Texte intégral
Bonjour.
N. Sarkozy l'avait promis et donc, vous, hier, aux Echos, vous avez indiqué que les intérêts des emprunts immobiliers pourraient être déduits des revenus, à hauteur de 20%, avez-vous dit, et vous avez précisé que cette mesure serait applicable aux résidences principales dont l'acte authentique de vente a été signé après le 6 mai 2007. Avant de préciser tout ceci, E. Woerth, quel est le statut de vos propos ? Est-ce que c'est une opinion personnelle ou est-ce que c'est un arbitrage gouvernemental ?
Ah, c'est pas un arbitrage gouvernemental.
Donc, c'est une opinion personnelle.
C'est une opinion personnelle. C'est aussi une piste lancée.
Les choses peuvent évoluer, alors ?
Bien sûr. Les arbitrages vont venir. Le Premier ministre prendra ses arbitrages. Le président de la République regardera tout cela et puis aussi, l'Assemblée nationale au moment où le débat viendra. Ce qui était important ...
D'entrée de jeu, vous avez entendu l'auditeur ! "La date du 6 mai surprend..."
Il a raison.
"...Avant N. Sarkozy, on ne peut pas, et après N. Sarkozy, on peut".
Oui, il a raison. Ce que je veux dire c'est que tous les engagements du candidat devenu président de la République, sont évidemment respectés. L'état d'esprit de N. Sarkozy sera évidemment totalement respecté, ça c'est bien clair. Mais il était important de donner une date parce que certains attendaient avant d'acheter leurs biens, attendaient d'une certaine manière qu'on précise les choses et ça veut dire que tous ceux qui veulent acheter aujourd'hui peuvent le faire. Il faut débloquer les transactions. Donc, il n'y a pas de difficultés là-dessus. Les arbitrages viendront en leur temps ; et l'ensemble des ambitions fiscales...
Il peut y avoir un effet rétroactif ?
L'ensemble des ambitions fiscales de N. Sarkozy sera totalement respecté, croyez-moi !
D'accord sur l'esprit mais il peut y avoir, donc, un effet rétroactif. Le plus naturel parce qu'alors on se demande pourquoi le 6 mai ou le 12 mars ? Le plus naturel, c'est le 1er janvier 2007. Que chaque contribuable y gagne dans...
J'ai déjà donné une date. Je ne vais pas en donner deux. Donc, on verra et on va attendre les arbitrages qui seront donnés.
Donc, cette date sera remise en cause. On est d'accord, E. Woerth ?
Non, non, je ne sais pas. Je verrai. Ce sont des pistes qui sont données.
Vous n'avez pas avancé un peu vite ?
Non, non, je ne me suis pas avancé un peu vite. Vous savez, il fallait quand même très, très vite pouvoir débloquer les transactions. Toute personne qui avait envie de signer une vente - ça peut être quand même le cas, il y en a beaucoup - il fallait qu'il puisse le faire en toute sécurité. Maintenant, on verra jusqu'où ira la rétroactivité.
Bon. Donc, il faut attendre encore un petit peu - pour l'auditeur qui nous a appelé - d'ici 27 avril.
Il faut qu'on se mette définitivement d'accord... puis, les parlementaires vont aussi donner leur avis.
Autre promesse de N. Sarkozy : la TVA baissera dans la restauration. Alors, E. Woerth, ministre du Budget ?
Ecoutez, la TVA baissera dans la restauration.
Quand ?
N. Sarkozy l'a indiquée. Ca nécessite un certain nombre d'arbitrages européens. Ca nécessite un certain nombre donc d'exercices difficiles mais il l'a annoncé. Donc, ce sera fait.
1er janvier 2008 ?
Moi, je ne vais pas donner des dates. Vous me dites déjà que j'en donne trop. Donc, je ne vais pas donner des dates aujourd'hui. Mais vous savez, l'état d'esprit...
Vous savez que les restaurateurs attendent, ils espèrent...
