Résumé
Commentaires sur le projet de loi sur les entreprises privatisées (position favorable à la possibilité pour les entreprises membres des noyaux durs de revendre leurs participations, opposition au droit de vote de l'Etat à toute prise de contrôle supérieure à 10 %). Critique du renforcement du contrôle de l'Etat sur l'économie et du projet socialiste d'économie mixte au détriment du libéralisme populaire (dénonciation de la remise en cause de l'actionnariat populaire au sein des entreprises privatisées par les projets d'augmentation des droits de garde et de frais de transaction boursière). Mise en garde contre l'incompatibilité entre le contrôle de l'Etat et le cadre transnational européen. Propositions de poursuite de la privatisation des banques (pour leur modernisation et mise en concurrence) et des compagnies d'assurance, de baisse de la fiscalité des sociétés (nécessité d'un développement des fonds propres) et d'appel à l'épargne populaire. Rappel de la politique menée de 1986 à 88 et analyse de la situation actuelle (nécessité de réduction des dépenses publiques et des impôts, notamment d'une baisse de la fiscalité de l'épargne).- 4 VUES