Résumé
Dégradation de la situation des entreprises, baisse des profits et de la compétitivité, problème majeur de l'emploi sans remède sélectif sinon par une politique de création de PME dans des branches nouvelles-avis favorable aux contrats de compétitivité et développement proposés par M. Delors ( cercles de qualité, de progrès, intéressement des salariés... ). Problème de la sous-traitance, menacée par les entreprises nationales poussées à l'embauche pour raisons fiscales ( aide de l'Etat à l'investissement avec création d'emploi )-effets pervers des subventions d'Etat au secteur nationalisé ( cf. Thomson ).<br>- Relations de coopération avec le gouvernement sans nécessité d'institutionaliser la concertation, mais critique des mesures pénalisant les entreprises : politique de redistribution entre secteurs public et privé, augmentation des charges, rapport Auroux ( absence de rôle pour les cadres, assimilation abusive des relations salariés-direction à syndicat-employeur, disparition de s avantages du travail à temps partiel et du travail intérimaire, réglementation contraignante renforçant la rigidité d'une législation sociale dépassée, irréversibilité des avantages acquis )-nécessité de pouvoir adapter les effectifs ( licenciements ) à l'activité de l'entreprise.<br>- Exposé du projet des "Etats généraux des entreprises françaises au service de la nation" comme démonstration d'oecuménisme patronal et de la citoyenneté des entreprises.- 22 VUES