Oui, oui, mais enfin, vous savez ça fait à peu près une semaine que le Gouvernement est en place. Donc, il faut lui laisser un peu le temps d'ouvrir les dossiers. Moi, je voudrais vraiment dire que l'ambition de N. Sarkozy qui a été affichée durant toute cette campagne, elle sera intégralement respectée.
Le précédent Gouvernement avait fait de la baisse des déficits une priorité de son action. Et vous, E. Woerth, vous dites depuis quelques jours que vous êtes pour une baisse de la réduction des déficits.
Non, je n'ai pas dit ça !
Pour une pause, pardon !
C'est une interprétation.
Une pause dans la baisse des réductions de déficits.
Ecoutez, moi je suis, je suis, je suis très concentré là-dessus. Moi ce que je veux dire par pause, c'est le maintien du cap. Pause, ça veut dire : on maintient le cap. Donc, le cap des dépenses publiques a été fixé par le précédent gouvernement. Il y a un certain nombre de pourcentages de déficits publics, etc ... au sens maastrichtien du terme qui doivent être évidemment respectés, qui le seront. La question pose sur l'ambition pour aller plus loin. Il faut aller plus loin. La maîtrise des dépenses publiques, elle est essentielle. Elle est facteur de croissance aussi, bien évidemment. La maîtrise de la dette ... l'endettement français est trop important. Il est aussi absolument majeur. N. Sarkozy s'est engagé. Il s'est engagé sur quoi ? Il s'est engagé sur 60% de Produit Intérieur Brut, c'est-à-dire de pourcentages de la production de la France sur la dette à l'horizon de 5 ans. Si on peut aller plus vite, on ira plus vite en fonction de la croissance ; mais c'est un objectif central. La maîtrise de la Dette, la maîtrise de la dépense publique, c'est l'essentiel de mon métier.
Vous êtes aussi, parce que votre portefeuille est large, E. Woerth, ministre de la Fonction publique. Alors confirmez-vous, comme a cru le comprendre G. Aschieri, qui est le secrétaire général de la FSU, le principal syndicat des enseignants - vous l'avez reçu mercredi - que l'Education nationale ne serait pas concernée par le projet gouvernemental de ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux qui partirait à la retraite ?
Le "1 fonctionnaire sur 2" c'est quoi ? C'est que dans dix ans, à peu près la moitié de la Fonction publique va partir en retraite. Il faut donc utiliser cette période pour se poser ces questions-là. Quand vous embauchez aujourd'hui quelqu'un, vous l'embauchez pour une cinquantaine d'années, en réalité, avec les retraites. Donc, c'est très important de se poser cette question. C'est une question majeure pour la France, c'est vraiment majeur. Donc ce que j'ai dit aux formations syndicales - globalement à toutes les formations syndicales, j'ai le même langage pour tous - c'est qu'il y a un engagement aussi du président de la République, le Premier ministre a évidemment bien l'intention de le tenir, c'est d'utiliser cela pour diminuer les effectifs de la Fonction publique. Nous avons parlé d'un fonctionnaire sur deux, de non remplacement sur les départs à la retraite, c'est ce que nous ferons. On fera globalement sur l'ensemble de la Fonction publique...
Est-ce que ça intègrera l'Education nationale ou pas ?
On le fera globalement sur l'ensemble de la Fonction publique d'Etat et s'il faut aller plus loin, sur les autres fonctions publiques ; mais c'est plus compliqué puisqu'elles ne dépendent pas de l'Etat. Nous le ferons. Ce qui est important c'est qu'il y ait des contreparties à cela. La Fonction publique, ce n'est pas une ligne de crédits, ce n'est pas un chapitre budgétaire, c'est des ressources humaines et il faut, en face de cela, s'attaquer aussi au pouvoir d'achat des fonctionnaires ; et toutes les économies qui seront réalisées grâce à ces mesures-là, elles devront aller vers la Fonction publique pour améliorer les conditions mais aussi le pouvoir d'achat de la Fonction publique et puis aller aussi à l'endettement, enfin au désendettement, aller à l'endettement pour diminuer l'endettement de la France. C'est un système, je crois, extrêmement vertueux. Nous voulons provoquer un choc, un choc sur l'ensemble de l'économie française pour développer la croissance et pour aussi, faire en sorte que la maîtrise des dépenses publiques soit vraiment la préoccupation majeure de ce Gouvernement.
