Texte intégral
Le Médef avec ses propositions pour une réforme de la sécurité sociale affirme clairement que l'heure est venue d'en finir avec les acquis sociaux qui constituent les fondements de la société française.
L'assurance-maladie assurant le droit de tous à la santé serait remplacée par un système qui la mettrait en concurrence avec les assurances privées et même des entreprises.
Les cotisations sociales contribuant aux partages des richesses produites à l'entreprise seraient remplacées par la CSG payée par les ménages.
Notre système de retraite par répartition, basé sur la solidarité entre générations, laisserait la place aux fonds de pension.
Il s'agit bien là d'un projet de société, mais d'une société où la solidarité est remplacée par un seul but : faire de l'argent sur la santé, la vieillesse .
Le Médef dit tout haut ce que la droite n'ose pas dire avant les élections.
Il s'appuie aussi sur la crise profonde que traverse la protection sociale due à des années d'austérité budgétaire.
Le parti communiste a des propositions alternatives pour sortir de cette crise. Il propose de construire une protection sociale moderne, de solidarité où les assurés sociaux en seraient les acteurs, où les immenses profits, les revenus financiers seraient mis à contribution. Il va multiplier les initiatives pour faire vivre ces propositions.
Les dépenses et la démocratie sociales sont nécessaires au développement humain, elles sont un atout pour le développement économique.
(Source http://www.pcf.fr, le 28 novembre 2001)
L'assurance-maladie assurant le droit de tous à la santé serait remplacée par un système qui la mettrait en concurrence avec les assurances privées et même des entreprises.
Les cotisations sociales contribuant aux partages des richesses produites à l'entreprise seraient remplacées par la CSG payée par les ménages.
Notre système de retraite par répartition, basé sur la solidarité entre générations, laisserait la place aux fonds de pension.
Il s'agit bien là d'un projet de société, mais d'une société où la solidarité est remplacée par un seul but : faire de l'argent sur la santé, la vieillesse .
Le Médef dit tout haut ce que la droite n'ose pas dire avant les élections.
Il s'appuie aussi sur la crise profonde que traverse la protection sociale due à des années d'austérité budgétaire.
Le parti communiste a des propositions alternatives pour sortir de cette crise. Il propose de construire une protection sociale moderne, de solidarité où les assurés sociaux en seraient les acteurs, où les immenses profits, les revenus financiers seraient mis à contribution. Il va multiplier les initiatives pour faire vivre ces propositions.
Les dépenses et la démocratie sociales sont nécessaires au développement humain, elles sont un atout pour le développement économique.
(Source http://www.pcf.fr, le 28 novembre 2001)