la conviction que le Sénat a fait oeuvre utile.
Aujourd'hui, j'invite ceux qui ignorent -ou feignent d'ignorer- la valeur et l'efficacité du bicamérisme à regarder la réalité en face et à bien mesurer l'apport du Sénat, cet « orfèvre législatif » dont plus de 92% des amendements ont été repris par l'Assemblée nationale au cours de la dernière législature !
Je les invite aussi à respecter l'attachement des Français au Sénat. Un attachement qu'ils manifestent à plus de 70%, si j'en crois les sondages les plus récents !
A l'heure où certains tirent « à boulets rouges » sur nos institutions, nous devons redoubler d'efforts et de vigilance pour défendre notre conception d'un bicamérisme équilibré, fondé sur la coexistence de deux chambres différentes, mais complémentaires.
Mesdames et Messieurs, je tiens, en conclusion, à renouveler mes très chaleureuses félicitations aux heureux lauréats du palmarès 2007, qui ont tous fait preuve de talent, d'audace, de créativité et d'imagination.
Je leur tire un grand coup de chapeau !
Je salue tout particulièrement mes collègues sénateurs lauréats. Ils honorent notre assemblée, comme d'ailleurs le directeur de notre Maison qui a -je crois- été également distingué pour ses activités d'élu local.
Je forme le voeu que les prochaines éditions soient aussi fécondes en réalisations ingénieuses.
Nous pouvons compter sur le flair et l'enthousiasme d'Alain TRAMPOGLIERI, fougueux Secrétaire général des « Marianne d'or », pour « dénicher » les talents et détecter les projets innovants.
Vive la République, vive les « Marianne d'Or » ! Source http://www.senat.fr, le 19 avril 2007
Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les parlementaires,
Monsieur le Secrétaire général des « Marianne d'Or », cher Alain TRAMPOGLIERI,
Mesdames et Messieurs les élus locaux,
Mesdames et Messieurs, chers amis,
Permettez-moi de vous dire tout le plaisir qui est le mien de vous accueillir ici au Sénat, à l'occasion de la traditionnelle cérémonie de remise des « Marianne d'Or », célèbres récompenses, ô combien « prisées », qui distinguent l'action et l'innovation locales.
En tant que Président du Sénat, assemblée parlementaire à part entière titulaire d'un bonus constitutionnel de représentant des collectivités territoriales, je suis particulièrement heureux de participer à cet évènement et fier du palmarès 2007.
Ce cru 2007 des « Marianne d'Or », riche et prestigieux, illustre, une fois de plus, toute la vitalité de notre « République des territoires » dans sa diversité.
Fort de son enracinement local et de sa connaissance intime des territoires, le Sénat a été un ardent promoteur de la « République des territoires ».
- Oui, le Sénat s'est battu pour que soient consacrée dans notre Constitution « l'organisation décentralisée de la République » et garantie l'autonomie financière des collectivités territoriales.
- Oui, le Sénat a milité pour que soient renforcées les libertés locales, afin de libérer les énergies et démultiplier les initiatives territoriales.
Je vais vous faire un aveu : j'ai la conviction que le Sénat a fait oeuvre utile.
Aujourd'hui, j'invite ceux qui ignorent -ou feignent d'ignorer- la valeur et l'efficacité du bicamérisme à regarder la réalité en face et à bien mesurer l'apport du Sénat, cet « orfèvre législatif » dont plus de 92% des amendements ont été repris par l'Assemblée nationale au cours de la dernière législature !
Je les invite aussi à respecter l'attachement des Français au Sénat. Un attachement qu'ils manifestent à plus de 70%, si j'en crois les sondages les plus récents !
A l'heure où certains tirent « à boulets rouges » sur nos institutions, nous devons redoubler d'efforts et de vigilance pour défendre notre conception d'un bicamérisme équilibré, fondé sur la coexistence de deux chambres différentes, mais complémentaires.
Mesdames et Messieurs, je tiens, en conclusion, à renouveler mes très chaleureuses félicitations aux heureux lauréats du palmarès 2007, qui ont tous fait preuve de talent, d'audace, de créativité et d'imagination.
Je leur tire un grand coup de chapeau !
Je salue tout particulièrement mes collègues sénateurs lauréats. Ils honorent notre assemblée, comme d'ailleurs le directeur de notre Maison qui a -je crois- été également distingué pour ses activités d'élu local.
Je forme le voeu que les prochaines éditions soient aussi fécondes en réalisations ingénieuses.
Nous pouvons compter sur le flair et l'enthousiasme d'Alain TRAMPOGLIERI, fougueux Secrétaire général des « Marianne d'or », pour « dénicher » les talents et détecter les projets innovants.
Vive la République, vive les « Marianne d'Or » ! Source http://www.senat.fr, le 19 avril 2007