Alors, les enseignants qui nous écoutent, n'ont pas compris si l'Education Nationale...
Mais un fonctionnaire sur deux ! Après, nous allons regarder tout cela avec les organisations syndicales. Un fonctionnaire sur deux. Les enseignants sont des fonctionnaires aussi.
Chaque nouveau gouvernement nous promet que les pratiques politiques vont changer. Alors, je vais vous soumettre quelque chose qui amuse beaucoup la presse, ces derniers jours. Il s'agit de votre collègue de la Défense : H. Morin dont plusieurs membres de la famille et puis aussi son chauffeur et sa secrétaire, se présentent aux élections législatives pour essayer de capter une part plus importante de financement public au profit du nouveau parti de centre droit qui est associé à l'UMP. Qu'est-ce que vous pensez de cette pratique ?
Ecoutez, je ne vais pas commenter la pratique d'H. Morin ou de tel ou tel. Ce qui est très important, c'est qu'il y ait des candidats aux élections législatives et qu'un nouveau parti puisse naître. H. Morin est un responsable politique et fait partie...
Et on peut présenter sa secrétaire, son chauffeur...
On peut présenter des citoyens aux élections législatives.
C'est ça ! Mais présenter son chauffeur, c'est quand même pas très fréquent !
C'est un citoyen, qui a envie de faire de la politique.
Votre chauffeur est candidat, E. Woerth ?
Non, mon chauffeur n'est pas candidat, je vous le confirme. Mais moi, je suis candidat, je vous le confirme aussi.
E. Woerth dont le chauffeur n'est pas candidat mais lui, E. Woerth, est candidat.
N. Sarkozy l'avait promis et donc, vous, hier, aux Echos, vous avez indiqué que les intérêts des emprunts immobiliers pourraient être déduits des revenus, à hauteur de 20%, avez-vous dit, et vous avez précisé que cette mesure serait applicable aux résidences principales dont l'acte authentique de vente a été signé après le 6 mai 2007. Avant de préciser tout ceci, E. Woerth, quel est le statut de vos propos ? Est-ce que c'est une opinion personnelle ou est-ce que c'est un arbitrage gouvernemental ?
Ah, c'est pas un arbitrage gouvernemental.
Donc, c'est une opinion personnelle.
C'est une opinion personnelle. C'est aussi une piste lancée.
Les choses peuvent évoluer, alors ?
Bien sûr. Les arbitrages vont venir. Le Premier ministre prendra ses arbitrages. Le président de la République regardera tout cela et puis aussi, l'Assemblée nationale au moment où le débat viendra. Ce qui était important ...
D'entrée de jeu, vous avez entendu l'auditeur ! "La date du 6 mai surprend..."
Il a raison.
"...Avant N. Sarkozy, on ne peut pas, et après N. Sarkozy, on peut".
Oui, il a raison. Ce que je veux dire c'est que tous les engagements du candidat devenu président de la République, sont évidemment respectés. L'état d'esprit de N. Sarkozy sera évidemment totalement respecté, ça c'est bien clair. Mais il était important de donner une date parce que certains attendaient avant d'acheter leurs biens, attendaient d'une certaine manière qu'on précise les choses et ça veut dire que tous ceux qui veulent acheter aujourd'hui peuvent le faire. Il faut débloquer les transactions. Donc, il n'y a pas de difficultés là-dessus. Les arbitrages viendront en leur temps ; et l'ensemble des ambitions fiscales...
Il peut y avoir un effet rétroactif ?
L'ensemble des ambitions fiscales de N. Sarkozy sera totalement respecté, croyez-moi !
