Résumé
Réaffirmation du bien fondé du soutien à M. Giscard d'Estaing en 1974-mais regrets de l'évolution conservatrice du septennat. Critique du "régime socialiste" : l'intolérance, les atteintes aux libertés ( les nationalisations ), la politisation des entreprises ( le rapport Auroux ), la politisation de l'organisation régionale et départementale ( décentralisation, redécoupage électoral ), et les autres réformes ( le financement de la sécurité sociale, l'impôt sur la fortune... ). Pas d'entente possible avec Michel Rocard. L'opposition : conception "républicaine" de l'opposition-refus de la domination du RPR-réaffirmation de l'appartenance à l'UDF mais à condition de renouveler les structures ( notamment indépendance des formations, nouvelle plate-forme politique limitée, conseil politique élargi )-souhait d'une réunification radicale en détachant le MRG du PS.<br>- Orientations : nécessité de créer des "contre-pouvoirs" dans la vie associative et syndicale ( éducation, radios lo cales, élus locaux )-appel à la mobilisation des militants pour les élections municipales et à la discipline au sein du parti-proposition de définition d'une nouvelle doctrine néo-radicale à partir du manifeste de M. Servan-Schreiber, tenant-compte du nouveau contexte technologique et international.- 22 VUES