Texte intégral
Le programme été-jeunes 1983
- Le ministre des affaires sociales et de la solidarité nationale, et Madame le secrétaire d'Etat chargé de la famille, de la population et des travailleurs immigrés, ont rendu compte du programme interministériel "Prévention Eté 1983", mis en place dès mars 1983 dans les onze départements très urbanisés.
- Des moyens accrus ont été apportés au dispositif qui avait déjà permis l'été dernier à des milliers de jeunes se situant en dehors des circuits traditionnels de bénéficier de vacances actives. Les moyens ainsi mobilisés avaient assuré une diminution des actes de violence et de délinquance, qui ont tendance à se multiplier en juillet et en août. La Commission des maires sur la sécurité a depuis lors confirmé l'importance d'une telle prévention.
- Pour 1983, les collectivités concernées ont d'ores et déjà pris, avec un concours accru de l'Etat, des centaines d'initiatives : plus de 10 000 jeunes qui n'auraient pas quitté leur quartier sont en séjours sport ifs ou de découverte ; 100 000 jeunes ont un accès plus large à des activités et des équipements sportifs et sociaux grâce-à des personnels supplémentaires et à l'action des services de protection de l'enfance. Les commissaires de la République disposent aussi de moyens leur permettant de répondre aux urgences au cours de l'été.
- Cet effort important des pouvoirs publics s'inscrit dans la politique de prévention de la violence et de la délinquance menée par le gouvernement. Il facilite l'insertion des jeunes et améliore la sécurité des populations concernées. Il ne peut être mis en oeuvre que grâce-à la mobilisation de milliers d'animateurs, de bénévoles et de travailleurs sociaux, civils et militaires, publics et privés.
- Le ministre des affaires sociales et de la solidarité nationale, et Madame le secrétaire d'Etat chargé de la famille, de la population et des travailleurs immigrés, ont rendu compte du programme interministériel "Prévention Eté 1983", mis en place dès mars 1983 dans les onze départements très urbanisés.
- Des moyens accrus ont été apportés au dispositif qui avait déjà permis l'été dernier à des milliers de jeunes se situant en dehors des circuits traditionnels de bénéficier de vacances actives. Les moyens ainsi mobilisés avaient assuré une diminution des actes de violence et de délinquance, qui ont tendance à se multiplier en juillet et en août. La Commission des maires sur la sécurité a depuis lors confirmé l'importance d'une telle prévention.
- Pour 1983, les collectivités concernées ont d'ores et déjà pris, avec un concours accru de l'Etat, des centaines d'initiatives : plus de 10 000 jeunes qui n'auraient pas quitté leur quartier sont en séjours sport ifs ou de découverte ; 100 000 jeunes ont un accès plus large à des activités et des équipements sportifs et sociaux grâce-à des personnels supplémentaires et à l'action des services de protection de l'enfance. Les commissaires de la République disposent aussi de moyens leur permettant de répondre aux urgences au cours de l'été.
- Cet effort important des pouvoirs publics s'inscrit dans la politique de prévention de la violence et de la délinquance menée par le gouvernement. Il facilite l'insertion des jeunes et améliore la sécurité des populations concernées. Il ne peut être mis en oeuvre que grâce-à la mobilisation de milliers d'animateurs, de bénévoles et de travailleurs sociaux, civils et militaires, publics et privés.