D'accord sur l'esprit mais il peut y avoir, donc, un effet rétroactif. Le plus naturel parce qu'alors on se demande pourquoi le 6 mai ou le 12 mars ? Le plus naturel, c'est le 1er janvier 2007. Que chaque contribuable y gagne dans...
J'ai déjà donné une date. Je ne vais pas en donner deux. Donc, on verra et on va attendre les arbitrages qui seront donnés.
Donc, cette date sera remise en cause. On est d'accord, E. Woerth ?
Non, non, je ne sais pas. Je verrai. Ce sont des pistes qui sont données.
Vous n'avez pas avancé un peu vite ?
Non, non, je ne me suis pas avancé un peu vite. Vous savez, il fallait quand même très, très vite pouvoir débloquer les transactions. Toute personne qui avait envie de signer une vente - ça peut être quand même le cas, il y en a beaucoup - il fallait qu'il puisse le faire en toute sécurité. Maintenant, on verra jusqu'où ira la rétroactivité.
Bon. Donc, il faut attendre encore un petit peu - pour l'auditeur qui nous a appelé - d'ici 27 avril.
Il faut qu'on se mette définitivement d'accord... puis, les parlementaires vont aussi donner leur avis.
Autre promesse de N. Sarkozy : la TVA baissera dans la restauration. Alors, E. Woerth, ministre du Budget ?
Ecoutez, la TVA baissera dans la restauration.
Quand ?
N. Sarkozy l'a indiquée. Ca nécessite un certain nombre d'arbitrages européens. Ca nécessite un certain nombre donc d'exercices difficiles mais il l'a annoncé. Donc, ce sera fait.
1er janvier 2008 ?
Moi, je ne vais pas donner des dates. Vous me dites déjà que j'en donne trop. Donc, je ne vais pas donner des dates aujourd'hui. Mais vous savez, l'état d'esprit...
Vous savez que les restaurateurs attendent, ils espèrent...
Oui, oui, mais enfin, vous savez ça fait à peu près une semaine que le Gouvernement est en place. Donc, il faut lui laisser un peu le temps d'ouvrir les dossiers. Moi, je voudrais vraiment dire que l'ambition de N. Sarkozy qui a été affichée durant toute cette campagne, elle sera intégralement respectée.
Le précédent Gouvernement avait fait de la baisse des déficits une priorité de son action. Et vous, E. Woerth, vous dites depuis quelques jours que vous êtes pour une baisse de la réduction des déficits.
Non, je n'ai pas dit ça !
Pour une pause, pardon !
C'est une interprétation.
Une pause dans la baisse des réductions de déficits.
Ecoutez, moi je suis, je suis, je suis très concentré là-dessus. Moi ce que je veux dire par pause, c'est le maintien du cap. Pause, ça veut dire : on maintient le cap. Donc, le cap des dépenses publiques a été fixé par le précédent gouvernement. Il y a un certain nombre de pourcentages de déficits publics, etc ... au sens maastrichtien du terme qui doivent être évidemment respectés, qui le seront. La question pose sur l'ambition pour aller plus loin. Il faut aller plus loin. La maîtrise des dépenses publiques, elle est essentielle. Elle est facteur de croissance aussi, bien évidemment. La maîtrise de la dette ... l'endettement français est trop important. Il est aussi absolument majeur. N. Sarkozy s'est engagé. Il s'est engagé sur quoi ? Il s'est engagé sur 60% de Produit Intérieur Brut, c'est-à-dire de pourcentages de la production de la France sur la dette à l'horizon de 5 ans. Si on peut aller plus vite, on ira plus vite en fonction de la croissance ; mais c'est un objectif central. La maîtrise de la Dette, la maîtrise de la dépense publique, c'est l'essentiel de mon métier.
Vous êtes aussi, parce que votre portefeuille est large, E. Woerth, ministre de la Fonction publique. Alors confirmez-vous, comme a cru le comprendre G. Aschieri, qui est le secrétaire général de la FSU, le principal syndicat des enseignants - vous l'avez reçu mercredi - que l'Education nationale ne serait pas concernée par le projet gouvernemental de ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux qui partirait à la retraite ?
