Discours de M. Jean Marchelli, président de la CGC, sur les nouvelles orientations du syndicalisme de la CGC, à Paris le 25 octobre 1985.

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Circonstance : Congrès de la CGC à Paris les 24 et 25 octobre 1985

Résumé

Présentation du livre de la CGC "Pour un nouveau syndicalisme". Situation de retard économique et social, de désindustrialisation et manque de compétitivité face aux mutations technologiques.<br>- Le handicap des rigidités : du secteur bancaire, pénalisant l'investissement industriel et commercial du fait de la tutelle de l'Etat-du recours patronal à l'Etat s'opposant à la revendication de dérèglementation et de libéralisme (position CGC pour un libéralisme responsable : maintien des conventions collectives et des règles du dialogue social, suppression des subventions aux entreprises contre allègement des charges en faveur des investissements productifs, recherche et formation et non aux placements financiers)-rigidités de l'Etat (position favorable à une privatisation mesurée, mais extension de la participation des salariés aux conseils d'administration-rigidités des salariés sur les avantages acquis, mise au point sur la "syndicratie-priorité à l'emploi des chômeurs (suppression de l'autorisation administrative de licenciement conditionnée par une représentation syndicale d'entreprise), proposition de négociation sur le "partenariat"-rigidités du patronat, exemple des négociations sur l'UNEDIC.<br>- Annonce de la participation de la CGC au débat public sur les programmes électoraux.- 17 VUES