Le "1 fonctionnaire sur 2" c'est quoi ? C'est que dans dix ans, à peu près la moitié de la Fonction publique va partir en retraite. Il faut donc utiliser cette période pour se poser ces questions-là. Quand vous embauchez aujourd'hui quelqu'un, vous l'embauchez pour une cinquantaine d'années, en réalité, avec les retraites. Donc, c'est très important de se poser cette question. C'est une question majeure pour la France, c'est vraiment majeur. Donc ce que j'ai dit aux formations syndicales - globalement à toutes les formations syndicales, j'ai le même langage pour tous - c'est qu'il y a un engagement aussi du président de la République, le Premier ministre a évidemment bien l'intention de le tenir, c'est d'utiliser cela pour diminuer les effectifs de la Fonction publique. Nous avons parlé d'un fonctionnaire sur deux, de non remplacement sur les départs à la retraite, c'est ce que nous ferons. On fera globalement sur l'ensemble de la Fonction publique...
Est-ce que ça intègrera l'Education nationale ou pas ?
On le fera globalement sur l'ensemble de la Fonction publique d'Etat et s'il faut aller plus loin, sur les autres fonctions publiques ; mais c'est plus compliqué puisqu'elles ne dépendent pas de l'Etat. Nous le ferons. Ce qui est important c'est qu'il y ait des contreparties à cela. La Fonction publique, ce n'est pas une ligne de crédits, ce n'est pas un chapitre budgétaire, c'est des ressources humaines et il faut, en face de cela, s'attaquer aussi au pouvoir d'achat des fonctionnaires ; et toutes les économies qui seront réalisées grâce à ces mesures-là, elles devront aller vers la Fonction publique pour améliorer les conditions mais aussi le pouvoir d'achat de la Fonction publique et puis aller aussi à l'endettement, enfin au désendettement, aller à l'endettement pour diminuer l'endettement de la France. C'est un système, je crois, extrêmement vertueux. Nous voulons provoquer un choc, un choc sur l'ensemble de l'économie française pour développer la croissance et pour aussi, faire en sorte que la maîtrise des dépenses publiques soit vraiment la préoccupation majeure de ce Gouvernement.
Alors, les enseignants qui nous écoutent, n'ont pas compris si l'Education Nationale...
Mais un fonctionnaire sur deux ! Après, nous allons regarder tout cela avec les organisations syndicales. Un fonctionnaire sur deux. Les enseignants sont des fonctionnaires aussi.
Chaque nouveau gouvernement nous promet que les pratiques politiques vont changer. Alors, je vais vous soumettre quelque chose qui amuse beaucoup la presse, ces derniers jours. Il s'agit de votre collègue de la Défense : H. Morin dont plusieurs membres de la famille et puis aussi son chauffeur et sa secrétaire, se présentent aux élections législatives pour essayer de capter une part plus importante de financement public au profit du nouveau parti de centre droit qui est associé à l'UMP. Qu'est-ce que vous pensez de cette pratique ?
Ecoutez, je ne vais pas commenter la pratique d'H. Morin ou de tel ou tel. Ce qui est très important, c'est qu'il y ait des candidats aux élections législatives et qu'un nouveau parti puisse naître. H. Morin est un responsable politique et fait partie...
Et on peut présenter sa secrétaire, son chauffeur...
On peut présenter des citoyens aux élections législatives.
C'est ça ! Mais présenter son chauffeur, c'est quand même pas très fréquent !
C'est un citoyen, qui a envie de faire de la politique.
Votre chauffeur est candidat, E. Woerth ?
Non, mon chauffeur n'est pas candidat, je vous le confirme. Mais moi, je suis candidat, je vous le confirme aussi.
E. Woerth dont le chauffeur n'est pas candidat mais lui, E. Woerth, est candidat.